Femme de ménage

Ouistreham" est un récit poignant écrit par Florence Aubenas, une journaliste française renommée. Publiée en 2010, cette œuvre relate l'expérience de l'auteure lorsqu'elle décide d'entreprendre une investigation journalistique en travaillant comme femme de ménage dans différents hôtels et restaurants de la ville de Ouistreham, en Normandie, France.Le livre débute par la volonté d'Aubenas de sortir de sa zone de confort et d'explorer un aspect méconnu de la société française. Elle choisit délibérément un

2005 à 77 % en 2008. Les choses ne s’arrangent guère non plus côté repassage. On passe de 57 % des femmes à manier seules le fer à repasser en 2005 à 66 % en 2008. Même tendance côté courses et corvée d’aspirateur. Inégalité ménagère homme-femme : de la bonne volonté mais pas de progrès Toutes les études le démontrent : les hommes s’investissent encore plus dans leur travail quand surviennent les enfants, collant sans doute plus ou moins inconsciemment au rôle classique du pater familias

la rivière de diamant est fausse. Ces deux parties sont opposées par le fait qu’avant la perte de la parure Madame Loisel était une jeune femme aisée, belle et avait une vie comblée, jusqu’à l’incident qui entraîna le remboursement de son amie: (L16 à 17) « Madame Loisel semblait vieille, maintenant. Elle était devenue la femme forte, et dure, et rude, des ménages pauvres. » Un contraste temporel apparaît clairement avec « Au bout de dix ans, ». Dix ans pendant lesquelles Mathilde a mené une vie

2nde GT groupe 2 1H Devoir de Sciences Economiques et Sociales Les calculs devront figurer sur la copie Définissez: (3 pts) - la consommation, (1 pt) - un ménage, (1 pt) - le pouvoir d'achat. (1 pt) Exercice 1: (5 pts) Mr Le Dréan est informaticien et gagne 2000€ par mois. Sa femme est commerçante et son revenu annuel est de 34 000€. Ils paient 5000€ par an d'impôts sur le revenu. Ils sont propriétaires d'une maison qu'ils louent 1000€ par mois. Leurs taxes

L’Arlésienne Pour aller au village, en descendant de mon moulin, on passe devant un mas bâti près de la route au fond d’une grande cour plantée de micocouliers. C’est la vraie maison du ménager de Provence, avec ses tuiles rouges, sa large façade brune irrégulièrement percée, puis tout en haut la girouette du grenier, la poulie pour hisser les meules, et quelques touffes de foin brun qui dépassent... Pourquoi cette maison m’avait-elle frappé ? Pourquoi ce portail fermé me serrait-il le cœur ? Je

La place de la femme au sein de la société s'est netement améliorée notament grâce aux lois instaurées autour des années 70 permettant de minimiser les inégalités entre les hommes et les femmes. La femme fait aujourd'hui totalement partie du monde du travail, contrairement aux décénies precedentes elle n'occupe plus une place de femme au foyer, mais devient une personne active. C'est un grand changement pour la vie de couple, l'homme n'est plus dépendant de sa conjointe et inversement. Chaque individus

une laide bien sotte, qu'une femme fort belle avec beaucoup d'esprit » Ici, nous avons un homme qui a une peur maladive de la femme, il est obsédé par la crainte du cocuage. Il décrit toutes les infortunes qui menacent un homme lorsqu'il se mari : l'infidélité des femmes. Cette scène nous présente donc, l'obsession d'Arnolphe (avoir une femme stupide pour en faire ce qu'il veut) . En revanche Chrysalde essaye de détourner le point de vue qu'adopte Arnolphe sur la femme. (V.28-28) « Mais comment voulez

MOULINEX La firme est né en 1932 d'un trait de "génie" de son fondateur Jean Mantelet. L'histoire veut donc que las des purées grumeleuses que lui servait Fernande, sa femme, Jean Mantelet mette au point dans son atelier de Bagnolet, la moulinette à légumes. Il est à l’époque le patron de la "Manufacture d'emboutissage de Bagnolet Mantelet et Boucher". Le 16 février 1932 il dépose un brevet) pour son Moulin-Légumes, de cette invention naîtra la société Moulin-Légumes. Les premiers engins fabriqués

Une jeune femme, la narratrice, anonyme, travaille pour Mme Van Hopper, femme mondaine et acariâtre résidant dans un hôtel de Monte Carlo. La narratrice, très jeune, est très peu sûre d'elle. Elle rencontre Maximilien de Winter, d'âge moyen, 42 ans, veuf depuis peu. Les deux développent une amitié qui, en quelques semaines, devient d'un romantisme décalé, en raison de la différence d'âge, mais aussi du nom supposé exotique et unisexe du personnage principal. Quand vient le temps pour Mme Van Hopper

l'origine sociale et donc de la classe sociale est particulièrement aigue chez cette jeune femme. On peut penser que cette question constitue le thème central de la nouvelle. Jeune femme rêveuse : ceci apparaît nettement dans le recours à la focalisation interne. Importance des anaphores du verbe « elle songeait »/ opposition vue (donc réalité) et songe, rêve, fantasme. « Elle souffrait sans cesse » : femme désillusionnée et insatisfaite. « Malheureuse comme une déclassée » Goût du luxe : dans