Finitude

comme le terme d’une vie terrestre et l’accès à un monde idéal. Epicure ou encore Lucrèce, l’ont définis comme la dissolution de l’âme et du corps (approche matérialiste). Heidegger l’envisage comme la forme même de la vie humaine, considérée dans sa finitude ; cette forme saisie et assumée, permet l’accès à l’authenticité. Enfin, Sartre, voyait la mort comme un fait sans aucune cause ontologique. Définitions de Philosophes : - Platon : [La mort], « est-ce autre chose que la séparation

.............................. 64 Pour mieux comprendre le texte ......................... 66 3 Texte 14 : E. KANT (1724-1804) .................................... 67 Pour mieux comprendre le texte ......................... 69 4. Temps et finitude : le questionnement Heideggérien72 La question du sens de l’être et la temporalité .............. 72 Kant et Heidegger ................................................ 72 Le temps comme horizon de la question de l’être 74 Le dasein comme être de

l’orgueil, qu'est-ce qui peut terrassé ? le passage, le séjour dans la tombe - dans un troisième et dernier temps, s'élancer de la dite tombe, comment "rendre le bien pour le mal" ? Les lois qui régissent l'univers sont-elles si éclairées ? Accepter la finitude est-elle une réponse pour panser les plaies ou un dogme, un principe incontestable ? Finalement quelle pourrait être la mécanique, je pose ici vous l’avez compris, la question du cycle que nous développerons. Je vous propose de partir en visite

Fonction d’adaptation au réel « Nous ne pensons qu’en présence d’une difficulté » H.Delacroix Fonction morale « La conscience est toujours implicitement morale » Alain, 2/ La condition humaine 2.1 Grandeur : transcendance de l’homme 2.2 Misère : finitude humaine et conscience malheureuse de l’homme « La grandeur de l’homme est grande en ce qu’il se connait misérable. » Pensées, Pascal II L’homme et le monde 1 / Intelligence, Instinct, Habitude Instinct : Programme de comportement génétiquement

verres de vin, pipes, cartes à jouer…). Le crâne structure le tableau et lui donne son sens : tous les objets accumulés autour de cette tête de mort ne sont rien. Ils sont vains au regard du néant qui nous attend ; ils ne renvoient qu’à notre propre finitude. La vanité est la représentation crue de la misère humaine, de notre condition humaine soumise à la mort, qui va vers son anéantissement. ANAMORPHOSE DU CRANE : Une anamorphose est une transformation géométrique d'une image afin de la rendre

capable d’expliquer l’univers. Dans la conception du Moyen Âge, l’Homme est supérieur par sa domination sur la nature. De plus, les deux conceptions croient que l’Homme peut souffrir physiquement et qu’il va affronter son destin qui est la mort et la finitude. D’après Pascal, l’Homme est misérable. Dans le même sens, l’Homme du Moyen Âge, considère que le corps humain est un matériel périssable et que l’âme est immatérielle et immortelle. Au niveau de leurs différences, la conception de l’Homme du Moyen

Sartre. Il place la vérité subjective au centre de sa réflexion en partant du vécu premier de l’existence individuelle pour s’interroger sur les expériences fondamentales de « l’existant » humain (absurdité, vertige des possibilité, angoisse, la finitude…). L’existentialisme de Sartre est une pensée de la liberté humaine autour de l’étude de situations concrètes ( les dilemmes, les fuites, les attitudes de mauvaise foi…). · Analyse du texte : La conduite

premier cet argument semble être le plus important afin de pouvoir être heureux. Avoir un concept vrai du dieu est primordial. Concept du dieu vu par Epicure = vivant immortel (du côté de l’infini donc différent de l’homme qui se situe du côté de la finitude) et bien heureux (sans trouble donc dans l’ataraxie). Par conséquent il ne s’occupe pas des hommes car sinon la béatitude lui serait impossible, on sait cela d’après le concept même d’un dieu. Ce concept est inné (fait parti de la nature humaine)

d’abord un corps et en ce sens il peut être étudié comme tout objet qu’on analyse mais il est aussi une conscience et grâce à elle il se fait une image de lui-même et de tout ce qui l’entoure. A- L’en-soi, le pour-soi, pour-autrui, expérience de la finitude * L’en-soi : L’en-soi est le monde objectif, c’est-à-dire tout ce qui est mesurable, quantifiable et c’est la raison pour laquelle l’en-soi est le mode d’existence à partir duquel la science constitue ses objets. C’est donc le monde des phénomènes

stagner, voire régresser, et peut donc mener jusqu'à la mort, la destruction. Mais derrière cette rassurante unité du terme "soi", que se cache-t-il ? Condamné à une cruelle et inévitable finitude, "soi-même" est aussi le siège de l'indéfini et de la pluralité finie et insaisissable. Finitude et "indéfinition" sont alors la source d'une incurable angoisse. Reniées ou méconnues, nos profondeurs peuvent nous faire de mauvaises surprises, car n'oublions pas que désirs et interdits, de même