Félon

serments par le sang dont tu sors, Et je vais à ton père en parler chez les morts !… - Adieu !… Il fait quelques pas pour sortir. Hernani le retient. Hernani Duc, arrêtez. A Doña Sol. Hélas ! Je t’en conjure, Veux-tu me voir faussaire, et félon, et parjure ? Veux-tu que partout j’aille avec la trahison écrite sur le front ? Par pitié, ce poison, Rends-le-moi ! Par l’amour, par notre âme Immortelle… Doña Sol, sombre. Tu veux ? Elle boit. Tiens maintenant. Hernani, prenant la

association est mise en valeur dans l’enjambement finale (vers 127-128). Cela met en valeur l’idée de la mère ne peut répondre à la violence que par la violence puisque le lait ses transformer en sang. Le discours final prend l’allure d’une malédiction : « Félon » apostrophe insultante. Suite du 4. Une allégorie menaçante dans la prosopopée finale La complexité de l’allégorie est mise en valeur avec porter et nourriture. En effet la France (mère) peut être à la fois protectrice et féconde (donne

reliques ou sur l'Évangile et promet d'aider (soutien militaire) et de conseiller le seigneur. Lors de la cérémonie d'investiture, le vassal reçoit du seigneur une terre, le fief, donc des revenus. Si le vassal manque à son devoir, il est déclaré félon. Au château, le seigneur doit entretenir sa famille, ses vassaux et ses chevaliers. Le roi est placé au sommet de la pyramide féodale. En effet, les rois vont se servir de la féodalité pour restaurer leur autorité. Il se fait l'arbitre des litiges

dieu les croisades le modèle du miles christi (chevaliers du christ) la vassalité féodale l'ensemble de la société va être régie par des rapports féodaux. Lien entre vassale et suzerain. Si le vassale trahi le suzerain il devient un félon et il se voit confisquer tout ses biens... une aristocratie seigneuriale. La seigneurie peut prendre deux formes la seigneurie foncière : les seigneurs possèdent la plupart des terres qu'ils concèdent aux paysans (la tenure) et en échange

du diable. L'auteur joue sur cette représentation en utilisant des métaphores, ou des références renvoyant au maléfique. Un serpent lui mordait la queue et lui brûlait la croupe en lui jetant des flammes'' (p. 130) ''... un créature venimeuse et félonne ne mérite que d'être maltraité, or le serpent est venimeux, le feui lui sort de la bouche tellement il regorge de félonie (p.130) les flammes qui sortaient de sa gueule, plus larges qu'une marmite (p.130) -Le lion au contraire fait référence à la

Britannicus car c’est Néron qui détient le pouvoir et celui-ci pourrait en user à des fins personnelles. Pour cela, elle va éviter de croiser ses yeux avec les siens afin de ne pas faire transparaitre ses émotions qui pourraient alerter l’empereur félon des sentiments qu’elle éprouve pour Britannicus. Ainsi, son profond chagrin se mue en indifférence devant le malheur qu’affiche son amant. Britannicus aura tôt fait de l’interpréter en un manque d’affection de Junie à son égard. Junie veut le mettre

respecté l’hommage (serment de fidélité) qui le liait à son seigneur, le roi de France Philppe Auguste, puisqu’il ne s’est pas présenté à la cour. 3) La sentence est légale car il s’agit d’un acte de félonie punit par la confiscation des fiefs du vassal félon. Exercice 3 (sur 2 points) : Le clergé séculier correspond à l'ensemble des membres du clergé qui vivent « dans le siècle », c'est à dire au contact des fidèles. Il s'agit des cardinaux, des évèques ou des curés. Les douves correspondent aux

Saragosse est investie ; Marsile, blessé, y meurt de désespoir. L’empereur et son armée s’en retournent en France. La promise de Roland, Aude, succombe à la nouvelle de sa mort et suit son ami dans le trépas. Puis c’est à Aix que se déroule le procès du félon Ganelon. Après une proposition d’acquittement des barons, Thierry se fait le champion de Charlemagne et défait le roi Pinabel lors d’un duel judiciaire. Ganelon est écartelé et Bramimonde, femme de Marsile, se convertit d’elle-même au christianisme

mère qui les a nourrit.  Référence biblique : « Essau », « Jacob ». Les deux frères sont présentés comme des bessons et ne devrait pas se séparer, se battre. B) L’opinion du poète  Le poète accuse les deux religions. V.23 « mutins »,v.31 « félons », v.20 « ils se crèvent les yeux »-> forme pronominale qui montre qu’ils se font mal mutuellement, ils se font donc mal à eux même.  V.15 à 19-> les déterminants au pluriel montrent que les deux religions sont coupables.  Cependant, l’auteur

Paysans: serfs (esclaves, servants), vilains (plus libres que les serfs) Marchands et artisans Noblesse (seigneurs): clergé (noblesse de robe), chevalier (noblesse d’épée) Royauté: le roi et la haute noblesse – roi et pape à égalité Traitre: félon 3.2 Société guerrière Buts des chevalier: protéger et d’agrandir le territoire Importance énorme de la terre puissant et riche Roi royaume (pays) Seigneur seigneurie Comte comté Duc duché 3.3 Société Héréditaire Concept