Fontaine des Innocents

l’est pas du tout. Le poète rend cette condition meilleure en faisant de sorte que l’enfant riche soit envieux de la situation de l’enfant pauvre. II) 1) Une situation retournée -> Deux petits enfants « marmot » (=>synonyme de gamin, mioche) innocents. Ils sont tous les deux égaux, seule leur condition sociale les différencie. -> « une peinture idéale » (v35) le poète inverse la situation et fait de la laideur quelque chose de beau. Il trouve l’enfant pauvre beau, malgré ses caractéristiques

la pauvreté et le sauvage, la liberté du pauvre. La pauvre vit hors des cages, il est libre alors que le riche est surveillé. Il relaie le point de vue de la condition sociale. Il fait de l’enfant pauvre quelque chose de plus. Ils sont tous deux innocents : « marmots » : familier (ligne 16) « parias » : marginal donc péjoratif car rejeté par la société. Mais à la ligne 18, Baudelaire retourne la situation et fait de la laideur apparente quelque chose de beau avec à la ligne 19 : « une peinture idéale »

 Le loup et l'agneau Introduction En 1668, La Fontaine fait paraître le premier recueil de ses Fables, duquel est extrait Le Loup et l'Agneau. Cette fable illustre une morale et met en scène des animaux pour mieux évoquer les hommes. Elle met en évidence une réalité cruelle à portée universelle : le dialogue entre le loup et l’agneau met en évidence le comportement de celui qui non seulement exerce sa violence sur le plus faible mais cherche à la justifier. I. Deux personnages opposés a)

jugements de valeurs, l'auteur s'attache a faire de l'agneau un innocent. La morale ici, ne récompense pas les bons et laisse au lecteur le soin de tirer sa propre conclusion devant une cruauté animale qui apparaît chez La Fontaine comme une allégorie de la cruauté humaine. Morale de la fable « Le loup et le Chien », dans cette fable le loup a faim mais il est libre, tandis que le chien, lui, appartient a son maître. Jean de La Fontaine parle ici de la liberté. Morale de la fable « La Génisse

« Placere Docere » : Jean de la Fontaine affirme qu' « il faut plaire pour instruire ». Ainsi une histoire dont l'intrigue est pertinente peut avoir un pouvoir de dénonciation important. Une histoire bien racontée a donc un pouvoir de divertissement et un pouvoir didactique. L'homme ayant un goût profond pour la fiction, comprend plus facilement le message d'une œuvre fictionnelle. Dans les pouvoirs des fables , Jean de la Fontaine expose la strategie argumentative d'une fable

les cœurs secs devant un Perdican qui s'incline devant sa dérision, sans cacher ses véritables sentiments : "Ton amour m'eût donné la vie, mais ton amitié m'en consolera" (II, 1). Pour révéler ce secret, Camille provoque la rencontre auprès de la fontaine ; elle se fait alors provocante à plus d'un titre. D'abord, en accordant tout ce qu’elle avait jusqu'ici refusé : la main, le baiser, la causerie de bonne amitié ; ensuite, en se montrant agressive, par la façon de s'expliquer ("Je vous ai paru brusque

son cousin au désespoir. Piqué au vif il décide de faire la cour à R devant C elle-même à qui il fixe un rdv. Dissimulée derrière un arbre, C assiste à l'entretien de son cousin et de R: il lui parle d'amour ac exaltation et jette dans l'eau de la fontaine la bague que C lui avait donnée. C en colère déclare à sa gouvernante qu'elle ne veut plus partir. Bridaine dénonce à son tour au baron l'inconduite de son fils avec R. C qui a compris la raison de l'attitude de son cousin veut lui rendre la pareille

pressentiment de P "Non, en vérite... mortel". Attente intenable pour le spectateur jusqu'au retour de C "elle est morte, a P"! -stychommythie(répliquent courtes qui s'enchaînent) et par nombreux verbes = angoisse des fiancés. Décor: -symbolique, la fontaine. -Religion, confession, pardon , plus église = -présence de D : présent dans apostrophe, prière des personnages, : prière finale de >P pour sauver R, emotion "je lui trouverai... ma faute" SANS REPONSE. Mais P dit fautes non divines mais H alors

les choses qu’elles veulent. Donc les femmes sont manipulatrices et par conséquent exercent plus de pouvoir que les hommes puissent imaginer. Par exemple, dans « Tristan et Iseut », Iseut manipule souvent la vérité à son avantage pour apparaître innocente. Dans l’épisode dessous le grand pin (quand le roi Marc les écoute) elle prouve son innocence en disant à Tristan « Mon seigneur croit que je vous aime d’amour coupable. Dieu le sait pourtant, et si je mens, qu’il honnisse mon corps ! »5. Le roi

constructions se multiplient avec le temps, formant un ensemble hétérogène et touffu. L’église Saint-Eustache est édifiée au XVIe siècle. En 1767 ouvre la Halle au blé, sur l’emplacement de l’actuelle Bourse du Commerce. En 1789, le cimetière des Innocents est transformé en marché aux fleurs et aux primeurs. Au XIXe siècle, le déplacement des Halles est envisagé, puis écarté. Entre 1852 et 1870, et en 1936 pour les derniers, 12 pavillons de fer et de verre sont conçus par l’architecte Victor Baltard