Flexibilité Des Prix Selon Les Néoclassiques

de richesses à long terme. Or l’Etat |-Historiquement, l’Etat a piloté le développement économique (dès le XIXème siècle en France par exemple avec les| |peut entraver la création de richesses en perturbant le fonctionnement du marché (fiscalité, prix administrés, |réformes du Second Empire, le développement des canaux fluviaux, des voies ferrées…) | |corruption, lourdeurs bureaucratiques, etc.) L’individualisme et l’initiative privée ont donc largement favorisé |-Depuis

salaire. = e(Ot) / w = (ΔOt / Ot) / (Δw/w) Le problème est que cette élasticité est fondamentalement inconnue, il n’y a pas un comportement général observé face à l’augmentation de salaire. Taux de salaire réel = taux de salaire nominal (W) / prix (P) * 100 Période 1 Période 2 Période 3 W 1000 1000 1100 P 100 102 (+2%) 105 (+5%) W= W/P 1000 980 1047 A) Un bref historique de la liaison

augmenter la production. Il existe cependant une relation très forte entre la demande de travail et la croissance économique, et donc entre les créations d'emplois et la dynamique de l'activité. II° La croissance comme remède au chômage. Rappel: selon le bureau international du travail, un chômeur est une personne sans emploi, à la recherche d'un emploi et disponible pour occuper une emploi dans un délai raisonnable. Cette définition standardisée du chômage permet d'effectuer des comparaisons internationales

la monnaie. Keynes a été un élève de Marshal, d’où sa force dans une critique interne du modèle classique. Dans le modèle classique, Keynes va critiquer la thèse selon laquelle les marchés s’autorégulent. Dans ce modèle, la force principale est la concurrence et la parfaite flexibilité des prix : l’ajustement se fait donc par les prix. En contradiction avec cette théorie, Keynes suppose que l’ajustement se fait par les quantités. Par ailleurs, Keynes va critiquer la loi de Say (toute offre créée

I. Définition et objectifs de la macroéconomie 2 II. Quelques notions et conceptions nécessaires à l’analyse macroéconomique 2 III. Histoire stylisée des victoires et déboires des différentes approches théoriques 4 IV. Keynésiens et néoclassiques 5 Chapitre 1.2 : Revenus, inégalités, prélèvements obligatoires, redistribution 7 I. Revenus et distribution des revenus 7 II. Principes de redistribution 9 III. Les principes de la fiscalité 9 IV. Le système fiscal français 10

IS/LM est une approche de l’équilibre macroéconomique de court terme.Ce modèle insiste sur le rôle de la demande agrégée et son impact sur l’équilibre macroéconomique de court terme.Par rapport à la macroéconomie néoclassique, le modèle IS/LM introduit 3 hypothèses majeures: 1) Les prix sont rigides à court terme. 2) Le taux d’intérêt est une variable du marché financier (biens d’investissement) et du marché monétaire. 3) Les anticipations sur le niveau des variables futures affectent le niveau des

se caractérise par un effondrement généralisé de la production. Faillites et endettement se succèdent, conduisant à une forte contraction de la demande : baisse des prix de l'ordre de 15 à 20% en trois ans, effondrement des échanges internationaux... Le chômage explose pour atteindre des taux de 10 à 20% avec de fortes variations selon les branches. Rien ne semble pouvoir arrêter la propagation de la crise aux États-Unis et à l'ensemble du système international. On entre dans un cercle vicieux.

15 ou +) qui: * n’ont pas travaillé, ne serait-ce qu’une heure au cours de la semaine de référence * sont disponibles pour travailler dans les deux semaines * ont entrepris des démarches actives de recherche d’emploi * Le chômage selon le BIT (reprise par INSEE) = mesure officielle du chômage, qui permet l’analyse des évolutions du marché du travail et les comparaisons internationales. * Etude de l’évolution du taux de chômage entre février 2008 et février 2009 : France : 7

Mesure et évolutions de la mobilité sociale Soleranski Louis B/ Les causes du chômage Vielcastel Quentin B/ Les causes du chômage Dans la même rubrique A/ Le chômage C/ Progrès technique et emploi E/ Flexibilité et emploi F/ L’insertion professionelle des jeunes D/ Précarité et flexibilité Il n’y a pas qu’une explication possible du chômage. On peut toutefois penser à trois principales causes : le chômage serait dû à un coût excessif du travail (interprétation relancée par la mondialisation

cela sous la question des causes de la richesse. Le travail n’est pas une marchandise comme les autres, pour les classiques et pour Marx, le travail constitue la seule source de valeur. Par la suite les théories néoclassiques se sont intéressées à cette question. Pour les néoclassique, le marché du travail est un marché standard (théorie standard, orthodoxe, dominante), càd un marché comme les autres ou s’affronte une offre de travail et une demande de travail. Pour Keynes ou pour les institutionnalistes