Ferragus Analyse

etc. Le plan analytique Le plan analytique répond aux sujets qui demandent une réflexion approfondie. Il ne s’agit pas de discuter, mais de décrire une situation, d’en analyser les causes et les conséquences. Cela revient parfois à traiter un problème selon des divisions temporelles : description actuelle des faits, analyse de ce qui a causé la situation actuelle et évocation de la situation future. Quels sont les sujets concernés par le plan analytique ? Généralement, ce sont les sujets

l’Etranger 1- Présentation du… 2- Analyse du support II- Cas à l’intérieur de votre pays 1- Présentation du support 2- Analyse du support B. Planche de synthèse : I- Les avantages 1- 1 cas : 2- 2 cas : II- Les inconvénients 1- 1cas : 2- 2 cas : Troisième Partie : Approche conceptuelle A. Analyse de l’Etat existant I- Le support 1- Situation et environnement immédiat 2- Le plan 3- Les coupes II- Analyse Formelle III- Analyse structurelle IV- Analyse Fonctionnelle V- Synthèse 1-

 CHAPITRE 1 : Fonctions, dérivation et continuité I Rappels sur les droites: Remarque sur le calcul du coefficient directeur : Cas où on connaît les coordonnées de 2 points de la droite A(xA ; yA) et B(xB ; yB) alors a = ……………………………… Cas de la tangente à la courbe d’une fonction f au point d’abscisse x0 alors a = …………..………………………….. Exercice : a) Déterminer une équation de la droite (AB) où A (– 5 ; 8) et B (2 ; 6). …………………………………………………………………………………………………………….. ……………………………………………………………………………………………………………

Les débuts de l'intégrale définie Tout d’abord, c’est Augustin Louis Cauchy qui a découvert comment trouver l’aire de n’importe qu’elle courbe, soit par des sommes de rectangles. Par la suite, dans les années 1850, Bernhard Reimann a repris les sommes, les a amélioré, et leurs a donné son nom, d’où vient les Sommes de Reimann. Ensuite, Gaston Darboux traduit les travaux de Reimann, et amène des améliorations : les sommes inférieures et les sommes supérieures. Rrésumé de la technique de

Si la somme des deux résultats est égale à 7, le joueur gagne 4$; sinon, le joueur perd 1$. Supposons que, pour appâter le chaland, un casino annonce aux joueurs qu’il existe de nombreuses manières de gagner : (1,6), (2,5), (3,4), etc. Une petite analyse mathématique montre qu’il n’existe pas assez de manières de gagner pour rendre le jeu profitable. Parce que les gens prennent un air absent dès qu’on parle de mathématiques, votre défi est de leur démontrer à l’aide d’un programme l’inutilité de jouer

L1 (R), et on cherche une solution ` l’´quation pr´c´dente, C 1 par rapport a e e e 2 par rapport ` la variable d’espace. a ` la variable temps, et C a http://www.bibmath.net 2 ∂u ∂t 2 Exercices - Transformation de Fourier : ´nonc´ e e 1. Analyse : On suppose que l’´quation pr´c´dente poss`de une solution u telle qu’il existe e e e e une fonction g ∈ L1 (R), tendant vers 0 en l’infini, v´rifiant, pour tout t ≥ 0, e |u(t, x)| ≤ g(x), ∂u (t, x) ≤ g(x), ∂t ∂u (t, x) ≤ g(x), ∂x ∂2u (t, x) ≤ g(x)

D’ÉCOULEMENT 1.1.la fraction de vide. 1.2. Les vitesses. 1.3. Le titre. 1.4. Trajectoires. 1.5. Coalescence. 1.6. La tension superficielle. Avec exemple numérique. 1.7. Les corrélations. - par l’analyse statistique des données expérimentales. - Par une analyse mathématique d’un problème donné. - Par l’utilisation de la théorie de similitude et de l’analyse dimensionnelle. 1.8. Modélisation analytique des écoulements diphasiques : - le modèle homogène. - Le modèle à phases séparées. - Le modèle d’écoulement

premiers compris entre 10 et 20. Les premiers groupements de la deuxième colonne s’ordonnent comme un fragment de table de multiplication de 2 « 3-6, 4-8, 5-10 », mais la séquence 5-7 échappe à cette hypothèse et la remet donc en cause. Même sans une analyse mathématique approfondie, la première et la dernière colonne interpellent l’esprit à travers les séquences de logique qu’on y découvre. Cet étonnement est encore plus grand, lorsqu’on considère la dernière colonne où les séquences « 11, 13, 17, 19 »

Un corrigé du CNC 2011 MP Maths1 1.1) Soit h : t  gte ixt . On a h est continue sur R et |ht| |gt|  O t12  t donc h est intégrable sur R. 1.2) On a gt  O t12  donc il existe M  0 et A  0 tels que pour |t| A, |gt| t M t2 . Soit J un segment de R donc il existe a  0 tel que J  a, a pour n  |g n t|  |gt  2n||gt  2n| et  n1 1 n2 n0 M t2n 2 aA 2 on a: pour t  J, |t  2n| 2n  |t| 2n  a  A de même |t  2n| 2n  |t|

conséquent, l’expression de a peut s’écrire : n ÅÅÅÅ ⁄i=1 Hxi - x n Multipliant (4) par êê et retranchant de (3), il vient : x x y x ⁄n Hx - êêL @Hy - êêL - aHx - êêLD = 0 d’où l’on déduit la valeur de a : êê y ⁄n Hx -x L Hy -êêL ⁄i=1 i (5) 1.3. Analyse de la variance Rapportant l’observation yi à la moyenne êê des observations, on peut écrire : y Hyi - êêL = a Hxi - êêL + ei y x Dans cette expression, la quantité a Hxi - êêL représente ce qui est « expliqué » par X , et la x quantité ei est une