Fédération nationale des syndicats

loi fixe les règles concernant : - les droits civiques et les garanties fondamentales accordées aux citoyens pour l'exercice des libertés publiques ; la liberté, le pluralisme et l'indépendance des médias ; les sujétions imposées par la défense nationale aux citoyens en leur personne et en leurs biens ; - la nationalité, l'état et la capacité des personnes, les régimes matrimoniaux, les successions et libéralités ; - la détermination des crimes et délits ainsi que les peines qui leur sont applicables

d'industrialisation et une hausse du niveau de vie menant au plein emploi, ce qui permet aux syndicats d'espérer une plus grande reconnaissance et l'augmentation de leurs effectifs. Le mouvement syndical des années 1950 veut occuper une plus grande place sur l'échiquier social québécois. Les employeurs, par contre, s'opposent à la montée du syndicalisme et ils sont fortement appuyés par le gouvernement de l'Union nationale de Maurice Duplessis (1890-1959). Afin d'attirer les entreprises étrangères au Québec

délivré pour une durée de cinq ans, et peut être renouvelé. Il permet aux organisations de consommateurs de défendre en justice les intérêts et les droits des consommateurs, de représenter ces derniers dans des organismes tels que le CNC (Conseil National de la Consommation), de pouvoir saisir quelques instances (commission des clauses abusives) et de bénéficier de subventions versées par les pouvoirs publics. Les principales fonctions des associations sont de défendre les intérêts des consommateurs

514 729-3056 Téléc. 514 729-3010 Internet : www.lettresenmain.com Courriel : lem@videotron.qc.ca Réalisation Fédération des travailleurs et travailleuses du Québec (FTQ) 565, boulevard Crémazie Est, Bureau 12100 Montréal (Québec) H2M 2W5 Tél. 514 383-8000 Téléc. 514 383-8038 Internet : www.ftq.qc.ca Impression Imprimerie Heon et Nadeau ltée Dépôt légal : 3e trimestre 2011 Bibliothèque Nationale du Québec ISBN 2-922908-09-7 © Lettres en Main Le syndicalisme, d’hier à aujourd’hui Nous connaissons tous

socio sportif A partir des années 1970 et plus intensément dans les années 1980, on observe une marchandisation du sport : les rapports sont de plus en plus étroits entre le champ sportif et le champ économique. Le sport alimente l’économie nationale comme un secteur qui produit des biens et des services, mais aussi des emplois. Il s’articule avec l’aménagement du territoire et diffuse des images télévisées. Il contribue donc à la spectacularisation. 1/10 This PDF was created using Adolix

estime que si les résistants veulent se battre, qu’ils le fassent. Au final c’est l’armée d’Alger qui va l’emporter. Il n’y a donc pas d’anarchie au moment de la libération. Il y a certes des autorités parallèles. Exemple existence du conseil national de résistance à coté du gouvernement de De Gaule, à coté du préfet il y a un comité départemental de libération, comité local de libération. En principe, tous sont sur la même position : finir la libération, battre l’Allemagne et relever le

1906-1909: ministère Clémenceau, conflits sociaux, Clemenceau contre Jaurès A) Le radicalisme 1901: naissance du parti radical et radical socialiste (premier grand parti à l'échelle de la France) - naissance préparée par des comités locaux ou nationaux de ligue (exemple: La ligue de l'enseignement, née sous le Second Empire), et des loges maçonniques (d'abord dominés par les modérés, puis opportunistes) - création du parti en vue des élections de 1902 (succès radical) - de 1900 à 1914: c'est

75015 Paris Tél. 01 47 65 20 00 - Fax 01 46 45 52 36 - www.ademe.fr AFNOR (Association Française de Normalisation) 11 avenue Francis de Pressensé - 93571 St Denis la Plaine Tél. 01 41 62 80 00 - Fax 01 49 17 90 00 - www.afnor.org CNPF (Centre National de la Propriété Forestière) IDF (Institut pour le développement Forestier) 47 rue de Chaillot - 75016 Paris Tél. 01 47 20 68 15 - Fax 01 47 23 49 20 www.foretpriveefrancaise.com DGEFP (Délégation Générale à l’Emploi et à la Formation Professionnelle)

L'USCC ne revendiquait que 30 000 adhérents au moment de sa dissolution (contre 70 000 pour la Fédération des syndicats camerounais, FSC), mais, selon certains de ses cadres, minimisait son audience pour ne pas effrayer le pouvoir22. Du côté des mouvements de jeunesse, la situation est encore plus équivoque : la JUNC, organisme annexe du parti, dé­clare 350 000 membres (contre 10 000 adhérents à la Fédération de la jeunesse scout, 8 000 à celle de la jeunesse rurale, 5 000 à celle de la jeunesse scolaire

d’une série de lois qui montre qu’il a été traité différemment selon les époques de croissances ou de récession ; le même constat est valable pour la durée du travail • Un droit source de progrès social : depuis qu’il existe du droit du travail, les syndicats n’ont eu de cesse d’obtenir des réduction de travail (Ex : 1936, une loi instaure les 40 heures ; en 2000 on passe aux 35 heures)D’ou l’importance d’une notion : les « acquis sociaux » Cela s’explique par le fait que le droit du travail est un droit