Figuration narrative

cratère sont utilisés pour indiquer l’emplacement du défunt. C’est dans ce contexte funéraire que proviennent les vases, ce qui nous a permis de mettre en place une typologie chronologique, du fait de ce contexte clos, afin de suivre l’évolution de la figuration. Grâce à ces tombes et à leur mobilier, nous avons pu établir une trame chronologique distinguant la période géométrique ancienne de la moyenne et de la récente. Ces critères sont essentiels pour comprendre l’apparition d’un art figuratif à une

est à la fois polémique et idéologique, polémique par sa présence et idéologique par son rapport à la domination, qu'elle est aporétique. L'oeuvre ne réussit pas à sortir de cette aporie par le refus de la communication, par l'abstraction (la non-figuration ou la non-représentation) : c'est là une condition nécessaire mais insuffisante. Ce qu'il faut à l'oeuvre, c'est l'expression : une sorte de synthèse suprême de la forme et du contenu. L'expression n'est pas engagement à la Brecht ou non-engagement

faut donc partir de l’original (le roman de Laclos) pour comprendre l’adaptation (le film), non l’inverse. Maîtriser le roman Lors de la seconde lecture du roman de Laclos, munissez-vous d’un crayon et prenez des notes, afin de suivre la trame narrative et de situer les personnages dans leurs échanges. La forme du roman par lettres, qui sera explicitée dans ce cours, ne suit pas nécessairement une chronologie linéaire. Il faut donc que vous puissiez vous repérer à l’intérieur de ce labyrinthe de

 1910  et  1912,  il  profite  de  ses  courts-­‐métrages  pour  essayer  de   nombreuses  techniques  de  narration.  Il  va  révolutionner  le  montage   comme   structure   narrative.   Il   va   inventer   le   montage   parallèle   (intercaler   des   séquences   de   personnages   différents.   On   voit   les   actions  du  1er  personnage,  puis  du  2nd

représentation, cependant, même lorsqu’elle est réaliste suppose une distance avec la réalité. Il n’y a en effet de représentation que s’il y a rapport établit par l’œuvre entre un modèle réel et son image (qu’il s’agisse d’une image picturale, sonore, narrative, etc…) Comme le ait remarquer Platon, tout mimesis (rapport d’imitation) suppose qu’il y ait ressemblance mais aussi différence entre le modèle et la copie. En effet, si l’image est en tout point différente du modèle, elle n’en est pas l’image ;

l’enfant trouvera une multitude de mini-jeux dont les thèmes sont ceux des expositions en cours au sein des différents Musées de la RMN. Par exemple le site propose actuellement les jeux « Jouer avec Claude Monet », « Parcours-jeu de l’exposition figuration narrative », « Quizz de l’exposition Sénégal », etc. Il s’agit ici d’un exemple représentatif de l’initiation à l’art et à la culture à travers le jeu. e. Multimédias et e-éducation Le développement des nouvelles technologies et leur succès auprès

puis de P. Brown et S. Levinson), théorie qui a donné lieu à une littérature très abondante et dont nous ne pouvons ici que rappeler les grandes lignes12. Dans cette perspective la politesse se ramène au face-work (« travail des faces » ou de « figuration », le terme de « face » englobant aussi le « territoire », rebaptisé par Brown et Levinson « face négative » cependant que la face au sens ordinaire est rebaptisée « face positive »). L’idée de base, c’est que la politesse consiste fondamentalement

brûlure d'amour et froideur de la mort – entre les palmiers de Floride et la neige de Chicago, les poursuites du film de gangsters et les gags du burlesque. Mais cette hétérogénéité de genres et de climats n’est possible que grâce à une clef de voûte narrative à laquelle Billy Wilder et son coscénariste Iz Diamond tenaient beaucoup : le travestissement comme nécessité vitale. « Si les gangsters qui pourchassent [Joe et Jerry] les prennent pour des femmes, ça va, s’ils s’aperçoivent qu’ils sont des hommes

périnité à savoir le roman ont évolué ensemble. Les récits de type traditionnel sont centrés sur la présence d’un personnage central9. Celui-ci est devenu de plus en plus l’équivalent d’une personne d’un individu. Dans les œuvres dramatiques et narratives, fondées sur le récit le personnage n’est plus lié à l’action mais il incarne une essence psychologique. Une deuxième tendance, la reconnaissance et la perception du personnage est considérée comme transposition littéraire d’une “personne”

particularité locale et limitée (c’est le rôle de la simple légende étiologique), mais une loi organique de la nature des choses ». Les spécialistes s’accordent pour voir dans le mythe une histoire symbolique, simple et frappante, possédant une forme narrative où l’action des personnages s’inscrit dans un ordre chronologique. Sans exposer rien de scientifique ou de démontrable, il permet à l’homme de cerner sa situation au sein de l’univers. Il consti- 26 Littérature – Classe terminale de la série