Faut Il Supprimer Les Prelevements Obligatoires

systématique du modèle social et économique français ..................................................... 26 Comment en est-on arrivé là ? ........................................... 29 Une promesse irresponsable : la baisse massive des prélèvements obligatoires ........................................... 30 Le paquet fiscal de l’été 2007 : « l’économie du ruissellement » .................................................................. 31 La crise n’explique pas l’ampleur du déficit ..........

III. Les Revenus Secondaires, la Redistribution Prélèvements obligatoires  = poids des ressources cumulées de l’Etat et de la Sécu sociale en proportion du PIB. PIB : 2000 milliards = Etat français + français => Etat français reçoit impôts, Sécurité sociale reçoit charges sociales => impôts et charges ensemble sont les prélèvements obligatoire. 2014 : Prélèvements obligatoires = 44,7% PIB => Quand la France produit 100, l’Etat prélève 44,7 ? Sécurité sociale 

I - Notion L’impôt : A- Définition : L’impôt est un prélèvement obligatoire, payé par le particulier, à titre définitif et sans contrepartie. Il est destiné à couvrir les dépenses publiques de l’État telles que l’infrastructure .les investissements … B – Caractères de l’impôt :  c’est un prélèvement obligatoire (forcé) : c’est une prestation imposée aux contribuables par la force de la loi (obligation légale).  c’est un prélèvement sans contrepartie directe : absence de relation entre l’impôt

revenus est-elle un frein ou un facteur de l’efficacité économique ?. Introduction Accroche Près du tiers du revenu des ménages provient des transferts sociaux tandis que les prélèvements obligatoires représentent plus de 45 % du PIB ; c'est donc un revenu disponible (Revenu primaire - prélèvements obligatoires + prestations sociales) radicalement différent de leur revenu primaire (issu d'une contribution à la production) qu'induit ce gigantesque mécanisme de redistribution qu'est devenu l'État-Providence

haut de l’Union. D’autre part, le financement de la protection sociale est un autre défit de taille à relever. En Italie, près de 60 % du financement provenait des cotisations sociales supportées par les employeurs. Une réforme est intervenue pour supprimer les cotisations maladies des employeurs et les remplacées par une contribution sur la valeur ajoutée, perçu au niveau régional en charge de l’assurance maladie depuis la récente réforme. Cette réforme suit une tendance de fond, présente dans plusieurs

on en finit pas, d’autres ont proposés de vendre ou valoriser le domaine public. Il s’agirait de se procurer des revenus du domaine ou domaniaux. L’Etat va vendre ses biens mobiliers et immobiliers (frégate…). L’Etat ne va pas rapporter assez car il faut des biens matériaux pour faire marcher les infrastructures. Les biens artistiques de l’Etat a valeur symbolique (1 euro) . Lorsque l’Etat vend ses biens il doit les remettre en état et cela coute plus cher. Exemple imprimerie nationale : Bâtiment à

du principe du consentement de l’impôt à l’article 14 de la DDHC du 26 août 1789. L’impôt était collecté sans le moindre consentement du peuple. Les représentants de la Nation ont le droit désormais de consentir, de formuler leur accord sur le prélèvement fiscal. A l’origine, ce principe était évoqué, il appartenait aux lois fondamentales du royaume (cf. déclaration du Parlement de Paris du mois de mai 1788) mais il n’état pas respecté. Ni les impôts directs, ni les impôts indirects n’étaient consentis

particulier la création d’un nouvel impôt sur le revenu, remplaçant un grand nombre de taxes existantes, notamment la contribution sociale généralisée (CSG), l’actuel impôt sur le revenu (qui, sous sa forme actuelle, serait purement et simplement supprimé), le prélèvement libératoire, la prime pour l’emploi et le bouclier fiscal. Ce nouvel impôt sur le revenu, payé par tous les Français et socialement adapté à la France du XXIe siècle, sera entièrement individualisé, prélevé directement à la source sur les

sociale : retraite, chômage, famille, exclusion… La politique de l’Etat dans le domaine de la création monétaire et de la politique budgétaire, fait l’objet de nombreux débats entre économistes, notamment à l’approche des élections présidentielles. Faut-il alors remettre en cause la politique budgétaire ? Après avoir défini le rôle et les conséquences de la politique budgétaire, nous verrons que celle-ci oppose toujours les économistes quant à son application, en particulier les keynésiens face aux

maintenant ils sont de 145 milliards. C’est ce % entre les intérêts et le montant des impôts qui est importante aujourd’hui il est de 15% donc 15% des recettes de l’État serviront au paiement de ces derniers. A ces intérêts des administrations centrales il faut payer les intérêts des communes de la sécurité sociale… Ce sont donc des impôts qui ne vont pas pour des infrastructures, pour des recherches de développement. Comme ces intérêts sont prélevés sur les impôts tout le monde paie car tout le monde paie