Flexibilité Des Prix Selon Les Néoclassiques

I La crise est un phénomène qui ne justifie pas l'intervention de l'état. Selon les classiques et les néoclassiques, la crise résulte d'un déséquilibre entre l'offre et la demande globale lié au non respect des dègles du marché. Pour sortir de la crise, il suffit donc de permettre le retour au libre fonctionnement du marché. Au contraire l'intervention de l'état risque d'aggraver la crise comme le dit Friedman par l'aggarvation de la crise de 1929 par les erreurs de la FED qui ména un politique

les modalités selon lesquelles un individu ou une société affecte des moyens limités à la satisfaction de besoins nombreux ou illimités" Raymond Barre Acause de la rareté des ressources économiques, toutes les sociétés sont confrontées aux mêmes problèmes. Les questions spécifiques liées à ces problèmes sont: °Que produire et en quelle quantité? °Comment les biens et services sont produits? °Pour qui ces biens et services sont produits? °Qui prend les décisions économiques et selon quel processus

économique Les préclassiques : - XVIème/XVIIème : le mercantilisme (COLBERT) - XVIIIème : les physiocrates (QUESNAY, TURGOT) Les classiques : (travail sur la valeur d’échange) - 1776 : SMITH - 1817 : RICARDO - 1867 : MARX Les néoclassiques : (travail sur la valeur d’utilité) - années 1890 : WALRAS, JEVONS, MENGER Keynes 1936 Les monétaristes : ( ou école de Chicago) - années 1950 : FRIEDMAN L’école du déséquilibre : (théorie du chaos) - années 1980 : AGLIETTA Tous

entrainant une forte distinction entre les travailleurs qualifiés et les non-qualifiés. De plus poursuivant des objectifs de qualités et de réactivités face à la demande. Les nouvelles formes d’organisation du travail dans les entreprises imposent une flexibilité qui se traduit par le recours au travail temporaire ou aux licenciements. L’enjeu des politiques de l’emploi est de lutter contre le chômage en stimulant une croissance riche en emplois. Mais, au-delà de la prise en charge des diverses coûts du

CHAPITRE 05 - LA CONCURRENCE ET SES IMPERFECTIONS. 1 - COMMENT UN MARCHÉ CONCURRENTIEL FONCTIONNE-T-IL ? Selon la théorie libérale néoclassique, le marché concurrentiel permet une allocation optimale des ressources. Le modèle néoclassique de la concurrence pure et parfaite repose sur cinq hypothèses, cinq conditions. Trois hypothèses de concurrence pure : - homogénéité du produit (mêmes caractéristiques et performances), - atomicité des offres et des demandes (existence d'un très

rationnelle. L’idée morale qui justifie le marché c’est que ne réussit dans son entreprise que celui qui a compris son intérêt égoïste, donc s’enrichir suppose qu’il satisfasse dans les meilleures conditions, le plus rapidement possible et le meilleur prix possible, les besoins des autres. Le marché est donc moral car il transforme les égoïstes en altruisme. C’est la notion de « l’intérêt bien compris » qui est central dans le libéralisme. Smith est bien conscient que l’économie qui se développe à son

l’opposer au développement. Mais la différence est malaisée à établir. On limite généralement la notion de croissance à des critères uniquement quantitatifs alors que le développement inclurait aussi des phénomènes qualitatifs (éducation, emploi...). Selon Kuznets, « la croissance est essentiellement un phénomène quantitatif. À cet effet, on peut définir la croissance économique d’une nation comme un accroissement durable de la population et du produit par tête ». Perroux affirme, quant à lui, que «

CHAPITRE 1 : Les fondements du libéralisme 2 principes : respecter « l'ordre naturel » : l'état ne doit pas intervenir dans l'économie. Concept se retrousse chez tous : les Physiocrates, classiques ou néoclassiques. Les comportements individuels s'agrègent harmonieusement : chaque individu, en recherchant son intérêt personnel, œuvre (sans le vouloir) pour l’intérêt général. Les libéraux sont des utilitaristes : maximisation de l'utilité individuelle = satisfaction. I- Les premiers

Définition du marché: Au sens économique, le marché représente le lieu, souvent abstrait, où se confrontent une offre et une demande pour aboutir à des échanges (achats et ventes) caractérisés par des prix de marché. Il existe un marché pour chaque type de bien et chaque marché donne lieu à l'émergence d'un prix. Dans la théorie néo-classique, le marché est une institution efficiente dans l'allocation des ressources. F. Perroux (1903 – 1987), pour sa part, lie le marché à l'entreprise: ? L'entreprise

politique c'est de la politique économique. La finalité officielle de cette politique économique, est que le pouvoir du prince, la puissance de l'État augmente. Le moyen préconisé, est que la richesse économique de cet État augmente. Cette idée selon laquelle la puissance politique d'un État passe par la puissance économique de ce même état est totalement nouvelle. Elle signifie premièrement que l'économique est indépendante de la morale, deuxièmement que l'économique supérieure politique puisque