Financiarisation

veulent revendre, il trouve un acheteur, c’est donc un grand connard mais sans lui le marché financier ne pourrait pas fonctionner. Aujourd’hui la bourse est le lieu centrale de notre économie, c’est le cœur d’un système qui n’a pas de cœur. Financiarisation : au sein des activité humaine la finance ( la bourse) est devenue le milieu primordiale ou se joue le sort de l’Économie ( et même parfois de l’économie). I. Les produits financiers Il existe trois famille de produits financiers :

n'a pas de signification en valeur absolue, il n'est interessant quand on valeur relative. Il faut tres comparer le PER historiquement et sectoriellement donc il est tres difficile a utiliser, difficile a calculer propre Deux forces - Financiarisation - Le gouvernement d'entreprise : la creation de valeur, la valeur ajoutee Plus elle valorise tres bien l'imateriel plus compence les erreurs faite lors de la valeur patrimoniale Le good will est une surevaluation Plus le good

de créer de la ‘valeur actionariale’ c’est à dire de générer des plus values sur les actions de leurs entreprises. Cet objectif l’emporte sur le développement de l’activité et de l’emploi, qui prévalait à l’époque fordiste. Il en résulte une ‘financiarisation’ de la gestion des entreprises. Cette conception purement financière de la ‘création de valeur’, sans lien direct avec l’emploi et a production de l’entreprise, renvoie à un monde virtuel dans lequel la valeur du capital financier est déterminée

Peut-on dire que la croissance économique est toujours favorable au développement ? Depuis deux siècles, avec les successives révolutions industrielles, le développement de la société de consommation mais aussi la tertiarisation puis financiarisation de l’économie, on constate une augmentation soutenue de la production pour les pays développés, tandis que le fossé se creuse encore avec les pays en voie de développement. La question se pose alors sur l’homogénéité à l’échelle mondiale de cette

limites spatio-temporelles de la modernité, dans les mécanismes sociaux-économiques poussés à l’hypertrophie même en termes de consommation avec l'hyperconsommation, de concurrence avec les phénomènes de monopoles mondiaux et de profit avec la financiarisation, dans la recherche individuelle ou collective de jouissance, de santé voire de bien-être avec la surmédication, par le culte du corps avec la chirurgie esthétique, dans la manifestation de violences pratiquées par de nouvelles catégories de

souhaitée par les puissances occidentales et matérialisée par les accords du GATT de 1947. Par ailleurs, les accords de Bretton Woods attestent de la domination financière américaine en faisant du dollar la monnaie internationale de référence. Cette financiarisation du monde allant de paire avec le processus de mondialisation, l’Occident apparaît donc comme le grand vainqueur de cette mondialisation post-Guerre froide. Au-delà de l’aspect économico-financier, l’Occident affirme sa gouvernance mondiale

Paradoxe: exigence de coopération entre les employés, et personnalisation/individualisation de la GRH (« rémunération caféteria ») Le contexte actuel de la GRH • Mondialisation de l’économie, des marchés, des entreprises, et des salariés • Financiarisation de l’économie • Développement du travail immatériel • Mutations technologiques • Hypercompétition Conduit les entreprises à raisonner à partir d’une approche en termes de performance et de potentiel humain POTENTIEL P E R F O R M A N C E

développés dans logique post-ind. : consommation = élt fondamental, ind. traditionnelle redéployée pour bas coûts de production, ind. de pointe maintenue, importation de PV d’achat (produits chinois) ou stimulation de PV d’achat (subprimes) •Financiarisation de l’économie : forte liquidité monétaire => ide, épargne, dettes, excédents commerciaux des pays émergents •Economie réelle ≠économie financière : dynamisme consommation US stimulé par facilités de crédit des partenaires (Chine, Japon, Golfe

3. la finance de marché et les TIC : des fertilisations croisées L'une des points forts du capitalisme financiers tient à la fertilisation croisée de la finance de marché et la diffusion des TIC. Ils se sont mutuellement renforcés. La financiarisation de l'économie a soutenu la dynamique de diffusion des nouvelles technologies cependant que les bouleversements technologiques ont catalysé la montée en régime de la finance. Il est évident que le financement des secteurs des nouvelles technologies

également se poser la question à savoir si le fait de donner une valeur à la biodiversité et de la commercialisé soit un bon moyen pour pouvoir la préserver. Ces deux notions sont tout de même contradictoires. Ce principe pourrait amener à une financiarisation excessive des entreprises et donc à une utilisation massive de la ressource et finalement à la disparition d’une ou de plusieurs espèces très prisées. De plus, ce système pourrait entrainer la naissance d’entreprises monopoles la disparition