Fêtes religieuses romaines

désigne au sens restreint, l’adoption d’une religion, qui peut être volontaire ou imposée. Elle peut être sincère ou motivée par des considérations sociales et politiques, un changement spirituel qui accompagne l’adoption d’une nouvelle vie religieuse. La christianisation est un processus complexe ou la conversion n’est qu’une étape, qui implique un changement sociale et culturel lié à l’adoption de pratique chrétienne. Elle est liée également à l’établissement

racine qui signifie « juger » et « espérer ». La prière, qu’elle soit individuelle ou publique, occupe une place importante dans le judaïsme. Faite en commun à la synagogue, elle exige une assemblée de dix hommes au moins, ayant tous la majorité religieuse (plus de treize ans). Trois offices publics sont récités quotidiennement : la prière du matin (chaharit), celle de l’après-midi (minha), et celle du soir (arvit). A l’office du matin, les fidèles se couvrent les épaules du tallit, un châle rectangulaire

gréco-romaine s'impose alors au Sud et à l'Ouest de l'Europe .  Les apports grecs  Les apports romains  De grands empires (romain, carolingien...) ont souvent uni une partie du continent.  La civilisation gréco-romaine s'impose alors au Sud et à l'Ouest de l'Europe .  C'est le christianisme qui, malgré ses divisions, a ensuite structuré toute l'Europe notamment face à l'islam : on parle d’ailleurs d’ « Occident chrétien »  Il a exercé une profonde influence sur la vie religieuse mais

héroïque, la comédie de l’absurde. Elle est surtout écartelée depuis sa naissance entre ses origines populaires et son ambition littéraire. La comédie naît en Grèce, dans le cadre des fêtes traditionnelles en l’honneur de Dionysos : au milieu des réjouissances populaires qui suivaient les cérémonies religieuses, un cortège burlesque (qui parle de situations ou de sentiments élevés à l’aide d’expressions triviales) se formait dans une explosion de plaisanteries et de chansons. Ce ne fut pas avant

Le haut moyen-âge Rome cherche à stabiliser les peuples migrants en leur offrant des terres et en les recrutant comme soldats. L’Eglise romaine cherche à christianiser ces peuples barbares. Entre 600 et …, l’Eglise n’exerce pas son pouvoir a delà de l’Italie, et parfois-même le pouvoir du pape est bafoué. Rome essaye d’intégrer ces peuples germaniques. Il y a une séparation profonde entre les provinces orientales et occidentales car les patriarches de Rome et de Constantinople appliquent des politiques

et 1250, sous l’effet de la hausse de la fécondité et le recul des grandes familles. Par ailleurs si les fonctions économiques sont bien les principaux moteurs du développement urbain, les fonctions politiques et administratives, éducatives ou religieuses (celles-ci ont garanti une permanences des villes pendant le haut MA) sont sans doute plus fréquemment à l’origine du développement des noyeaux urbains : la présence de l’évêque d’une abbaye, d’une université étant en soi un des moyens du développement

Les manifestations religieuses, culturelles et la vie civique. Reprendre le transparent de la cité et montrer l’omniprésence des dieux. • Aucun élément de ce paysage, ni aucune activité humaine n’échappe à la puissance des dieux : - Zeus, père des dieux et des hommes manie la foudre et vit avec les autres dieux sur l’Olympe ; - Apollon : soleil, musique et santé ; - Poséidon : mer ; - Héphaïstos :forgerons et artisans ; - Dionysos : vins et fêtes / théatre ; - Athéna :

PRECIS, POUR DES PERSONNES BIEN DEFINIES 1) La cité d'Athènes : une cité pas tout à fait comme les autres 2) Le groupe des citoyens : un groupe très restreint 3) Les lieux politiques de la cité : des lieux sacrés et respectés, empreints de vie religieuse II) LES INSTITUTIONS DEMOCRATIQUES D'ATHENES : ORGANISATION ET DISTRIBUTION DES POUVOIRS DANS CE NOUVEAU REGIME POLITIQUE 1) Les pouvoirs très étendus des grandes assemblées 2) Le rôle des tribunaux 3) Le rôle des magistrats III) SUCCES ET

C’est vers 1430 que le tableau apparait en Europe, avec Hans Belting, Miroir du monde. L'invention des tableaux dans les Pays-Bas. L'ancêtre du tableau c'est le livre, un objet de très grand prix : cuir, des copistes. La peinture est initialement religieuse. Exple : le diptyque Carrand, vers 1390-1400 : 1 forme curieuse, forme d'église, empruntée au genre architectural. L'objet s'ouvre et se ferme comme un livre > Objet de synthèse : On se tient devant cet objet comme devant une église et un livre

aux matériaux dont il est constitué, et donc il doit garder quelque chose d’important, ici il s’agit de livres. Les livres sont sâcrés, ils sont les gardiens de la connaissance, c’est un lieu de culte du livre, ils gardent la vérité de la croyance religieuse (ex : la Bible). - « tout a reprendre. Tout a redire » : il faut reprendre les ecritures sacrées pour les transmettre *comme un prophete *l'homme qui s'en va aux galeries est un prophète ? Les hommes ont oublié les écritures, c’est pour