Fontaine des Innocents

de l’allégorie et donc à effectuer un déchiffrage pour l’identification des personnages. Par exemple, dans « le Philosophe et le Chat-huant », fable de Florian, il faut voir derrière les « geais » et les «corneilles » qui condamnent une victime innocente, l’incarnation de la puissance, du pouvoir arbitraire et violent, perceptible dans « Il faut le plumer vif: oui, oui, plumons, plumons. Ensuite nous le jugerons. ». A l’inverse le Chat-Huant, grâce à de nombreux parallélismes de situation est à assimiler

comme elle existait alors en France. Refus d’une justice coercitive (« quand [la loi] était trop sévère, il la tempérait »), et évocation novatrice de la présomption d’innocence (« il vaut mieux hasarder de sauver un coupable que de condamner un innocent »). Le mot « loi » est dans tout le deuxième paragraphe mis en relief par des insistances et de répétitions. Zadig, modèle du philosophe et de l’homme idéal, n’accorde pas de crédit aux superstitions, base sa réflexion sur des faits concrets (« comme

"s'endormit", " sommeil ", "vieille", "cheveux gris", "épuisé de fatigue", "châteaux déserts". Alors que le souvenir de l'ambiance qui régnait avec le général Bonaparte fort et sur de lui- même était rythmé de décors de beauté et de force comme "les fontaines dans les prairies", "les sabres, les cuissardes et les cavaliers". Napoléon avait vu grand pour la France et son ambition d'expansion était partagé avec tous ses hommes et les jeunes de l'époque, fort de confiance en leur commandent. Suite a l'excitation

comme  la  chair  est  faible,  la  religion tolérait tout de même dans les règles monastiques quelques moments de plaisanteries pour  peu qu’elles soient innocentes.    Le rire est, à cette époque, un instrument de subversion : la fête des fous (Victor Hugo dans Notre‐ Dame  de  Paris)  qui  se  situe  au  Moyen  Age,  les  fables  (La  Fontaine)  les  comédies  (Molière)  les  parodies  religieuses  sont  autant  de  moments  où  l’on  se  moque  des  grandes  institutions  et  des  pouvoirs  en 

créées par Picasso. Il fit également différentes constructions faites de matériaux divers.   Picasso rencontre sa future femme, Olga Kokhloven, lors d’une visite à Rome durant la Première Guerre mondiale. Picasso créé, en 1921, Trois femmes à la fontaine, une peinture néoclassique représentant des figures lourdes et déséquilibrées dans la lignée des œuvres inspirées par la mythologie du début des années 20. En 1935, Marie Thérèse rencontrée 5 ans plus tôt lui donne une fille, Maya. Marie a eu une

Peinture : Léonard de Vinci, La Joconde, 1503-1505 Raphaël, L’école d’Athènes, 1509-1510 Michel-Ange, La chapelle Sixtine, 1512 Le Rosso, galerie François Ier à Fontainebleau Sculpture : Michel-Ange, David 1501-1504 Jean Goujon, la fontaine des Innocents, 1549 Architecture : Pierre lescot, aile sud-ouest de la Cour Carré du Louvre, 1546-1556 Philibert de l’Orme, château d’Anet, 1545-1555

Académie dans la bibliothèque de Colbert (Académie des Inscriptions) - Querelle de L'École des Femmes Pierre Corneille, Sophonisbe - Molière, La Critique de L'Ecole des Femmes 1664 Interdiction de Tartuffe [pic] Jean de La Fontaine, Nouvelles 1665 Création du Journal des Savants dirigé par Denys de Sallo puis l'abbé Gallois - La Troupe de Molière devient Troupe du Roi Bussy-Rabutin, Histoire amoureuse des Gaules Invention du baromètre à cadran par Hooke

rimes sont utilisées pour un effet plus percutant. Tandis que la persuasion est un élément fondamental dans la critique et dans la poésie. La création poétique se traduit par de nombreuses figures de style, afin de critiquer indirectement, tel La Fontaine animalisant tous ces caractères dans ses fables. Les images qu’utilise Rimbaud dans son poème « A la musique » lui permet de critiquer indirectement les bourgeois. Un contraste s’effectue dans de nombreux poèmes, le champ lexical et les oppositions

www.comptoirlitteraire.com André Durand présente Jean de LA FONTAINE (France) (1621-1695) [pic] Au fil de sa biographie s’inscrivent ses œuvres qui sont résumées et commentées (surtout ses ‘’Fables’’). Bonne lecture ! Fils d’un maître des eaux et forêts et d’une Françoise Pidoux de très bonne famille, il passa à Château-Thierry, ville somnolente de Champagne, une jeunese insouciante. À l’âge de vingt ans, il entra, à Paris, dans une des plus sévères congrégations religieuses

 www.comptoirlitteraire.com André Durand présente Jean de LA FONTAINE (France) (1621-1695) Au fil de sa biographie s’inscrivent ses œuvres qui sont résumées et commentées (surtout ses ‘’Fables’’). Bonne lecture ! Fils d’un maître des eaux et forêts et d’une Françoise Pidoux de très bonne famille, il passa à Château-Thierry, ville somnolente de Champagne, une jeunese insouciante. À l’âge de vingt ans, il entra, à Paris, dans une des plus sévères congrégations religieuses