Ferry

L’article 10 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen proclame la liberté religieuse : "Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses (...)". 1791 : La constitution instaure la liberté des cultes. 1881-1882 : Les lois Jules Ferry instituent l’école publique gratuite, laïque et obligatoire. 1905 : Loi de séparation des Églises et de l’État : "La République ne reconnaît, ne salarie ni ne subventionne aucun culte". 1946 : Inscription du principe de laïcité : Laïcité Principe

l’affrontement entre monarchistes et républicains, la question de l’éducation est un important sujet de confrontation. La Troisième République a recréé l’organisation du système scolaire, en instaurant l’enseignement public, laïque et obligatoire (lois Jules Ferry). En 1902 après la victoire du « bloc de gauche » aux élections, le radical Emile Combes, président du conseil de 1902 à1905 mène une politique hostile aux établissements scolaires tenus par des congrégations c'est-à-dire des associations de religieux

Pour Luc Ferry, la philosophie n’est pas (ou pas seulement) une formation à l’esprit critique, à l’autonomie ; elle est une doctrine du salut, pour aider à surpasser les peurs liées à la mort, à la finitude, à la disparition d’un être cher ; mais c’est une doctrine du salut par soi-même, c’est à dire sans le recours à un Dieu. Luc Ferry analyse dans son livre [1] cinq moments essentiels de la philosophie : - Le stoïcisme grec. - La religion chrétienne. - L’humanisme moderne (du XVIème siècle

création du mariage civil et de l’état civil. Les prémices de la laïcité vont véritablement imprégner la société française au travers de l’éducation. La Troisième République a notamment recrée l'organisation du système scolaire avec les lois Jules Ferry (mars 1882) qui instaurent l'enseignement public, laïque et obligatoire : « Les écoles primaires publiques vaqueront un jour par semaine en outre du dimanche, afin de permettre aux parents de faire donner, s'ils le désirent, à leurs enfants l'instruction

La Sagesse des Mythes, Luc Ferry Avant-propos : Dans cet avant-propos, l’auteur pose sa réflexion sur le véritable sens des mythes. Loin de les assimiler à de simples contes ou à de naïves histoires, Luc Ferry montre que les mythes nous apportent beaucoup en réalité. Des siècles après leurs découvertes, ils continuent à nous intriguer, à nourrir nos fantasmes, ils nous obligent à une re-flexion sur notre propre condition. Dans cette introduction, Ferry s’appuie sur les deux plus grand mythes

général avaient un de leur parent présent dans la catégorie cadres et profession intellectuel supérieur. Question générale : après avoir rappelé le rôle de l'école dans la lutte contre les inégalités, vous en montrerez les limites. Les lois Jules Ferry (série de lois sur l'école primaire votées en 1881-1882 sous la Troisième République), qui rendent l'école gratuite (1881), l'éducation obligatoire et l'enseignement public laïque (1882) s’inscrivent dans l’optique de promouvoir l’ascension sociale

pour organiser la démocratie. la séparation pourrait accroître une hiérarchie des sociétés. Stabilité de la démocratie. Les Droits de l'Homme et du citoyen assurent la liberté et la l'égalité (Ex : allocation universelle de Jean-Marc Ferry, revenu universel de base pour pas être exclus de la société). Si on imposait un revenu de base on assure la l'égalité, une valeur, la non exclusion de la société etc. Or il y a un risque, celui que certaine personne se pose uniquement sur cette

le progrès scientifique concurrence la religion qui assurait jusqu'à là l'explication du monde et des malheurs. A la fin du XIX-ème siècle, les scientifiques revendiquent ce nouveau rôle. Après l'avènement de la 3ème république et des loi JULES FERRY sur l'obligation obligatoire et laïque des années 1881 à 1882, l'enseignement des sciences dans la formation du futur citoyen entraine un recul de la pratique religieuse. La séparation de l'église et de l'État en 1905 va confirmer cette tendance.

dans les programmes, la laïcité du personnel, l'interdiction du prosélytisme. La liberté religieuse a conduit à instituer une journée libre par semaine laissant du temps pour l'enseignement religieux en dehors de l'école. Depuis la loi Jules Ferry du 28 mars 1882, l'instruction est obligatoire. Cette obligation s'applique à partir de 6 ans, pour tous les enfants français ou étrangers résidant en France. À l'origine, la scolarisation était obligatoire jusqu'à l'âge de 13 ans, puis 14 ans à partir

la vie civile, l’évolution du droit et de la morale, etc., indépendamment de tout dogme religieux. La Troisième République a notamment recréé l’organisation du système scolaire, en instaurant l’enseignement public, laïque et obligatoire (lois Jules Ferry). Ce processus s’est conclu par la loi sur la séparation des Églises et de l’État en 1905, qui a marqué l’aboutissement d’une laïcisation affirmée. Au long du xxe siècle, l’État a légiféré et généralisé la laïcité en concevant de nouvelles règles