Financiarisation

: en moyenne pour une seule unité de richesse créée 5 unités de créance existent dans les pays riches. La crise qui s’en est suivi a démontré le caractère artificiel de la hausse des marchés boursiers. Elle démontre le risque systémique d’une financiarisation de l’économie et l’échec du capitalisme financier. Elle démontre alors le manque de prudence, vis avis de ces risques, par les autorités compétentes. Crise Financière et défaillances réglementaires Chapitre II : Dispositifs Bâloises et réglementations

développement de l’intermédiation de marché Face à cette concurrence, les banques ont réagi, du fait d’une baisse de leurs activités traditionnelles (collecte de dépôts et octroi de crédits), en créant des activités nouvelles. On a assisté à une financiarisation des bilans bancaires. Elles sont développé les acquisitions de titres émis par les entreprises (actions, obligations…). 3. La complémentarité entre institutions financières et marché financier Les institutions financières ont donc compensé

l’évolution des modes de financement Une finance directe qui s’accompagne de risques : Depuis les 80’s, les marchés de capitaux sont devenus plus attractifs, leur rendement financier est beaucoup plus élevé que l’épargne bancaire. Mais cette financiarisation (émettre de plus en plus de titres) s’accompagne de risques élevés. Seul les grandes entreprises & états ont accès aux marchés de capitaux. Les marchés financiers sont détournés de leurs fonctions premières. -> Ils deviennent l’instrument des

perdent les élections donc Mitterrand nomme à Chirac comme 1ère ministre qui est le chef du RPF Conséquences : Vague de privatisation, politique de rigueur. D) Le gouvernement de l´Etat sous dépendances des années 90´s à nos jours. Mouvement de financiarisation, depuis les années 90´s, le déficit budgétaire se creuse on passe de 91-94 milliards de francs à 234 milliards de francs. La solution pour tous est de réduire les dépenses publiques. Emergence des agences de notation Mouvement de européanisation

financière (ROE). En 2012, le Groupe concours Mania réalise un CA de 15, 02M€ et dégage un taux de rentabilité opérationnel de 20% et un taux de résultat net de 14%. Le risque de ces nouvelles contraintes est l’orientation de la stratégie vers la financiarisation (moins investir pour obtenir un meilleur taux de rentabilité financière). En outre, la modification de la structure du capital peut engendrer une perte de contrôle de la PME car cela entraîne une nouvelle répartition des droits de vote. Néanmoins

Sd (régions côtières Chine → campagnes chinoises, Bangkok et reste de la Thaïlande, …) Pb : indicateurs classiques de dvlpt ne permettent pas d’appréhender l’ampleur de ces contrastes. 5- Une urgence : refonder la coopérat° a. Constat La financiarisation des économies a affaibli le pouvoir des gouvernements.  difficultés de mettre en place des politiques volontaristes et planifiées de dvlpt, en particulier au Sud  éclosion de nouveaux acteurs agissant sans coordinat° Mais ce n’est pas le

taux de changes , des portefeuilles de crédits, etc • Les sociétés désireuses d’être sur l’un des trois premiers compartiments doivent impérativement respecter les critères suivants : 13) La technique de titrisation, appelé aussi Mobélirésation, financiarisation ou sécurisation est une innovation consistant à transformer un paquet de crédits en titres négociables et à les céder sur le marché financier. elle procure un certain nombre d’avantage : • fournir de nouvelles possibilités de financement aux

les déterminants du développement des flux de capitaux - l’arbitrage taux d’intérêt réel et risque - le financement des besoins de financement - le progrès technique - la dérèglementation 3) conséquences - globalisation financière et financiarisation de l’économie - l’instabilité du système financier mondial I. Construction européenne, un exemple unique d’integration régionale A) La construction européenne, un projet politique et un moteur éco - projet politique : les droits et valeurs

contrairement aux modes de penser, ce n’est pas la sous accumulation mais le sous investissement. C’est pour insister sur les déterminants financiers de l’investissement (spéculation) que Keynes insiste sur la question de l’investissement ; cette financiarisation débute par l’investissement. Keynes pointe tout de même le rôle de la consommation, en effet une production de biens d’investissement doit servir à la production de biens de consommation. Chez Keynes il existe une loi psychologique fondamentale ;

internationale. C’est cette amélioration qui explique en partie leur cécité. Il faut en effet compléter ces indicateurs par des indicateurs de fragilité exprimant la plus forte sensibilité de ces économies à la fois à la conjoncture internationale et à la financiarisation de leur propre économie 18. 17 - Nous les avons développées dans notre livre (Salama, 2006), voir également deux ouvrages parus récemment en français traitant de ce problème (Rodrik, 2008 ; Bresser-Pereira, 2009). Nous ne reviendrons pas non