Femme de couleur

j’ai plus ou moins exploré la plupart ses œuvres (36 sur 45 au total), sa vie, où le côté mystérieux, obscur du peinture est mis en évidence. J’ai ainsi remarqué, à travers son œuvre, qu’il reprenait les mêmes couleurs, les mêmes sources de lumière, presque toujours le même sujet (la femme) ; en résumé, un seul et unique style, le style caravagesque utilisant le contraste clair-obscur, exprimant avec une fidélité sans pareil, la pureté et la précision du trait. C’est donc naturellement que mon

| |Marque : Le temps des cerises | |Dénomination de vente : Montre femme | |Référence(ou code EAN) : TC 25 RDM | |Distributeur :

salon d’automne de 1905 Le Salon d'automne de 1905 est un évènement artistique qui s'est tenu entre le 18 octobre et 25 novembre 1905, à Paris, au Grand Palais. A l’exposition, dans la salle VII un groupe de jeunes peintres exposent des toiles aux couleurs vives qui provoqueront de vives critiques du publique. Matisse 179324010160000Henri Matisse est né au Cateau-Cambrésis, dans le nord de la France le 31 décembre 1869 dans une famille de commerçants. Il étudie le droit à la faculté de Paris de 1887

Il  part étudier la peinture à Munich, puis effectue une série de voyages (France, Hollande, Tunisie, Italie, Russie) où il rencontre Cézanne, Matisse et Picasso.  Il parvient rapidement à une simplification très personnelle des formes, assortie de couleurs denses . Dès 1909, Kandinsky donne à ses tableaux des titres tels qu’Improvisation, Impression ou Composition. L’Improvisationtrouve ses sources dans les impressions de la « nature intérieure », c’est-à dire inconsciente et spontanée, l’Impression trouve

profil. La cinquième femme à droite est accroupie et nous tourne le dos, le corps de ces femmes semble déformé, représenté à la fois de profil, de trois quarts, de face et de dos, avec des contours faits de segments de droites et d'angles vifs. Dans ce tableau, Picasso « oublie » toutes les règles académiques : pas de sujet narratif, aucune perspective, absence de réalisme voire de naturalisme dans l'exécution des modèles. La palette de couleur est assez restreinte. Les couleurs chaudes, du rose pâle

l’impression d’être dans une salle de spectacle avec des rideaux d’avant-scène, à la grecque. A gauche Une femme nue, aux cheveux longs et noirs, est représentée de profil, son œil droit est vu de face. Sa main gauche, bras tendu vers le haut, montre qu’elle s’appuie sur une paroi ou qu’elle retient un rideau (art égyptien). Ses jambes sont difficiles à identifier, l’une se confond au rideau. La femme à sa droite Nue, cheveux longs et noirs, de face et nez de profil, elle regarde le spectateur. Son bras

terrassés. En haut se trouve un ouvrier en bretelles, ainsi qu'un travailleur en blouse bleue . Eugène Delacroix s'est représenté en un homme bourgeois, à coté de la femme, celui en cravate avec un chapeau. En arrière plan, il y a de la fumée et de la poudre ; derrière celle-ci se trouve un bataillon d'infanterie attaqué. La femme joue un rôle clé dans ce tableau; elle est au sommet d'une pyramide de corps, elle attire notre regard et celui des hommes qu'elle comine, elle est munite d'un fusil à

il y a des femme partout, elle ne sont pas tous très chaudement habillées. il fait froid, je me dois de les réchauffer avec mon engin, il est si immense, on pourrait croire que c'est une masse mais c'est une grosse chandelle qui, avec sa chaleur, peut réchauffer beaucoup de gens. si je ne continu pas ce document je ne pourrais pas m'inscrire donc je dois rajouter quelque phrase qui n'ont pas de bon sens. c'est une chandelle si magnifique que sa flamme est de toute les couleurs

ou leur profession : la bohémienne Carmen, « la gitanilla », héroïne de la nouvelle de Mérimée ; la chanteuse d'origine populaire Nana, qui se produit au théâtre des Variétés, héroïne éponyme du roman de Zola ; la prostituée de La Vengeance d'une femme, dernière nouvelle des Diaboliques de Barbey d'Aurevilly ; la servante d'auberge de la nouvelle de Rémy de Gourmont Les Yeux d'eau. Toutes appartiennent à une marginalité attirante. Mais la diversité des points de vue adoptés et des descriptions de

LA « FEMME QUI PLEURE » Ce tableau articule deux approches de l’art qui sont généralement opposée : Le lyrisme (qui renvoi à des sentiments intérieurs personnels) et l’engagement (qui renvoi des aspects intellectuels d’action sur l’extérieur). Ces deux concepts antinomiques sont réunis I - Portrait d’une jeune femme 1 - Portrait d’une jeune femme coquète Portrait de jeune femme coquète, soucieuse de ses vêtements (sombre, de bon goût, de prix vêtement gansé, avec une touche de couleur sur le