Faut Il Taxer Les Transactions Financières

Conclusion INTRODUCTION Les choix concernant les impôts, les taxes et tous les autres modes de prélèvement des fonds publics occupent une place privilégiée parmi les décisions difficiles que doivent prendre les gouvernements. A la question de taxer ou de ne pas taxer tel ou tel groupe de citoyens, tel ou tel objet ainsi que telle ou telle activité, il n’existe pas de réponse toute faite qui puisse satisfaire à la fois les autorités gouvernementales et le contribuable. Dans une société libre et démocratique

ECONOMIE FAUT-IL CRAINDRE LA MONDIALISATION ? Voilà bien un phénomène dont on évoque souvent le nom, sur lequel on glose beaucoup, mais qu’en fin de compte on ne connaît que peu. La preuve en est la bataille sémantique qui existe sur le terme de mondialisation. Certains la critiquent affirmant que la seule mondialisation valable serait celle du communisme, d’autres en font l’éloge en vantant les mérites de l’ouverture mondiale des barrières douanières car cela permet l’enrichissement de tout

démontrer le besoin de la réguler - Résultat de trois phénomènes depuis les années 1970 : * progrès technologiques d’optimisation et de productivité + régulations financières : structuration des entreprises en réseaux à l’échelle mondiale * technologies de l’information : constitution d’une sphère financière globale * prise de conscience à l’échelle mondiale que les problèmes majeurs du développement humain sont essentiellement transnationaux et ne peuvent être seulement

mondialisation qui respecte les droits de chacun. L'antimondialisation affiche son hostilité, parfois avec violence, à certains aspects de la mondialisation considérés comme "mauvais" par ses défenseurs: délocalisation, dérapage économique, spéculation financière, etc. L'altermondialisation se manifeste en particulier à l'occasion des réunions du G8 ou du G20 en tant que symbole d'une mondialisation qui donne tout le pouvoir à l'argent et à ceux qui le detiennent.Le mot en lui même, altermondialisation,

goût du risque ou qui ont euxmêmes une expertise en matière de mécanique automobile A – L’importance de l’information dans le fonctionnement d’un marché. Un marché à l’équilibre nécessite une information « parfaite ». Pour une concurrence parfaite il faut une transparence du marché et donc une information parfaite, c'est-à-dire, une situation dans laquelle les acteurs ont une connaissance parfaite des prix et des caractéristiques des produits et ils font les meilleurs choix possibles. Exercice : A partir

problèmes de l'environnement * section 1 : l'approche économique de l'environnement * section 2 : les instruments de la politique de l'environnement Quand il y a externalité, ces activités ont un impact sur d'autres individus, il faut tenir compte du bien être de ces individus = bien-être social. On va élargir notre champ d'analyse, on ne va plus s'intéresser aux agents présents sur le marché, mais à l'ensemble des individus. Section 1 : L'approche économique de l'environnement

solution coasienne apparaît dans ces conditions comme une alternative à la première. La seule taxation des externalités, la tarification de l'output au coût marginal social, est insuffisante. En effet, l'approche traditionnelle qui consiste à taxer la quantité de pollution émise par le pollueur attribue la responsabilité des dommages à l'émetteur de l'externalité et élude la réciprocité du problème posé. Coase, pense que pour réduire les externalités subies il faudrait infliger un coût au

leur assiette fiscale. L’impôt tel qu’il soit repose sur une richesse, on va prélever une partie d’une richesse. Le problème c’est que cette richesse peut revêtir différentes apparences économique et donc quand le législateur voudra taxer une richesse, il va taxer cette richesse à un moment donné de la vie de cette richesse. C’est-à-dire que le législateur peut décider de prélever cette richesse quand elle rentre dans le patrimoine c’est donc par la suite un impôt sur le revenu. Si le prélèvement

1 Mutations financières et politique monétaire Chapitre n°1 : Définitions de la monnaie, les risques en matière financière Section n°1 => Monnaie et Economie monétaire I) Qu’est ce que la monnaie ? La monnaie a changé de forme avec les innovations technologiques. Aujourd’hui on parle de monnaie électronique : carte de crédit, carte de débit, distributeur économique de billets… La monnaie s’est progressivement dématérialisée et ce phénomène de monnaie électronique, de dématérialisation, se traduit

 les obligations (I – émis par des  sociétés cotées). Il y a également le livret d’épargne (I) dont le belge est très frillant. Les produits  dérivés  belge  (produit  qui  à  un  sous‐jacent,  au‐dessus  de  l’action  elle‐même,  de  la  Sicav  elle‐ même).     Il faut distinguer la Sicav de capitalisation, c’est‐à‐dire des Sicav qui vont capitaliser les  profits  qu’elles  engrangent  par  la  gestion  du  portefeuille  d’actions,  d’obligations.  L’actionnaire  qui investit ne sortira de son investissement que