Financiarisation

quelque exception. Cette liberté fait que les capitaux vont pouvoir se déplacer instantanément. Le monde est un grand village. La raison de la contagion est double : ⇨ Financiarisation : transformation structurelle du système capitaliste qui ses produit dans les année 80’s changement radicale. Avant la financiarisation on a un capitalisme caractéristique des 30 glorieuses : o croissance économique forte qui s’appuis sur le fordisme : le destin des ouvrier est liée au destin de leur

les vend très peu dans les espaces dédiés à la sous-traitance La main d'oeuvre la moins qualifiée des pays occidentaux est directement frappée par les délocalisations Une nouvelle configuration internationale des espaces. Comment ? 1.3)La financiarisation de l'économie a) L'explosion des échanges financiers a accompagné la mondialisation. Carte 2 p 87 ● ● Les flux de capitaux ont progressé plus vite que les flux de marchandises, depuis les années 1990 : la capitalisation boursière des entreprises

par l’invention informatique de nouveaux produits complexes, en est à l’origine. Cette évolution est-elle néfaste ou utile? Les économistes en débattent. Rien ne prouve que finance et croissance s’opposent, au contraire semble-t-il. Mais cette «financiarisation» rencontre de puissantes critiques. D’une part, elle serait la cause d’une exigence de rendement toujours plus élevée, qui obligeraient les entreprises à ne plus penser qu’«au court terme» et d’autre part elle serait cause de dérives «spéculatives»

“la marque n’est pas un satellite, elle doit se poser et être locale avant de prétendre devenir globale” . Paradoxalement, cette multipolarité s’accompagne d’une rationalisation accélérée du portefeuille de marques des grandes entreprises. La financiarisation extrême de la mondialisation tend à imposer le business model unique du spécialiste : le “pure player“.  Ce qui ne peut pas être placé dans une catégorie (le “benchmark“) est désormais sans valeur.  On observe dans le même temps un étirement

un essor important : Les politiques mises en place par les Etats, de concert avec les organisations internationales comme l'Organisation mondiale du commerce (OMC) ou la Banque mondiale, encouragent les échanges internationaux et favorisent la financiarisation de l'économie. Le développement de la conteneurisation, des transports humains et des NTIC facilitent ces échanges. L'économie confrontée à des crises à répétition apparaît plus instable. De nouveaux acteurs apparaissent et jouent un rôle moteur

des entreprises etc.). La globalisation et la financiarisation du secteur sont accompagnées en parallèle du développement de l’actionnariat basé sur le modèle de gouvernance de la majorité des firmes mondiales. Cependant, cette fois-ci encore ce changement soulève certaines limites dues à la spécificité du secteur du vin. Premièrement de nombreux groupes restent sous le contrôle familial, hors de toute pression financière. Deuxièmement la financiarisation du secteur est partagée entre une volonté de

qu'elles récupèrent les bénéfices et fassent supporter les pertes par les contribuables et l'ensemble du tissu économique. La finance : “hasard sage” ou “hasard sauvage” ?[modifier] L'outil mathématique, qui a partiellement servi à justifier la financiarisation de l'économie est-il le bon ? La question revient à savoir si les cours financiers suivent un “hasard sage”, du type du pollen dans le mouvement brownien ou au contraire « un “hasard sauvage” qui, comme son nom l'indique, est beaucoup plus insaisissable

élevés pour attirer la main d’œuvre qualifiée. Quand au post-keynésiens, ils montrent que Keynes s’est limité à une analyse à court terme et qu’il a négligé la dimension structurelle à long terme. Il faut prendre en compte la mondialisation et la financiarisation. Ainsi, les politiques keynésiennes de relance ont plusieurs limites mais elles sont un peu défendues par les renouvellements de la pensée keynésienne. CONCLUSION : Pour conclure, les politiques keynésiennes ont été appliquées dans

les Cadres eux-mêmes, sont en désaccord avec les objectifs poursuivis par l’entreprise, ou a minima avec la façon dont ils sont gérés sur le plan humain Certaines causes échappent à l’influence des directions opérationnelles : mondialisation, financiarisation, décisions politiques. Elles participent en même temps au risque de dérèglement et d’instabilité généralisés en renforçant la vision à court terme et la recherche du profit immédiat. Les risques psycho-sociaux : apports du Management Equitable

2007, le PDS devient le Linkspartei et il est rejoint par les membres du SPD, hostile par la politique de Schröder, et créent « Die Linke » mené par Oscar LAFONTAINE (ancien dirigeant du SPD). « Die Linke » dénonce le capitalisme libéral, la financiarisation de l’économie et la précarisation des travailleurs allemands. CONCLUSION Aujourd’hui, contesté par une gauche plus radicale que le SPD, le modèle social allemand doit s’adapter de la mondialisation libérale et au recul de l’idéale de solidarité