Fiche Projet Intégration Erp

et Novack (1999), la démarche utilisée en amont consiste à rendre compte d’indicateurs répondant aux trois dimensions premières de mesure (utilisation, productivité et efficacité) et aux huit critères d’évaluation (validité, robustesse, utilité, intégration, économie, compatibilité, niveau de détail et neutralité comportementale) définis par Caplice et Sheffi (1994). Introduit en 1996, le modèle SCOR [Supply-Chain Operations Reference-model] est le produit du Supply-Chain Council [SCC7], regroupement

(salariés / employeur) M. Bardoz 68 Quelques cas vécus… - DRH interdisant une rencontre avec personne p syndiquée - DRH s’imposant au resp SHE en CHSCT - Utilisation imposée d’un outil « réducteur » originaire d’une fédération patronale pour ERP - Participation compliquée au CHSCT M. Bardoz 69 FILM n°1 : accident azote M. Bardoz 70 Au quotidien : rester vigilant et rigoureux Exemple d’un explosimètre fonctionnant mal… p p - l’employeur a connaissance du pb mais ne réagit pas

produits chimiques 25 4.1 Nouveau règlement dit « CLP » 26 4.2 Les classes de danger 29 4.2.1 Classes de danger physique 29 4.2.2 Classes de danger pour la santé 31 4.2.3 Classes de danger pour l’environnement 32 4.3 L’étiquetage 33 4.4 La fiche de donnée sécurité 37 4.5 Risques d’une préparation 39 4.6 Le Système Général Harmonisé 40 5. Les risques biologiques 43 5.1 Classes de risques 44 5.2 Voies de transmission 45 5.3 Points critiques lors d’une manipulation 46 6

schéma de la hiérarchie du savoir. A. La donnée C’est un fait discret, neutre et objectif. Elle peut être qualitative (« le ciel est bleu ») ou quantitative (« la température extérieure est de 20°C »). Les Systèmes d'Information tels que les ERP (Enterprise Resources Planification) produisent d’innombrables données. B. L’information Une information est une collection de données organisées pour donner forme à un message. La façon d’organiser ces données résulte de l’émetteur, ce

acteurs du système d’information dans l’entreprise A. Les utilisateurs B. Les informaticiens PARTIE 3 : LA MODELISATION DU SYSTEME D’INFORMATION I. Schéma directeur II. La réalisation d’un projet informatique A. Modification et adaptation de la démarche classique B. Une phase cruciale : le démarrage du projet III. Les méthodes d’analyse A. Pourquoi une méthode d’analyse ? B. La méthode d’analyse MERISE PARTIE 4 : LE MODELE CONCEPTUEL DES DONNEES (MCD) I. II. III. IV. V. Entités Associations Cardinalités

Commission des Entreprises du Conseil supérieur de l'Ordre des experts-comptables, l’expert comptable « est le conseiller privilégié du chef d'entreprise, un peu comme le médecin généraliste de famille, qui accompagne l'entrepreneur depuis l'origine du projet de création de l'entreprise jusqu'à sa transmission, en passant par son évaluation. » Ainsi, l’expert comptable joue un rôle primordial dans la vie de l’entreprise de son client. Disposer de bons contacts avec ses clients est également important

..................................................- 10 - II. Historique .......................................................................................................................................................- 10 - III. Fiche Technique ......................................................................................................................................- 11 - IV. Situation actuelle da la société MARAISSA.............................................

et précise que possible ; aussi les termes «bonne présentation », « capacités au-dessus de la moyenne » sont à proscrire car ils autorisent, selon Martory Bernard. & CROZET Daniel (2005), « trop d’interprétations subjectives » (p.45). Tableau 2. Fiche fonction d’un emploi-type à l’OCP  Emploi : Conducteur d’atelier de production dans les industries chimiques de 7ème catégorie Code : 7070 Titre : Ouvrier hors classe Niveau : Niveau hiérarchique (NH) : Catégorie 7 Niveau de rémunération (NR)

particulier de proximité , celui-la même qui jouait si souvent le rôle de coach , de mémoire et de savoir – faire de l’entreprise . Dominique TESSIER , cité par Sanaa Elaji , mémoire de fin d’études DESS , Commerce Electronique et Management de Projet Internet ,« Analyse de potentiel du développement du elearning au Maroc, 2005. 4 1 Le Rôle du E-Learning dans le Développement des Compétences en Entreprise Les organisations ont changé de taille et ont éclaté sur des territoires de plus

jury de ma soutenance; Dr KANMOGNE Abraham pour avoir accepté d’examiner mon travail ; Tout le corps enseignant et administratif de l’E.N.S.P de Yaoundé ; M. Baker MAGUNDA, directeur général de Guinness Cameroun S.A, pour m’avoir permis de mener ce projet de fin d’études au sein de son entreprise ; M. Aristide NKOUMONDO, directeur du Supply, pour m’avoir accueilli au sein de son département ; Mon encadreur industriel, Ing. Aurore TAMOU pour sa disponibilité ; Ing. Alain ELOUNDOU, Ing. Georgine NGOUMELA