Fides

http://www.cead.qc.ca/ [Site consulté le 19 novembre 2011]. DESROCHERS, Nadine, « Le théâtre des femmes », dans Dominic LAFON [dir.], Le théâtre québécois. 1975-1995, Montréal, Fides, 2001, p. 111-132. DORION, Gilles [dir.], Dictionnaire des œuvres littéraires du Québec : tome VI 1976-1980, Montréal, Fides, 1994, 1087 p. FORSYTH, Louise H., « La nef des sorcières (1976) : l’écriture d’un théâtre expérimental au féminin », dans L’Annuaire théâtral : revue québécoise d’études théâtrales

haya sido registrada en la Superintendencia; • Acciones de sociedades anónimas abiertas; • Cuotas de Fondos mutuos; • Otros valores o instrumentos de oferta publica que autorice la Superintendencia; II ) Fondo de inversión de desarrollo de empresas (FIDES), el cual tendrá por objeto la inversión de sus recursos en valores de los referidos en el número 8) del Artículo 5º y en los del número 9) del mismo Artículo, cuando estos últimos la Superintendencia se los autorice ; • Acciones, bonos, efectos de

est envisagée par le droit canonique, apparaît comme productrice de lien social et pourvoyeuse de confiance réciproque. Il n’est dès lors guère étonnant que les développements qui la concernent s’accompagnent souvent d’une réflexion sur la notion de fides. Le texte qui sert de support à cette réflexion est un extrait de la lettre d’Augustin à Publicola recueilli au Décret61. S’interrogeant sur le point de savoir si quelqu’un qui aurait pris un engagement en jurant par de faux dieux était valablement

du débris, Québec, Éditions Fides, 2001, p.204. [ 5 ]. NARDOUT-LAFARGE, Élisabeth. Réjean Ducharme : Une poétique du débris, Québec, Éditions Fides, 2001, p.204. [ 6 ]. DUCHARME, Réjean. L’hiver de force, Paris, Éditions Gallimard, 1973, p.185. [ 7 ]. DUCHARME, Réjean. L’hiver de force, Paris, Éditions Gallimard, 1973, p.52. [ 8 ]. Ibid, p.116. [ 9 ]. Ibid, p.93. [ 10 ]. NARDOUT-LAFARGE, Élisabeth. Réjean Ducharme : Une poétique du débris, Québec, Éditions Fides, 2001, p.158 [ 11 ]. DUCHARME

période que furent émises toutes les monnaies de la première série. Les antoniniens d’Antioche émis entre 238 et 239 peuvent se retrouver avec 4 types de bustes, on retrouve ainsi : - Le buste cuirassé à gauche vu de dos (cfr figure 3 FIDES MILITVM Fides debout de face tête à gauche tenant un étendard dans la main droite et une corne d’abondance dans la main gauche ), - Le buste drapé cuirassé à gauche vu de face (cfr figure 1) - Le buste drapé cuirassé à droite vu de face (cfr figure

de même vues comme des objectifs ou une référence à une vie digne et respectable, mais presque diamétralement opposées à notre style de vie actuel. Il y a sept valeurs romaines dont quatre qui sont plus notables et importantes : pietas, uirtus, fides et grauitas. Pietas : la pietas peut être traduite par le terme « dévotion ». Elle représente le devoir qu’un homme a envers les dieux, mais aussi celui qu’un enfant a envers ses parents, qu’un travailleur a envers son chef ou encore qu’un citoyen

Étymologiquement, "foi" provient du latin fidès et se rattache à une racine indo-européenne bheidh "avoir confiance".C'est la Bible qui l'utilise, dans ses traductions latines, pour traduire le mot hébreu emunah qui désigne l'attitude de l'homme devant Dieu et le mot grec pistis, qui ayant la même racine indo-européenne, a le même champs sémantique que fidès .Dans la tradition philosophique grecque, le mot pistis (équivalent du latin fides et du français foi) n'a aucune connotation religieuse

Éditions Charles Léopold Mayer, 168 p. Castonguay Jacques, La psychologie au secours du consommateur, Fides, 1978, 158 p. D’Astous Alain, Daghfous Naoufel, Balloffet Pierre, Boulaire Christèle, Comportement du consommateur, Montréal, Chenelière éducation, 2e édition, 2006, 510 p. De Graaf John, Wann David, H. Naylor Thomas, J’achète! Combattre l’épidémie de surconsommation, Fides, 2004, p. 356 p. Duhaime, Kindra, Laroche, Muller, Le comportement du consommateur 2e édition, Gaëtan

notion de bonne foi. Dans la Rome antique, la Fides était une déesse considérée comme la gardienne des serments et avait son siège dans la main droite des Romains. Son culte permettait la pérennité de la bonne foi chez les contractants impliquant une attitude honnête et un contrat sous l’égide de la Fides (par extension, la bonne foi). Et si à l’origine, les Romains se devaient de toucher l’autel pour prêter un serment valable. Avec l’apparition de la Fides, cela évolua et ils purent alors le faire en

du passage) et de la pensée précieuse tout en s’inscrivant dans une forme de modernité : les personnages sont ici abordés selon leur caractère, et non selon les actions qu’ils accomplissent dans le but de nourrir une réflexion sur la vertu et la « fides ». - Plan proposé : I- une scène inspirée de la scène d’aveu dans la tragédie ; II- un miroir nuancé des valeurs précieuses de la fin du XVIIème siècle. I- a) Un aveu pathétique. Les deux personnages sont touchants