Finitude

moins que la mort, ce qu’illustre en le modernisant le récit canonique du Portrait ovale d’Edgar Poe. Il y a dans le sacrifice exigé par la représentation quelque chose de proprement sublime, et le fait même que la représentation concrétise la finitude et par la trace l’infinitude de l’être reflète avec justesse la tension résidant au centre du sublime entre le fini de la perception et l’infini dans la représentation. Seulement l’art moderne ne s’arrête pas à la représentation et recherche un accès

s’angoisse d’elle-même puisque l’homme fait fasse à l’horizon infini des possibilités qui s’offrent à lui. Il en jaillit l’absurdité de son existence. Rien ne me guide, rien ne me determine, rien ne me dirige, je suis renvoyé à ma solitude et à ma finitude originelle. D’où la recherché de sens à donner à son existence. Je suis pure liberté et je me realise intimement dan sle but visé.

insistante de la formule : « si tu crois qu'xa va durer durer toujours » (v.6 et 22). La fuite du temps est également au vers 27, « les beaux jours s'en vont ». Les vers suivants opposent en antithèse la permanence du temps cosmique (il est cyclique) à la finitude du temps humain (il est linéaire), « tu marches tout droit vers que tu ne vois pas », à savoir la vieillesse. Enfin, la phrase célèbre « Carpe Diem » est ici reprise par l'injonction : « cueille les roses de la vie ». 2). L'imitation de Ronsard

ainsi que toutes les perfections ou propriétés. En ce sens, l’absolu, c’est Dieu. Inversement, le relatif, c’est ce qui dépend d’autre chose et n’existe que lorsque certaines conditions sont réalisées ; c’est aussi ce qui est limité, soumis à la finitude, imparfait. Les créatures sont ainsi relatives (à Dieu) ; les effets sont relatifs (à leurs causes) ; les accidents sont relatifs (à une substance) ; la connaissance humaine est relative (car imparfaite).       Développement d’un exemple   Einstein :

devient décorateur de vitrine. Déjà, son goût pour la provocation et son humour se font remarquer.  Jean Tinguely réalise en parallèle de nombreuses peintures à l’huile mais ressent déception et frustration dans l’acte de peindre, n’admettant pas la finitude. Il est le fils unique d'une famille modeste. Son père est alors magasinier, sa mère s'occupe du foyer. Il suit une scolarité sans encombre et s’intéresse au mouvement scout. Dès le début de la guerre, en 1939, son altruisme l'amènera à vouloir

Exaltation devant le spectacle Représentation du peintre dans son tableau, mais aussi du spectateur Conclusion : Paysage symbolique, paysage intérieur, symbole de l’élan vers l’infini, l’exaltation de l’âme, importance du moi, mais aussi de la finitude de l’homme, qui est spectateur et ne participe pas. Exaltation et souffrance, mal du siècle Solitude humaine face à la grandeur et à la puissance de la nature Contemplation, attitude romantique (Hugo, Les Contemplations) Méditation sur le mystère

questions rhétoriques * antithèses ( oppositions de réseaux lexicaux) : bonheur/ malheur ; jouissance / souffrance ; vie / mort; finitude / éternité ; vue / aveuglement * analogies et images concrètes : étonner (frapper comme le tonnerre) / languir / noir chagrin / consumer /à longs traits goûter son

stratégie argumentative Le chapitre XXV donne la parole à la nature dans une prosopopée célèbre 1) Voltaire construit son discours en développant des lieux communs - faiblesse physique de l’homme (l.1) - caractère éphémère de la vie humaine (l.2) - finitude de l’homme et caractère inévitable de la mort (l.2) Ces lieux font partie d’un fond commun déjà développés auparavant par Bossuet (cf texte p.178) et Pascal (cf texte p.176) ; ils acquièrent ainsi un pouvoir de conviction. 2) Emploi de procédés

chercher une façon de préparer la suivante. Pour tous ceux-là, on n’a qu’une vie. Tout se passe ici et maintenant. Tout simplement car ces personnes sont dans l’acceptation de la mort et d’une certaine façon dans l’acceptation que Dieu leur a donné une finitude. Tous ceux qui doutent, tous les sceptiques, vont se tourner une fois encore vers d’autres réponses que celles proposées par la religion pour tenter de s’affranchir de l’angoisse existentielle inhérente au mystère de la mort. Et c’est précisément

religion pourrait donc être conscient de sa faiblesse dans l’univers et pouvoir ainsi plus facilement affronter la réalité. La religion n’est pas le résultat de l’expérience ou de la réfléxion : elle est le résulat su sentiment que l’homme a de sa finitude et de sa dépendance à l’égard d’une puissance qui le dépasse. Elle est donc basée exclusivement sur la foi, elle n’est pas démontrable et dérive de la confiance. L’acte de foi nécessite d’un engagement total à une vérité dont incertaine et angoissante