Ferdinand de Saussure

et récepteur lorsqu'il s'agit d'êtres humains. Les linguistes ont montré pour leur part que l'apport cybernéticien laisse intact le questionnement sur la nature sémantique du message et sur son interprétation. Héritiers des conceptions de Ferdinand de Saussure, ils ont bien mis en évidence, tel Roman Jakobson, les spécificités apportées par le langage humain dans la communication ; mais ces auteurs sont restés flous pour ce qui concerne les éléments extra-linguistiques. Ils n’ont que partiellement

science des significations, du sens. La théologie fut l'une des premières sciences à étudier le sens et les significations dans les systèmes et les mythes religieux. Cependant, le mot « sémiologie » apparaît avec la linguistique et son fondateur Ferdinand de Saussure qui a considérablement influencé et modifié l'approche de cette science du langage humain. Il créa notamment la linguistique structurale et s'écarta quelque peu d'une étude simplement historique (diachronique) des langages, il donne également

«L’énonciation», Antoine Culioli «Pour une linguistique de l’énonciation », Oswald Ducrot « Dire et ne pas dire », Roman Jakobson «Linguistique et théorie de la communication», «L’argumentation dans la langue», Paul Miclău Semiotica lingvistică, Ferdinand de Saussure «Curs de lingvisticâ generala» etc) Le matériel illustratif monte à ce moment à une dizaine d’exemples tirés des œuvres littéraires (Marcel Aymé, Hervé Bazin, François Mauriac, Françoise Sagan, Albert Camus, etc) Les méthodes dont nous

constituant son contexte. Noter que cette découpe , largement acceptée en linguistique contemporaine, n’allait pas de soi chez Saussure (début du XXème siècle), pour qui la phrase procédait, en tant que combinatoire libre de signes linguistiques, de la « parole ». |COMPÉTENCE/ PERFORMANCE (Noam Chomsky[1]) |LANGUE/ PAROLE (Ferdinand de Saussure[2]) | | | |

Langue et langage : Le langage, défini comme activité d’expression ou de communication, en lien avec la pensée, se distingue clairement du moyen dont il se sert, la langue. Le langage ne réduit pas au seul langage oral ou écrit. Selon Ferdinand de Saussure, le fondateur de la linguistique, il y a 2 aspect dans le langage : la langue, le système ou le code, et la parole, c'est-à-dire l’utilisation effective, la mise en en œuvre par un individu de ce code. Priorité du « parler-lire-écrire » :

interdisciplinaire À la différence d'autres disciplines qui font l'univers des sciences du langage (la linguistique structurale, la rhétorique, la sémiotique) auxquelles on peut associer un « geste fondateur » (« Cours de linquistique générale » de Ferdinand de Saussure, 1916 ; « On a New List of Categories » - Charles S. Peirce, 1867 etc), l'analyse du discours apparaît comme un espace extrêmement divers et mobile, comme une dissémination interdisciplinaire, comme un receptacle des tendances récentes (la

1950 ailleurs, une foule de linguistes essaye de donner au langage un statut scientifique, cherchant des critères pour définir son objet, ses limites et mettre au point des concepts permettant une description méthodique de son fonctionnement. Ferdinand de Saussure, dont le Cours de linguistique générale avait, dès 1916, provoqué de vives réactions, exprime les difficultés de cette approche scientifique du langage, comme de tout fait humain. Si d’autres sciences (psychologie, anthropologie…) prennent

pragmatique : cela concerne l’accès de l’enfant à la Loi symbolique et, plus spécifiquement, à la culture, bref à ce qui l’intègre dans une communauté humaine. 2 L’évolution du champ de la linguistique 1 Au départ : rien que la langue Ferdinand de Saussure, fondateur de la linguistique moderne, distinguait strictement langue et parole : En séparant la langue de la parole, on sépare du même coup : 1. ce qui est social de ce qui est individuel ; 2. ce qui est essentiel de ce qui est accessoire

L’arbitraire du signe _ Saussure Extrait de ‘’ Court de Linguistique générale ‘’ Le signe linguistique est arbitraire. Le signe linguistique est l’association du signifiant et du signifié ( le son du signifiant est la plus petite unité prononçable ). Le signifié porteur de sens contient la plus petite unité de sens qui est le mot. Deux cas particuliers : les mots composés et les verbes conjugués. Ces plus petites unités de sens sont des monèmes. Les plus petites unités de son sont les phonèmes

niveau de l’en soi, les pensees sont indisicbles a l’interieur du sujet, au niveau du poursoie, les pensee s’exprime et se formul grace au langage. Enfin, le sujet prend conscience des pensee qu’il a b) La langue et la pensee sont aussi lier pour Saussure, comme le recto et le verso d’une feuille de papier. Benveniste affirme que du point de vue psychologique, le lien entre « le signifiant et le signifié, le lien n’est pas arbitraire, il est necessaire. » cad que par exemple, le concepte, le signifier