Fondements des mathématiques

notamment. Mercredi 6 mai 2009 Naturalisation de l’éthique et naturalisations des mathématiques Fabrice Pataut (philosophe, IHPST, CNRS, université Paris 1, École normale supérieure) A priori, rien de plus opposé que l’éthique et les mathématiques. Les conflits éthiques sont innombrables et, semble-t-il, insolubles ; ils reflètent ni plus ni moins nos divergences de points de vue personnels et collectifs. Les mathématiques possèdent en revanche un arsenal impressionnant de résultats objectivement attestés

Philosophie de l'Art GRANDEUR ET FORCE : MATHEMATIQUE ET DYNAMIQUE CHEZ KANT - Emmanuel KANT, Observations sur le sentiment du Beau et du Sublime - Emmanuel KANT, Critique de la faculté de juger, 1790 Emmanuel KANT est à l'opposé de la théorie de BURKE sur le Beau et le Sublime, qui donne une dimension empirique au sentiment du Beau et au sentiment du Sublime. KANT, lui, est plutôt dans une perspective transcendentale du Beau et du Sublime. Pour lui, l'expérience connaît plusieurs aspects

DESCARTES René), c’est pourquoi tous les hommes doivent se soumettre à la raison puisque la raison fait parti de l’essence de l’homme. Dans le cas contraire on aurait aliénation de l’homme. Il s’agit d’abord de la raison comme fondement de la démocratie, la question du fondement est d’abord une question métaphysique. Dans un état totalitaire l’accord général ne fait pas problème parce qu’il est imposer par le dictateur qui utilise la force. La raison est la relation normale entre les esprits libres

que la Terre n’est pas au centre du monde : c’est autour du Soleil que tournent les planètes (héliocentrisme). Galilée (1564-1642), en découvrant la loi de la chute des corps, parvient à appliquer les mathématiques à la description physique du monde. « La nature est un livre écrit en langage mathématique », écrit-il. C’est une révolution considérable, qui met fin à près de vingt siècles de physique aristotélicienne ! Mais la philosophie, au XVIe siècle, restait sceptique (comme chez Montaigne). Descartes

invisibles du monde visible et non pas des mouvements visibles parce que tout ce qui est logique n’est pas forcément réel. Pourtant, ce serait renoncer à la certitude et donc à la vérité parce qu’il existe des sciences qui sont certaines : les mathématiques, la théologie naturelle et le droit naturel. Nous sommes à nouveau conduit à poser que la vérité est la même pour tous, elle est universelle, elle n’est pas subjective. Pour connaître cette vérité, il faut donc se baser sur la raison et mettre

étendre la certitude mathématique à | | |l'ensemble du savoir (en effet, dans Le discours de la méthode, il va à la recherche de la vérité, en cherchant de | | |comprendre l’univers). À son avis, tous les phénomènes doivent pouvoir s'expliquer par des raisons mathématiques, à travers | | |des figures et des mouvements. Après, il sentira la nécessité d’un fondement métaphysique pour

seconde méditations René Descartes Introduction : le problème des principes du savoir Rupture avec la pensée médiévale. Le problème de Descartes est le problème des conditions des connaissances de la vérité. Le problème des principes, des fondements de la science et du savoir. Pourquoi est-ce une œuvre philosophique ? La philosophie c’est la recherche de la vérité, la découverte de la vérité. Citation des principes de la philosophie : (préface) : « Ce mot de philosophie signifie l’étude

Samuelson dénonce les incohérences et les approximations du discours économique classique et prône l'utilisation des mathématiques pour mieux comprendre les phénomènes économiques. Il y explique comment on peut déduire des « lois » à partir des comportements individuels, et ceci dans une perspective d'équilibre général, et y formule mathématiquement la théorie du « tâtonnement walrasien » = un commissaire annonce alors un prix, et recueille toutes les intentions de demande et d'offre. Si celles-ci

à la question. La philosophie n’est pas une discipline où tout et principalement la correction serait arbitraire. La philosophie comme les mathématiques et l’histoire utilise des instruments et a affaire à la vérité. (Les instruments en philosophie sont des exemples, des démonstrations,…) L’objectif est vérifiable par tous (exemple : dans les mathématiques on ne peut pas dire n’importe quoi) On ne peut pas faire dire n’importe quoi à Platon, Descartes ou à Kant. Il est possible qu’il y ait des choix

simple prévision: mathématiques du risque: probabilité d'occurence et estimation de gravité à la prévention et la réduction des risques -de la reduction à la conception des activités en milieux à risques -catastrophe et risque majeurs -les risques technologiques majeurs -les risques psychologiques majeurs: -HISTOIRE DES CYNDINIQUES: s'est développée avec l'apparition des risques majeurs technologiques : lutte anti-terrorisme, 2. l’organisation du danger : • FONDEMENTS DE L'ORGANISATION