Faut Il être Juste Par Devoir Ou Par Intérêt

se donne une fin propre). En effet, pourquoi travaille-t-on sinon pour gagner de l’argent ? Et pourquoi veut-on de l’argent si ce n’est pour acheter ce dont on a envie ? Et pourquoi satisfaire ses envies, sinon pour être heureux ? Si on cherche une activité plaisante, c’est pour être heureux. Chaque chose que l’on désire, chaque action que l’on accomplit, a pour but ultime le bonheur. Les choses n’ont de valeur que parce qu’elles contribuent soit à notre survie, soit à notre bonheur. Le bien

organisations I. Le management * Se préoccuper de management revient à répondre à une question simple mais dans sa formulation mais dont la mise en œuvre pose depuis toujours un problème : comment conduire et organiser une action collective efficace ? Il faut se mettre d’accord sur une finalité commune et s’organiser en conséquence : qui est responsable, comment structurer et répartir le pouvoir de décision, qui représente les autres et comment allouer les ressources. * Le management est au carrefour

une justesse ontologique, intime), valeur impliquant l’idée d’une norme instituante, enfin institution sans laquelle la coexistence humaine serait livrée à l’anomie et au chaos,la justice s’impose à nous tout à la fois comme : 1- une espérance, peut-être toujours déçue ; 2- une exigence, ravivée par un constat d’injustice dénoncée comme un scandale qui appelle jugement ; 3- une nécessité. Pourtant à la question, essentielle, philosophique par excellence, puisque ontologique, morale, éthique, sociale

l’autorité royale. C’est dans ce contexte, mais avant l’assassinat des rois que Jean Bodin, un juriste, rédige les Six livres de la République, il veut mettre un terme aux discussions et aux doutes sur le pouvoir royal. Il diffuse la doctrine qu’il faut renforcer l’Etat, qui n’a qu’un seul représentant, le roi. Il essaye, à travers cet ouvrage de légitimer, de montrer la supériorité du régime monarchique absolu, tout comme Loyseau et plus tard Le Bret. Quels sont les apports de Bodin quant aux

époque. On peut alors lire avec intérêt ce que soutenait Edgar Morin dans Le paradigme perdu : la nature humaine (1973, Points n°109, p.202) : « La guerre est beaucoup plus qu’agression et conquête, c’est une suspension des contrôles de « civilisation », un déchaînement ubrique des forces de destruction. Et quand s’opposent, dans le jeu de la vie et de mort, non seulement des intérêts et des fureurs, mais aussi le sens de ce qui est sacré et maudit, de ce qui est juste et de ce qui est vrai, lorsque

accord conscient entre les hommes, donc sans contrat social. Les échanges interindividuels produisent un marché, par là un prix (les hommes à leur insu contribuent à l'avantage de la société entière, ce qui supprime tout antagonisme entre intérêt privé et intérêt public. L'égoïsme privé apparaît comme la source du bonheur collectif (Smith) • Le tabou de l'inceste Il y a un conflit affectif entre la pulsion sexuelle qui tend à l'appropriation des femmes et le sentiment de crainte

norme et le devoir sur sa morale. Polynice qui avait été coupable de porter les armes contre sa cité. Créon, le roi, a interdit a quiconque de rendre les hommages funèraille à Polynice. Sa soeur Antigone rend ses funérailles alors qu'elle y était interdit à cause de sa moralité. Elle oppose les lois non écrites et inébranlable de la conscience à la raison d'état et à la loi de la Cité. Antigone en est morte donc... Ces lois non écrites ont une valeur universelle, et semble être connu de tous

Le principe responsabilité de Hans Jonas et la responsabilité socialeUNIVERSITÉ DU QUÉBEC À MONTRÉAL LE PRINCIPE RESPONSABILITÉ DE HANS JONAS ET LA RESPONSABILITÉ SOCIALE MÉMOIRE PRÉSENTÉ COMME EXIGENCE PARTlELLE DE LA MAÎTRlSE EN PHILOSOPHIE PAR FANCHON SOPHIE BÉRUBÉ FÉVRIER 2007 UNIVERSITÉ DU QUÉBEC À MONTRÉAL Service des bibliothèques Avertissement La diffusion de ce mémoire se fait dans le respect des droits de son auteur, qui a signé le formulaire Autorisation de reproduire

Pour répondre a ces questions il nous faut préalablement savoir : Pourquoi sommes-nous tenus à choisir ? Quels sont les facteurs qui déterminent ce choix? D'où est ce que ces facteurs tirent leur pouvoir? La réponse à ces questions est fournie par la conscience morale dont il faut préciser la nature, la fonction et surtout les principes sur lesquels elle se fonde pour formuler ses prescriptions et les imposer. Le terme conscience est ambigu. Il peut être pris dans deux acceptions différentes

pouvoir exécutoire de la justice, sa capacité à trancher et donc, à punir. La balance en revanche indique que la justice est le résultat d’une mesure et que toute décision doit être la conséquence d’une délibération. La représentation traditionnelle de la justice met donc en évidence le paradoxe qu’elle doit assumer : il lui faut juger, quelques soient les hésitations ou les doutes qui auront affecté la prise de décision, de la manière la plus mesurée possible. Cet exemple éclaire la phrase de Cicéron