Financiarisation

le collection au centre de notre société en sortant de l’intérêt personnel. Il nous faut donc d’abord détailler les différentes conséquences économiques et environnementales. Sur le plan économique l’auteur attire notre attention sur la financiarisation de l’économie grâce à la spéculation. Tout cela a été aidé par l’instauration des changes flottants et la disparition de règles sur les mouvements de capitaux. On a donc incité les riches à la corruption (comptes off-shores…) avec le non respect

diminution de la volatilité sur les marchés de MPA, ce dernier disait : « Il est difficile de dire de manière générale quel effet la spéculation a sur la volatilité. […] Les preuves ne sont pas totalement claires mais il semblerait que cette financiarisation ait eu un effet déstabilisateur et ait entrainé une plus grande volatilité des prix » (Kesteloot, 2012). On peut donc dire qu’il existe bien une relation aussi infime soit elle entre la spéculation et la volatilité, dans le sens d’une relation

offre d’implantation beaucoup plus nombreuse, en ce sens le « prix de l’implantation » baisse : et les entreprises peuvent profiter de cette offre. Mais qui sont finalement les entreprises ? Le processus de globalisation s’est accompagné d’une financiarisation de l’économie, pour reprendre les termes de Dominique Plihon, nous sommes passés d’un capitalisme managérial à un capitalisme actionnarial : les actionnaires ont acquis un poids et un pouvoir décisionnel non négligeables dans l’entreprise au

contribué à déprimer les consommateurs et ont entraîné, par conséquent, une baisse de l'investissement. Le pays a été durement affecté par la crise financière, en raison de son haut degré d'ouverture aux échanges internationaux et du niveau élevé de financiarisation de son économie. La demande au niveau de la consommation domestique s'est réduite de manière considérable en 2009. Le nombre d'entreprises en faillite a littéralement explosé (plus de 60% pour la période 2008-2009), avec, comme première conséquence

l’intermédiation de marché Face à cette concurrence, les banques ont réagi, du fait d’une baisse de leurs activités traditionnelles (collecte de dépôts et octroi de crédits), en créant des activités nouvelles. On a assisté à une mobiliérisation (ou financiarisation) des bilans bancaires. Elles ont développé les acquisitions de titres émis par les entreprises (actions, obligations…). Cette évolution, que l’on a appelé « intermédiation de bilan », est appréciée par le taux d’intermédiation au sens large :

remboursements en ne payant plus que les intérêt dans un premier temps. Ce genre de crédit est donc très rentable pour les banques : en moyenne 50% de rendement supplémentaire. 2- Qu’est-ce que le Collateral Debt Obligation (CDO) ? Dans le processus de financiarisation actuel, le volume global de la dette des subprime est « titrisé » sur les marchés financiers. Autrement dit, la dette est placée sur la marché et devient négociable à l’image des états et du marché obligataire. La titrisation devient alors le

Cordonnier. Introduction : Laurent Cordonnier était un professeur à l’université Lille 1, il a écrit ce livre « pas de pitié pour les gueux » en 2000. Laurent Cordonnier est également chercheur au Clersé . Ses travaux portent sur la financiarisation du capitalisme, il est français, ces analyses semblent concorder avec les théories néoclassiques. Dans ce livre Laurent Cordonnier nous expose son opinion du chômage. Son oeuvre est une analyse qui consiste à essayer de comprendre comment se

pour le monde entier. Si la croissance ralentit dans la Triade, elle est très forte dans les pays en développement (parfois à deux chiffres). Il demeure néanmoins un écart considérable de développement entre ces deux types de pays. De plus, la financiarisation de l'économie creuse l'écart entre la valeur des marchés financiers et la production réelle de richesses, bouleversant les indicateurs de santé économique. 2) De nouvelles crises : bulle internet et crise des subprimes Après les crises des années

des entreprises, Éditions d’Organisation. http://www.keyros.net/categorie-343337.html http://manager-marketeur.viabloga.com/news/motivation-et-management-par-objectifs http://www.lemonde.fr/opinions/article/2009/12/18/management-par-objectifs-financiarisation-desstrategies-et-perte-des-realites-par-aurelien-acquier_1282553_3232.html http://www.netpme.fr/strategie-management/305-fixation-objectifs.html - 11 - 

dominante industriels sont devenus de plus en plus financiers : effet d'éviction des investissements productifs par les actifs financiers. Place croissante des investisseurs institutionnels (mutual funds, pension funds) dans le K des groupes. La «financiarisation» fait passer la concentration au second plan. Ces derniers se limitent aux opérations de croissance externe à l’étranger. ex : fusions et acquisition intra-européennes : absorption d’AGF par Allianz (All), ou extra-européenne : (Renault-Nissan)