Feuerbach L Essence Du Christianisme

ceux qui n'ont pas de "chance" ici bas. Sommaire Introduction I. La croyance religieuse comme une adhésion spirituelle risquée 1. Croire c'est faire un saut dans le vide 2. Croire est un choix difficile II. La religion rassurante par essence 1. L'homme rassuré grâce au lien vertical avec Dieu* 2. La consolation dans la relation horizontale III. Les raisons qui poussent le faible à croire 1. L'origine de la faiblesse de l'homme explique son attachement religieux 2. Le pari de Pascal

l'espèce humaine, l'homme les projette sur une substance infinie étrangère à lui. Pour pouvoir penser ses attributs au niveau de l'espèce, l'homme construit un Dieu à son image. Dieu est en quelque sorte le miroir de l'homme cf texte de Feuerbach dans L'Essence du Christianisme. L'homme rend un culte au Dieu dans lequel il se reconnaît le mieux, par exemple les grecs vénèrent Apollon et Athéna en qui ils trouvent magnifiés leur propres qualités à savoir la beauté artistique et la raison philosophique. Ce

Dieu ? Dieu existe-t-il ? I LE SENTIMENT DU DIVIN « L’homme est un animal religieux », Feuerbach A. LE SENTIMENT RELIGIEUX 1) Une pluralité de religions Dès la Préhistoire, à travers le culte des morts, se fait jour un sentiment religieux qui, au fil du temps et des lieux, prend des formes très différentes : animisme, chamanisme, polythéismes (grec, romain, égyptien,…), monothéismes (judaïsme, christianisme, islam), sagesses à demi-religieuses (bouddhisme, taoïsme,…), déisme,….. Qu’y a-t-il de

physique de l'Homme, il parle de « matérialisme social ». Il rompt ainsi avec l'Idéalisme d'Hegel. On peut aussi aborder la thèse Feuerbach: « C'est le phosphore qui pense en nous ». Feuerbach pense que le phosphore à l'intérieur de notre corps nous fait penser. Cependant la pensée vient de l'esprit, et le phosphore est matière, donc l'esprit est matière. La thèse de Feuerbach apparaît donc comme une forme de matérialisme. L'esprit immatériel ne peut donc pas être dit comme nous avons pu voir dans

perfection, sinon plus, qu’il y en a dans l’idée de l’infini. Il est la cause de l’idée de l’infini et on ressent notre finitude par contraste avec sa perfection. Preuve ontologique (étude des essences) 5ème Méditation : Idée on va démontrer l’existence de dieu à partir de l’étude de son être ou son essence. Avant de procéder à l’étude de l’essence de dieu, Descartes va rappeler deux types de nécessité (ce qui ne peut pas être autrement), l’une culturelle mathématiques et l’autre en rapport avec

Philosophie. II- l’homme peut se passer de croyances religieuses   Cependant, de nombreuses critiques sont avancées à l’encontre des croyances religieuses. Dans "L'essence du Christianisme " Feuerbach, celui-ci démontre que, dans la religion, l’homme est aliéné, c’est-à-dire dépossédé de lui-même, de sa propre essence. Cette idée ne remet pas vraiment en question l'utilité de la religion mais affirme que dans cette croyance en une puissance divine, ce ne sont jamais que ses propres perfections

Philosophie : Explication de texte Dans ce texte, l’essence du christianisme, l’auteur parle de la conscience et de son rôle dans la capacité de science. En effet L.Feuerbach évoque ce thème au travers d’une thèse qu’il argumente tout au long d’un texte. Ainsi, l’auteur nous fait partager son regard sur tout ceci au travers de son idée directrice : l’homme à une conscience unique à l’origine de sa capacité de science. A cette argumentation l’auteur se pose une question philosophique majeure :

degrés d'intensité de la conscience • Feuerbach, L'Essence du christianisme : homme = animal raisonnable (est conscient, se connaît lui-même) • Anna Arendt, Considérations morales : conscience : se connaître soi-même conscience actualisée par l'activité de pensée → responsabilité • Pascal, Pensées : homme misérable, capable de penser "L'homme n'est qu'un roseau, le plus faible de la mature, mais c'est un roseau pensant" • Spinoza, L'Éthique : essence de l'homme : appétit + conscience =

politique réactionnaire d'un gouvernement qui avait retiré sa chaire à Ludwig Feuerbach en 1832 lui avait de nouveau refusé l'accès à l'université en 1836 et, en 1841, avait interdit au jeune professeur Bruno Bauer de donner des conférences à Bonn, obligea Marx à renoncer à une carrière universitaire. A cette époque, le développement des idées de l'hégélianisme de gauche faisait de très rapides progrès en Allemagne. Ludwig Feuerbach commence, surtout à partir de 1836, à critiquer la théologie et à s'orienter

un certain nombre de caractéristiques communes à toute religion (notamment la notion de sacré), elle présente toutefois certaines limites : - Durkheim entend donner une définition neutre, mais il emploie le terme d’« Eglise », lequel renvoie au christianisme. Si une religion est une communauté de fidèle, celle-ci n’est pas forcément l’Eglise. - Surtout, la faiblesse de cette définition est qu’elle ne nous dit rien de comment la religion se vit, c’est-à-dire de la dimension de la religion comme sentiment