Firme Transnationale Nike

rendements d’échelles : Il ne peut s’agir des rendements d’échelle interne à la firme (si une entreprise en détient beaucoup, elle va avoir le coût unitaire qui va diminuer. Donc plus une entreprise est grande plus elle baisse ses coûts unitaires donc elle est plus compétitive donc à terme il y a plus de concurrence car au final il n’y aura plus qu’une grosse entreprise). Il parle des rendements d’échelles externes à la firme mais interne au secteur d’activité. Dans ce cas, la concurrence reste possible

CHANDLER (cf. The Visible Hand: the Managerial Revolution in American Business, 1977) montre que les entreprises modernes intègrent l’ensemble des étapes de la production d’un bien, de la matière première à la distribution. Dans ces conditions, la firme M (multidivisionnelle) représente l’archétype de ces grandes structures productives que constituent les groupes à une époque où les États-Unis occupent sans conteste la première place dans l’économie mondiale. Contre la main invisible d’A. SMITH qui

Qu’est-ce qu’une firme (-réseau) ? Virgile Chassagnon Université de Lyon Laboratoire d’économie de la firme et des institutions (LEFI) Institut des Sciences de l’homme – Bâtiment C 14, avenue Berthelot 69363 Lyon Cedex 07 (France) Téléphone : (33) 04.72.72.64.58 // Fax : (33) 04.72.72.65.55 virgile.chassagnon@ish-lyon.cnrs.fr Résumé Une firme est une entité réelle au sens où elle constitue un « tout » cohésif et durable qui ne peut être réduit à l’agrégation de ses parties ou de ses membres

en offrant la seule ressource parfois disponible sur place c'est à dire la main d'œuvre. Du temps où la Chine était encore une marge c'est par cette voie là qu'elle s'est industrialisée. Chapitre 2 Les acteurs du système-monde 1) Firmes transnationales et ONG Interdépendance accrue des économies du monde, grâce notamment a la chute des barrières douanières, à la libéralisation et à la déréglementation qui ont levé la plupart des entraves à la circulation des marchandises et des capitaux.

ce qui concerne les premiers, la firme va procéder à une diversification géographique de ses actifs industriels, en s’implantant dans différents pays. En parallèle, elle va internationaliser son chiffre d’affaires, en prenant des parts de marché croissantes en dehors de son pays d’origine. Cette stratégie peut également s’appliquer aux actifs financiers de l’entreprise qui vont être libellés dans différentes devises. Pour ce qui est du passif, là encore, la firme dispose de nombreuses solutions

dénationalisation des espaces éco au profit d'un espace régional ou mondial plus intégré (transnationalisation de la P°). trans = traverser, dépasser. - La globalisation : aboutissement d'une intégration totale et mondiale opérée par des réseaux privés transnationaux soumis à un minimum de contraintes ou d'allégeances communautaires. Des marchés homogènes apparaissent au niveau mondial ac des systèmes de prix homogènes (mise en place de réseaux mondiaux de P° et d'information). - 3 dimensions en étroite interdépendance

des avions de nouvelle génération, Microsoft a ouvert son sixième centre de recherche à Bangalore (Inde). A la fin de 2004, la Chine comptait sur son territoire quelques 700 centres de recherche et développement d'origine transnationale, et plus de 100 sociétés transnationales avaient installé des unités de recherche et développement en Inde. Les flux d’activité, de capitaux et d’emplois généré par les différentes entreprises dans les pays émergent, afin de bénéficier d’avantage compétitifs important

l’espace mondial pouvait se lire à travers le prisme des Etats et de leurs relations. Or, aujourd’hui une partie grandissante des activités humaines, notamment dans les domaines économique et culturel, échappe à leur contrôle car des réseaux transnationaux (réseaux d’entreprises, internet, télévision par satellites, …) se sont mis en place. On appelle ce processus mondialisation (ou globalisation). Il est synonyme d’interdépendance car il tend à faire du monde un village global. Cependant, à y

interrogé sur l’efficacité des structures. Il compare deux types de firmes : la firme A (pour américain) et la firme J (pour japonais). Chacune possède sa propre structure d’échange de l‘information. La firme de type A possède une structure rigide. Ses règles et ses fonctions sont préétablies de façon précise. La coordination est verticale, ce qui signifie que les informations passent surtout par la voie hiérarchique. La firme de type J possède au contraire une organisation du travail souple et sans fonction

concurrence parfaite, car celle-ci existe quand tous les producteurs ont la même taille, le même pouvoir, la même quantité de produits sur le marché… Or les gros producteurs sont avantagés par rapport aux petits producteurs : raison d’existence de la firme. Les travaux s’inscrivent dans la théorie de la concurrence monopolistique. Peu de firmes occupent le secteur, elles se comportent comme en situation de monopole. Imaginons 2 pays, la France et l’Allemagne qui produisent chacun des automobiles, en