Fleurs Du Mal La Destruction

1847 Charles Baudelaire rencontre Marie Daubrun actrice aux yeux verts qui lui inspireront de nombreux poèmes. Durant cette année il découvre l’auteur américain maudit, il retrouve en ce dernier sa conception de l’art et une fascination commune du mal : « le démon de la perversité ». Etant totalement bilingue, il publie alors ses premières traductions de récits fantastiques de son ami. Baudelaire participe aux journées révolutionnaires, il participe également à la création d’un journal révolutionnaire :

d’état-major. La mère de Baudelaire épouse donc en secondes noces un homme de son âge, séduisant et arriviste. La haine de Baudelaire pour son beau-père aurait été immédiate, ce second mariage aurait été perçu par l’enfant comme une trahison. Dans Les Fleurs du Mal, et plus précisément dans le poème intitulé « La servante au grand coeur... », Baudelaire écrit sur cette période : « Les morts, les pauvres morts, ont de grandes douleurs. » L’allusion est à peine voilée, le poète semble reprocher à sa mère son

d’état-major. La mère de Baudelaire épouse donc en secondes noces un homme de son âge, séduisant et arriviste. La haine de Baudelaire pour son beau-père aurait été immédiate, ce second mariage aurait été perçu par l’enfant comme une trahison. Dans Les Fleurs du Mal, et plus précisément dans le poème intitulé « La servante au grand coeur… », Baudelaire écrit sur cette période : « Les morts, les pauvres morts, ont de grandes douleurs. » L’allusion est à peine voilée, le poète semble reprocher à sa mère son

frontière entre les USA et le Mexique, idée appuyée par le mot "frontière" du titre de l'œuvre. Elle divise cette toile en deux parties (gauche/droite). b) A gauche, le Mexique : - ce que l'on voit : > Au premier plan : un ensemble désorganisé de fleurs plantées dans le sol, certaines fanées et couchées, d'autres fraîches. L'ensemble est très coloré. Les racines sont représentées et reliées aux fils électriques qui se trouvent à droite au premier plan. > Au second plan : deux statuettes précolombiennes

Andersen :Danois , 156 œuvres (pas que des contes )Enfance pauvre mais heureuse18e siècle Le briquet :Soldat vole à une sorcière un briquet magique qui commande 3 chiens avec de très gros yeux. Soldat veux épouser la princesse mais elle est protégé. Grâce aux chiens, il devient roi et épouse la reine. La princesse sur le pois :Un prince recherche une vraie princesse, une princesse se présente au château. Pour savoir si c'est une vraie princesse, la reine cache un pois dans les 20 matelas de la fille

l’un des sujets les plus importants avec lesquels l’écrivain travaille est la décadence. L’auteur élabore des thèmes tels que la tentation, le péché et la chute morale et ces éléments apparaissent dans la vie de Dorian et autour de lui (création + destruction)L'image agit comme un miroir inversé, reflétant le véritable moi intérieur (ou âme) de Dorian alors que lui, «l'original» Dorian, ne montre que le masque trompeur de la jeunesse et de la pureté.Thème du déclin moral, le portrait de Dorian Gray fait

solide). Facile à saisir : « rond à plein poing »Personnage comique, qui détourne les valeurs morales : aspect subversif du personnage. Parodie du chevalier (qui tient sa lance, qui défend des symboles religieux : la croix et politiques : les fleurs de lys)Les fleurs de lys sont une référence à la monarchie, mais elles sont presque toutes effacées (?)Les moines sont censés défendre le pouvoir politique, mais cela semble oublié, ils défendent leur propre intérêt. 65 à 72 : Phrase très longue qui déroule

Introduction Charles Baudelaire est depuis longtemps un poète reconnu, l’un des auteurs les plus lus, les plus traduits et les plus commentés du monde. Baudelaire a enrichi le domaine poétique par sa création littéraire des Fleurs du Mal. Cette œuvre représente et incarne les aspects de la modernité poétique et littéraire au niveau de la langue et du style. Baudelaire fait de la poésie une vision du monde, un ordre de valeurs qu’il serait artificiel et réducteur d’enfermer dans des catégories

Éternité. Les Fleurs du Mal, « Les Phares » À moins que l’art ne soit une volonté de parfaire la création. « Le plus grand mystère, écrit Malraux, n’est pas que nous soyons jetés au hasard entre la profusion de la matière et celle des astres, c’est que dans cette prison nous tirions de nous-mêmes des images assez puissantes pour nier notre néant ». C’est peut-être tout simplement, la pathétique tentative d’échapper au temps, de parler aux hommes au-delà de la tragique destruction de la mort, en

dégoût en commun de la Guerre (1916 milieu de la première guerre mondiale) qui  est responsable de la crise.  Certaines œuvres représentant des massacres étaient censurées, ils revendiquent donc la liberté de l’art et leur mouvement tend vers une destruction du langage, créant ainsi  des mots sans sens. C’est en 1918 que le Dadaïsme culmine (c’est l’apogée). De 1920 à 1923 Dada trouve son champ d’action principal à Paris avec Tzara qui s’y installe et avec les animateurs de « Littérature » : Aragon