Fonction Lyrique Du Monologue

: « Rois de tragédie » et Belin Français 3ème, une séquence intitulée « Pouvoir et abus de pouvoir ». Pourquoi la royauté est-elle théâtrale ? Elle a besoin, même dans la réalité, de décors, de costumes et de mise en scène pour exister. Elle fonctionne à la fois comme spectacle et comme rituel, avec des répétitions attendues de gestes et de paroles autant du roi lui-même que de ses sujets. Ceux qui ont affaire au roi doivent manifester par des signes physiques, la distance qu’ils ont par rapport

Vous allez étudier dans ce chapitre d’une part l’histoire des formes de la tragédie avant, pendant et après Racine ; d’autre part le contexte social et politique dans lequel s’inscrit le genre pendant la période Classique et, de ce fait, la fonction idéologique du genre. A Histoire du genre tragique Liée à Dionysos, la tragédie est en relation avec le sacrifice et le sacré. Elle est associée, dès l’Antiquité grecque, aux cérémonies religieuses et politiques qui réunissent la collectivité

mon, notre. -Les pronoms possessifs : le mien, la mienne, les mien(ne)s, le nôtre… -Le nom propre : EX : Ben Du Toit… NB : lorsque l’émetteur centre son message sur lui-même, c.-à-d. utilise abondamment les indices sus-cités, on dit qu’il a une fonction expressive ou émotive. Dans ce cas il exprime ses sentiments. 2. L’émetteur implicite C’est celui dont aucune marque n’apparait dans le texte. À ce moment on peut se référer au paratexte (auteur) s’il est demandé, ou encore

|9 | | | | |La caractérisation des personnages en fonction du choix de la narration…………… | | |Des portraits flous et indéfinis |

|On peut le remplacer par il, elle, le, la, lui | |Le pronom : il, qui, celui-ci |Il remplace un nom et a toutes les fonctions d’un nom | |Le déterminant : un, le, mon, ce, du … |Il précède toujours un nom et ne peut se trouver sans le nom qu’il détermine (précise) | |L’adjectif

règles de 2000 ans dictées encore en son temps= effacement de l’histoire. Le découlement de cette Histoire est en 3 étapes -primitive : Le temps mythique des origines selon les penseurs du contrat. Eden, sans propriété, image romantique. Poésie lyrique dont le genre est l’ode. « la genèse ». Innocence universelle -la société antique. Epoque de la poésie antique. Le modèle est l’épopée et la tragédie. Epoque de prêtres et de héros. Religion= loi, poésie =religion. -l’ère moderne. Commence avec

la même / Ni tout à fait une autre" (vers 3-4). Son prénom et son apparence physique sont confus (vers 9-10). La femme est "lointaine" (vers 13) => Femme singulière et mystérieuse 3 - Mais cette femme n'existe pas "hélas !" (vers 6) interjection lyrique (exprime la douleur). Mise en valeur par la présence devant la césure -> exprime le regret que la femme ne soit qu'en rêve mais n'existe pas dans la réalité. "Je me souviens qu'il est doux et sonore, / Comme ceux des aimés que la Vie exila." (vers

l’importance des caractères dans le roman et en vous appuyant sur des exemples tirés du corpus et de vos lectures personnelles. 1. Aventure veut dire ici intrigue. 1 Le roman 3. Invention (16 points) Imaginez un personnage romanesque qui, dans un monologue intérieur, exprime les raisons et les moyens de sa révolte. Vous situerez ce personnage dans un contexte social ou familial précis. TEXTE A Stendhal, Le Rouge et le Noir, 1re partie, chapitre V, « Une négociation », 1830. [Le jeune Julien

le paradoxe n’est qu’apparent. Constater un défaut n’implique pas qu’on l’approuve. 2 La place de la morale dans les fables - La morale clôturant le récit : C’est depuis Esope, l’ordre logique et traditionnel. La morale a donc soit la fonction de généraliser la portée du récit, soit de la restreindre. - La morale précédant la fable : influence de Phèdre. Le sens de la fable est alors immédiatement révélé au lecteur et le récit illustre l’idée générale exprimée dès le début.

Diagrammatisme et poésie chez les deux Marot », Poétique et onomastique : l'exemple de la Renaissance, Genève, Droz, 1977, p. 68-79. 3. Voir la note 24 de l'édition Defaux, tome I, p. 619-620. 4. E. Duval, « Marot, Marguerite et le chant du cœur : formes lyriques et formes de l'intériorité », Clément Marot, « Prince des poètes françoys » (1496-1544). Actes du Colloque de Cahors, 21-25 mai 1996, publiés par G. Defaux et M. Simonin, Paris, Champion, 1997, p. 559-571. 5. Par exemple, la structure de la préface