Figuration narrative

monuments du passé, s’attache à redécouvrir sans cesse, dans des contextes nouveaux, le chemin de culture sur lequel, guidée par des œuvres, toute conscience s’humanise, s’ouvre à l’appel de l’altérité et cherche à se comprendre mieux devant les figurations symboliques du soi, du monde et même du divin 21. 3. TEXTES ET CONTEXTES « Relations latérales » : Ricœur désigne par là le type d’extension de notre connaissance du contexte où sont nés, se sont développés et transformés les composants principaux

l'autre: plaisir œdipéen (dénuder, savoir, connaître l'origine et la fin), s'il est vrai que tout récit (tout dévoilement de la vérité) est une mise en scène du Père (absent, caché ou hypostasié) — ce qui expliquerait la solidarité des formes narratives, des structures familiales et des interdictions de nudité, toutes rassemblées, chez nous, dans le mythe de Noé recouvert par ses fils. Pourtant le récit le plus classique (un roman de Zola, de Balzac, de Dickens, de Tolstoï) porte en lui une

En effet, l’histoire unifiée de l’œuvre est le produit de plusieurs narrateurs, de plusieurs voix. On note donc polyphonie discursive, dialogisme et un ‘’Je’’ au sens pluriel. Ainsi s’établit-il dans le roman de Kourouma une pluralité des voix narratives, différents narrateurs, qui font rarement un discours unifié. 1.1. Les types de narrateurs et les niveaux narratifs L’histoire dans En attendant le vote des bêtes sauvages est racontée par plusieurs narrateurs. Aussi pouvons-nous distinguer

d’identification parmi d’autres écrivains. D’abord, Freud fait allusion à l’œuvre du romancier naturaliste dans sa correspondance et dès ses premières œuvres, entre 1901 et 1905. Ensuite, il connaît assez ses romans pour y percevoir une structure narrative qu’il juge analogue à un certain type de songes où le rêveur demeure un simple spectateur ne prenant aucune part aux actions de son rêve53. Cette référence joue un rôle primordial pour vaincre ses résistances propres à son élaboration métapsychologique

l'intervention de la voix critique, le récit de Sarraute laisse libre champ au doute, au questionnement, à l'hésitation. Elle se tourne plutôt vers l'univers des sentiments des perceptions de l'enfant Sarraute. Et une fois que l'autorité de la voix narrative est dédoublée, le récit n'agit plus en tant que la représentation d'une seule subjectivité, mais plutôt comme l'expression même d'une identité en plein devenir. D'où l'impression d'immédiateté, l'effet du vrai perceptible dans Enfance. C'est la quête

d’actions qui obéit une autre logique que la logique rqtionelle, entraîne les personnages malgré eux, dominés par le destin, la force supérieure qui les dépasse et dont ils ne peuvent s’affranchir, pour constituer "une trame qui servira de matrice narrative au récits." Alors, ce qui caractérise le mythe, c’est cette structure permanente qui a pour but de faire passer dans une forme aussi traditionnelle une matière qui n’a pas aucune de ces qualités. Les mythes mettent en œuvre des situations universelles

connaissance des acteurs » (p. 127). C’est aussi le cas dans la « note de recherche » d’Axel Guïoux, Évelyne Lasserre et Jérôme Goffette qui étudient le thème du cyborg dans le cinéma d’animation japonais, convaincus que « le corps du cyborg et sa figuration nous parlent de nous-mêmes » et « redoubl[ent] un questionnement qui, désormais, traverse nos représentations du corps et l’appréhension de nos façons de vivre » (pp. 189-190). On peut ensuite étudier l’ethnographie comme fiction ; dans cette deuxième

pariétal, répandu au paléolithique, était tombé en désuétude. Et il a été remplacé par les rochers de l’art rupestre qui jouaient à leur tour le rôle de sanctuaires. Dans les vestiges de cet art dans des sites désertiques de l’Afrique du nord, les figurations animales comme les Bovidés, les girafes, les rhinocéros, les éléphants indiquent que les paysages de la préhistoire devaient être verdoyant et bien différents de ceux d’aujourd’hui. Le mégalithisme quant à lui est une autre forme de monuments

autant d’encouragement à désapprendre. L’envahissement par l’œuvre Plusieurs artistes d’art brut élaborent des œuvres envahissantes par le nombre, l’espace est saturé, la taille gigantesque. MADGE GILL ne tient pas compte des frontières entre figuration et abstraction, insérant ses visages dans des fonds aux perspectives tronquées. GILL, mais aussi ALOÏSE et JAKIĆ dessinent sur des rouleaux qui atteignent plusieurs mètres, fleuves d’expression qui les racontent et dans lesquels ils s’immergent. Ils

cela qu’il compare la guerre à l’obscurité et qui a fait disparaitre « les soleils de fin d’années » que les soldats et civils aimaient. Enfin la structure de ce poème, un enchainement de phrases sans aucun liens, nous montre une absence de logique narrative et donc l’écriture automatique elle même. Puis, dans  L’éternité  nous ne distinguons aucune narration, aucun signe de ponctuation ce qui rend le texte plus difficile à comprendre. Ce texte n’est en fait que des « flashs », des images dont se