Fonction Voix Machine Infernale

d'étude : le théâtre Introduction En 1932, Jean Cocteau rédige et fait jouer La Machine infernale, pièce de théâtre dans laquelle il réécrit le mythe d'OEdipe. La plupart des spectateurs connait sans doute, dans ses grandes lignes, l'histoire de ce héros qui, de Sophocle à la psychanalyse, hante la culture occidentale. Pourtant, Cocteau prend la peine d'insérer, en tête de sa pièce, un prologue prononcé par une « voix » énigmatique, qui raconte l'histoire du personnage principal de la pièce. Cette

Commentaire : La machine infernale, Jean Cocteau Jean Cocteau (1889-1963) est un artiste français aux multiples facettes : il est à la fois poète, romancier, dramaturge, dessinateur et cinéaste. Au cours de sa vie, il s’associe avec plusieurs écrivains et publie de nombreuses œuvres qui lui assureront sa renommée. Parmi ses pièces à succès, La machine infernale, écrite en 1932 et jouée pour la première fois en 1934, reprend le mythe d’Œdipe, héros tragique grec. L’extrait proposé

figaro publiée en 1784. Le document B est une œuvre de Jean Cocteau publié en 1934 appelé La Machine infernale. Ensuite, le troisième texte de théâtre est un passage de l’acte I d’Oh les beaux jours de Samuel Beckett édité en 1961. Enfin le dernier document est une photographie d’Yves Borrini qui est une représentation de la mise en scène de l’œuvre de Beckett. Tout d’abord, les didascalies ont pour fonction d’aider le lecteur à visionner la scène au cours de sa lecture. Ainsi, on trouve des didascalies

F R A N Ç A I S: examen de juin 1) La machine infernale de Jean Cocteau A. Qui est jean Cocteau? [pic] Cocteau est né en 1889 et est mort en 1963. Il se définit lui-même comme un poète. Il envisage toute son œuvre dans une perspective unifiante, celle de la création poétique. B. L'œuvre de Cocteau. ▪ La poésie (inspirée par les horreurs de la guerre 14-18 et lyrique) ▪ La poésie graphique: - La peinture - Les dessins - La sculpture ▪

était anachronique pour l’époque car l’apparition du cinéma parlant en 1927 avec Le Chanteur de Jazz a entrainé un déclin rapide et irréversible du muet (et de la plupart de ses stars…). En réalité, ce film est « muet et sonore » à la fois, puisque des voix, des bruitages et même le chant clownesque du héros ont été intégrés au film et contribuent à sa dramaturgie. C’est aussi le dernier film de Chaplin dans lequel intervient le personnage de Charlot, mondialement connu. Synopsis (résumé) du film :

Racine, s’approprie-il un genre et un registre, le théâtre tragique, et un mythe, Phèdre ? Objectifs : - Caractéristiques de la Tragédie Classique : équilibre et parallélismes - La Tragédie au XXº siècle (lecture cursive) : La machine infernale, Cocteau - Du mythe à la tragédie antique et à Racine : le travail de l’écriture - les thèmes, le héros tragique : fatalité et tiraillement  - Caractéristiques d’un genre et d’un registre, le tragique. - Les figures

comparé à un objet d’art (« bijouterie ») et devient un produit artistique par l’admiration qu’il suscite. Le travail, situé pourtant dans le domaine de l’artisanat, est ici hissé au niveau de l’art. II/ Le travail est un langage Il dépasse sa simple fonction utilitaire pour servir de vecteur aux pensées humaines. C’est d’abord un langage qui s’instaure entre Goujet et Fifine : le corps de Goujet lui transmet sa volonté. C’est une communication non verbale qui s’exprime et se transmet du forgeron à son

labyrinthe du minotaure description de l’alambic du père Colombe L’Assommoir – l’alambic machine à soûler devient un monstre Portrait de Camille noyé à la morgue dans Thérèse Raquin ici portrait qui prend des allures fantastiques, portait qui va hanter le couple au point que quand Laurent peindra on retrouvera toujours le motif du noyé dans ces peintures Les procédés de l’écriture réaliste: utilisation de la fonction explicative de la description : avec les nombreux adjectifs, les expansions du nom un

simple) fonctionne comme un signal : passage à une description à travers les yeux d’Etienne La dernière phrase « alors l’homme reconnut une fosse » donne d’abord une vision floue, mystérieuse, puis retour à une vision plus objective. Il cherche à avoir des repères, à reconnaître l’espace et semble perdu « sans qu’il comprit » : aspect mystérieux de la « nuit » et de la « fumée » qui accompagne cette « apparition fantastique ». Personnification : la « voix » et la « respiration » de la machine que

renforce cette impression. Un lieu presque infernal L’auteur ajoute une nouvelle fois des éléments au paysage qui sont des maisons et des forges rouges qui sont surement des hauts fourneaux se trouvant à l’horizon. Le nom « horizon » est au pluriel cela montre qu’il y a plusieurs forges à plusieurs horizons ce qui est hyperbolique. Cette hyperbole montre que la ville est entourée d’usines. Comme il y a plusieurs forges à plusieurs horizons cela donne une fonction hyperbolique à ce paysage, de plus, elle