Figures De Style Bérénice

«Colchos», «Nymphée», «Pont», «Phase», «Pannoniens»). Le groupe thématique de la guerre tient une grande place, mais le lexique du jugement moral, caractéristique de la seconde moitié de l’oeuvre de Racine, progresse tout au long de la pièce. Le style est assez varié. On trouve : - la pompe rhétorique, convenable au milieu aristocratique ; - la grandeur épique qui se développe en tirades vigoureuses chez Mithridate qui se peint parcourant et soulevant le monde, en particulier dans sa longue tirade

collection « Etonnants classiques », édition Flammarion. • Une tragédie de Corneille ou Racine ; une comédie de Molière A choisir parmi les titres suivants. Le Cid (Corneille, 1637), Horace (Corneille, 1640), Andromaque (Racine, 1667), Bérénice (Racine, 1670), Phèdre (Racine, 1677), L’Ecole des femmes (Molière, 1662), Dom Juan (Molière, 1665), Le Misanthrope (Molière, 1666), Les Femmes savantes (Molière, 1672). Liens avec ce que nous avons fait cette année en seconde. ■ OE « Le théâtre

d'admiration devant ce cousin brillant et presque célèbre, étant belle (brune comme Elizabeth Hopkins Poe, comme Jane Stanard et comme Frances Allan, cette femme-enfant fut peut-être un autre modèle de Ligeia), charmante, et excellente musicienne, la figure féminine qui hantait Poe se dédoubla : Maria Clemm fut pour lui « maman », Virginia, fut « Sis », la petite soeur. Son attachement pour elles allait toujours garder quelque chose d'enfantin et de poignant. À Baltimore, en décembre, il fit paraître

d’impressionner, l’importance des superpositions décoratives. En littérature, cette tendance appelle une rhétorique de l’outrance reposant sur des figures comme l’antithèse, hyperboles, oxymores, accumulations, sur une surcharge lexicale et métaphorique, sur la périphrase. Cette profusion renvoie pour Jean Rousset (spécialiste du baroque) à la figure du paon.  De ces trois caractéristiques découlent certains thèmes récurrents.  -Le thème de la nature : Très présente dans les œuvres baroques

Catherine Catherine, c’est Louis. Voilà Louis. Catherine.” → Dans cette citation, le chiasme nous donne l’impression que les présentations sont longues, ce qui est assez représentatif du reste de la pièce de théâtre qui semble longue et ne pas avancer.Chiasme : Figure de rhétorique qui consiste à placer deux groupes de mots dans un ordre inversé.

face aux partisans de Corneille: à l'héroïsme cornélien, Racine oppose les faiblesses humaines, dans un langage poétique nouveau. Devenu le symbole de la tragédie classique et du respect des unités, son œuvre se poursuit avec Britannicus (1669), Bérénice (1670), Phèdre (1677)... Nommé historiographe du roi, il retrouve le théâtre à la fin de sa vie avec des pièces chrétiennes à la demande de Mme de Maintenon. La vision pessimiste et sombre que Racine a de l'homme est surement due à son éducation

scène mime et grimace de façon exagérée pendant qu'un public participe bruyamment au spectacle. Il n’y a pas encore à cette époque de décors, de mise en scène ou de texte préparés. Ces spectacles ont lieu autour des temples consacrés au culte de figures illustres ou sur l'agora dans la région de Corinthe. Lentement, un lieu spécifique s'intègre au temple pour les représentations proprement théâtrales. La tradition rapporte que Thespis, auteur du VIe siècle avant J.C., révolutionne le dithyrambe :

d'orthographe (choquantes quand, comme souvent cette Page 5 sur 8 année, ce sont des noms propres ou des titres d'œuvres qui sont massacrés), les vulgarités (ça, faire avec, jouissif, Ève a croqué la pomme, des fois, ajouter un plus à sa vie), le style parlé (les gens; culpabiliser, relativiser, et paniquer employés comme des intransitifs; les adverbes réellement et vraiment employés au sens de très), le jargon «branché» ou «bobo» (quelque part, le vivre-ensemble, optimiser, générer, positiver),

III – Scène IV – Scène V – Scène VI – Scène VII – Scène VIII – Scène IX • Acte quatrième – Scène I – Scène II – Scène III – Scène IV • Acte cinquième – Scène I – Scène II – Scène III – Scène IV – Scène V – Scène VI – Scène VII – Scène dernière • Bérénice • Adresse • Préface • Acteurs • Acte premier – Scène I. – Scène II. – Scène III. – Scène IV. – Scène V. • Acte deuxième – Scène I. – Scène II. – Scène III. – Scène IV. 7 – – Théâtre complet – Scène V. • Acte troisième – Scène I – Scène II. –

des mouvements et gestes variés (on peut imaginer qu’il mime les dialogues) ; Winnie, à l’inverse, comme le montre la photographie de la mise en scène avec Madeleine Renaud, reste statique – son regard seul est mobile (« Yeux à droite »…) – ; elle figure par là l’immobilisme insupportable de l’existence ; le Jardinier vraisemblablement, par son regard et son attitude, se montre proche du public, dans une posture calme et bienveillante, mais sans grande gesticulation. Ces trois monologues exigent donc