Figure Du Monarque

partir de ces lieux, Si tu fais, disait-il, ô Monarque des Dieux, Que le drôle à ces lacs se prenne en ma présence, Et que je goûte ce plaisir, Parmi vingt Veaux je veux choisir Le plus gras, et t’en faire offrande. À ces mots sort de l’antre un Lion grand et fort. Le Pâtre se tapit, et dit à demi mort, Que l’homme ne sait guère, hélas ! ce qu’il demande ! Pour trouver le Larron qui détruit mon troupeau, Et le voir en ces lacs pris avant que je parte, Ô Monarque des Dieux, je t’ai promis un Veau ; Je te

[Introduction.] Philosophe capital du XVIIème siècle, interlocuteur de Descartes, Hobbes (1588-1679) est une des figures centrales de la métaphysique classique et de la réflexion politique. Métaphysiquement empiriste et politiquement conservateur, Hobbes a toujours cherché à allier le souci de l’expérience au pragmatisme politique le plus efficace. Publiant le Léviathan en 1651, monumentale élaboration de ce que doivent être une société sure et un Etat fort, Hobbes n’a eu cesse de toujours enraciner

France dès 1822. Certains historiens pensent que Delacroix y aurait puisé son inspiration. * Si Delacroix semble bien avoir repris la trame générale du drame de Byron — on reconnaît Myrrha dans la femme à demi allongée sur le lit aux pieds du monarque — il semble en revanche avoir emprunté l’holocauste des femmes, des chevaux et du trésor à un autre auteur, antique cette fois, Diodore de Sicile. * Assiégé dans son palais par ses ennemis, Sardanapale se donne la mort ; mais Delacroix imagine

procédés stylistiques qui rendent son argumentation plus forte du fait qu’il fait preuve d’une ample sagesse qui le met donc dans un regard plus attentif du lecteur, qui est donc à l’attente d’une thèse bien soutenue. Pour cela, il utilise nombreuses figures de style comme :  Des répétitions lexicales qui lui permettent insister sur une notion qu’il refuse. Citation : « Alors il triomphe de la fortune, il la brave ; il ne doit rien qu’à lui seul ; et, quand il ne lui reste à montrer que lui, il n’est

rebelles protestants.  On ne peut s'empêcher de supposer que ces disputes pour la légitimité du royaume aient inspiré Shakespeare dans le choix de l'intrigue bien que la pièce, dont l'action placée 800 ans avant l'ère chrétienne, s'inspire de la figure légendaire de Leir, roi mythique de l'île de Bretagne à l'époque celtique précédant la conquête romaine. On remarque une réelle continuité entre l'Histoire et l'intrigue, qui mêle problématique politique contemporaine et mythologie fondatrice autour

sentiment, elle parvient d'autant moins à s'en détacher qu'elle le reconnaît en Ruy Blas (alias César) grâce au coup de théâtre ménagé par la scène 3. Le laquais, devenu écuyer du roi, lui porte, en effet, une lettre insipide que lui a dictée le monarque. Les signes ne trompent pas et l'écriture, la main blessée et la dentelle arrachée sont l'occasion d'un premier duo amoureux. Don Guritan le comprend bien et voit aussitôt en Ruy Blas un rival qu'il provoque donc en duel. Casilda, ayant surpris leur

monarchie française symbolise son devoir de justice par la main de justice. Les monarques suivant ont repris ce symbole (le symbole des capétiens jusque Charles X). Attribut spécifique aux rois de France. Le sacre est une cérémonie religieuse qui a été inventé par l’église pour le roi de France. Sur le plan religieux : la cérémonie qui doit transformer la personne du roi, sur le plan politique  c’est un acte qui change la figure du roi de France, il devient supérieur aux autres rois européens. Ce roi reçoit

établissent des règles communes c'est à cause de leur volonté( cad un corps politique naît de la volonté humaine). L'Angleterre va être le 1er État au monde qui va décidé d'apporter des limites au pouvoir du monarque. En 1215 il y' a un acte accepté par le monarque et les gouvernés dans lequel le monarque s'engage à ne plus gouverner absolument seul (Création de la chambre des Lord). Hobbs est le 1er auteur qui va s’intéresser au modèle anglais. Il explique les raisons pour lesquels le pouvoir établie

21[->1] novembre[->2] 1694[->3] à Paris[->4] où il est mort le 30[->5] mai[->6] 1778[->7], est un écrivain[->8] et philosophe[->9] qui a marqué le xviiie siècle[->10] et qui occupe une place particulière dans la mémoire collective française et internationale. Figure emblématique de la France des Lumières[->11], chef de file du parti philosophique[->12], son nom reste attaché à son combat contre « l’Infâme », nom qu’il donne au fanatisme religieux, et pour la tolérance et la liberté de penser. Déiste[->13] en

obtient la protection de Monsieur, frère du roi, qui lui accorde une pension. Le prestige de l’acteur croît en entraînant son lot de jalousie, et de pressions, notamment de la part des ultracatholiques qui voient d’un mauvais œil la relation entre le monarque et le comédien. En 1664, sa pièce Tartuffe est censurée. Pour nourrir sa troupe, il écrit en l’espace de deux mois Dom Juan (1665) qui, malgré le succès qu’il rencontra, ne fut joué que 15 fois à cause notamment de son « impiété ». Reprise sur