Faux-texte

CORRIGE DU DEVOIR LATIN 1° Présentation 1) Présentez Sénéque et son personnage Médée dans son œuvre L'appel des forces maléfiques : /2 Homme politique, dramaturge, et 2)Complétez le texte à trou : /7 Comprecor vulgus silentum vosque ferales deos et Chaos caecum atque opacam Ditis umbrosi domum, Tartari ripis ligatos squalidae Mortis specus supplicis, animae, remissis currite ad thalamos novos : rota resistat membra torquens, tangat Ixion humum ; Tentalus securus undas haoriat

. b)l'homme zodiacal : Cet partie réunie l'image d'un homme nu, un texte et un tableau. - On voit un homme nu portant les noms des signes du zodiaque correspondant à une partie du corps (Par exemple, les Gémeaux pour les bras.) -le tableau correspond à une année lunaire. Il indique les signes du zodiaque qui commandent chacun des jours de l'année lunaire . -Le texte, de Ptolémée, fait le lien entre la figure de l'homme zodiacal et le tableau puisqu'il recommande

Ubersfeld déclare que "le théâtre n'est pas un genre littéraire mais il est une pratique scénique". En quoi cette affirmation semble t-elle correspondre à la pièce étudié en classe ("Médée" de Corneille) ? [ INTRO ] ... [ I - Lien texte/représentation] Le texte théâtral se démarque des autres, en effet celui ci a un "style" propre à lui même. De plus, il existe un lien entre ces textes et les représentations de pièces. Tout d'abord, nous pouvons y trouver des didascalies telle que : "en

africains d’après les indépendances. À travers son œuvre Le Fou, il nous montre la dégradation, la dégénérescence sociale que traversent presque toutes les couches sociales. Cette pièce de théâtre nous montre en effet, par la dextérité de l’auteur, "le faux pas" de nos autorités, leur incapacité à mener à bien les affaires de nos jeunes nations. On constate que dans cette pièce de théâtre, c’est une critique sociale qui y est faite et qui démontre combien nous tous participons à l’effondrement de notre

LA SYNTHESE DE TEXTE : “LA TYRANNIE DE LA COMMUNICATION (Ignacio Ramonet) La presse écrite pert sa viralité et subit une dépersonalisation. On peut trouver les causes dans la modification des bases du journalisme. D’abord le mot “informer” a changé de sens, au départ, il signifait decrir précisement le fait ainsi que son contexte. Aujourd’hui, informer c’est diffuser les images. Cette mode aboutit a la superstition que ces images suffisent, l’illusion que voir c’est comprendre, or on ne fait

essai. Il va se servir de son dictionnaire pour propage les idées de philosophes. « Torture » est écrit car il s'agit d'une question d’actualité. Pour ce personnage la torture est une pratique cruel indigne d'une grande nation : FRANCE ! Un texte argumentatif : Il s'agit d'une argumentation direct de la ligne 1 à 15. Thèse : Torture est inhumaine ligne 37, 39 « atroce » → jugement Arguments : Dans l'histoire il n'y a pas d'exemple d'utilisation de la torture sauf chez les Romains qui

1/7 Objet d’étude : Le personnage de roman, du XVIIème siècle à nos jours Le sujet comprend : Texte A : Honoré de Balzac, Eugénie Grandet, 1834. Texte B : Victor Hugo, L’Homme qui rit, Deuxième Partie, Livre Deuxième, chapitre I, 1869. Texte C : Albert Cohen, Mangeclous, chapitre I, 1938. Texte D : Marc Dugain, La Chambre des officiers, 1998. 14FRTEMLR1-bis 2/7 Texte A : Honoré de Balzac, Eugénie Grandet. Félix Grandet (le père Grandet) est un tonnelier devenu extrêmement

opération : il conviendrait donc d’installer un système d’arrosage à la commande. M. Mahjoubi propose aussi de mettre en place des rideaux bleus, amovibles, sous la verrière. Il ajoute pourtant que la véritable solution consisterait à poser un faux-plafond ou, mieux, à réaliser la climatisation des bureaux ainsi que le prévoyait le projet et celui de l’agrandissement des bureaux. M. Benyad marque son inquiétude devant les hésitations actuelles et demande à M. Zghari d’accélérer la prise de

incassable, froid, sans émotions, inhumain. Face à ses sentiments, elle n’a pas de pitié. C’est ce qui lui déchire le cœur. On peut également penser que se n’est pas de la méchanceté ou de la supériorité mais une façon pour elle de ne pas lui faire de faux espoirs en lui prêtant attention. Enfin, pour Pierre de Ronsard, Hélène est sa source de vie. Dans ce poème on peut relever l’isotopie de la vue : « regard » ; « œil » et encore « regard ». IL veut donc insister sur le fait qu’Hélène est indispensable

Pour accentuer cette attraction entre le personnage et le livre, cette euphorie liée à la découverte, l’auteur emploie une juxtaposition de groupes adjectivaux : « Je vis tout de suite l’incroyable, l’inespéré, l’inimaginable… » L’autre (texte 4) a accès aux livres et éprouve une ardente envie d’apprendre avant mêmes de savoir lire : « Je ne savais pas encore lire ». L’auteur emploie une métaphore en comparant les livres à des pierres levées, des briques, puis des menhirs pour enfin les