Force de maintien de la paix

sauvegarde des valeurs communes, des intérêts fondamentaux, de l’indépendance et de l’intégrité de l’Union, conformément aux principes de la charte des Nations unies, — le renforcement de la sécurité de l’Union sous toutes ses formes, — le maintien de la paix et le renforcement de la sécurité internationale, (...) y compris ceux relatifs aux frontières extérieures, — la promotion de la coopération internationale, — le développement et le renforcement de la démocratie et de l’État de droit, ainsi

la communauté internationale, par le biais de l’ONU, tente, vaille que vaille, d’œuvrer à ses missions. – Quels sont les nouveaux rapports de force dans le monde présent ? – En quoi ont-ils pu susciter l’espérance d’un nouvel ordre mondial ? – Comment peut-on expliquer le maintien et l’apparition de nouveaux désordres ? I. De nouveaux rapports de force 1. Un contexte de changement international majeur • L’échec des réformes de M. Gorbatchev, la volonté des pays d’Europe de l’Est font que la

dans presque tous les domaines de l’activité humaine. • Maintenir la paix et la sécurité internationales, à travers la prévention des menaces à la paix ou d’agression, et le règlement pacifique des différends entre États, c’est-à-dire la solution de leurs divergences par le dialogue ou par voie judiciaire (voir Article 33 de la Charte), et non par la guerre. Ainsi, la notion de “sécurité collective”, celle de “menace à la paix et à la sécurité internationales”, constituent des concepts essentiels

à la paix de revenir. Les discussions pour fonder l'ONU se poursuivent lors des différentes rencontres entre les Trois Grands (Roosevelt, Churchill et Staline), à Téhéran (1943) et à Yalta (4-11 février 1945). Le projet est finalisé par 51 Etats lors de la conférence de San Francisco (avril à juin 1945) et la charte est signée. Le monde sort de deux guerres mondiales espacées de quelques années seulement , il est donc essentiel de fonder une organisation dans le but d'un maintien de la paix durable

Nations unies était la préservation de la paix. Les nations fondatrices étaient alors engagées solidairement dans la lutte contre les forces de l'Axe (Allemagne, Italie et Japon). 1.2-Avant l'ONU, la SDN Une autre institution intergouvernementale ayant les mêmes buts existait avant l'ONU : la Société des nations (SDN), créée en 1919 par le traité de Versailles, et qui avait pour mission, après la Première Guerre mondiale, d'asseoir définitivement la paix entre les nations et de fournir des garanties

mais de repousser les rebelles pour gagner du terrain. Ils en profitent aussi pour voler des animaux ou des biens. Ils commettent aussi de nombreux viols afin d’humilier la population. Les pressions de la communauté internationale et les accords de paix d’Abuja signés par certains rebelles et par le gouvernement Soudanais, ont permis de diminuer la violence du conflit. Cet accord prévoyait le désarmement des belligérants et l’insertion de combattants rebelles dans l’armée soudanaise, ainsi qu’une

internationale". Elle donne aussi des indications sur les contours généraux du principe de non-intervention qui a valeur coutumière " le prétendu droit d'intervention ne peut être envisagé par la Cour que comme une manifestation d'une politique de force qui dans le passé à donné lieu aux abus les plus graves et qui ne sauraient quelque soit les déficiences que présentes l’organisation internationale, trouver aucune place dans le droit international". Elle énonce le principe de l'utilisation

ces derniers de faire ensemble ce qui, à l'échelle d'un seul Etat, aurait été difficile, voire impossible à réaliser. La création de l'Organisation de l'Unité africaine en 1964 reflétait la sensibilisation des responsables de l'époque au fait que la force de l'Afrique reposerait sur la coopération panafricaine. Sur l'ensemble du continent, les leaders politiques et les citoyens ont pris des mesures pour ouvrir et transformer des économies centralisées, dynamiser le secteur privé et créer des institutions

aux eaux intérieures. Longtemps fixée à 3 miles marins. Pourquoi ? Correspondait au XVIIIème à la portée d’un boulet de canon : souverain jusque là où il pouvait assurer sa défense. Bynkershoek 1702, De domino maris « le pouvoir fini là où finit la force de ses armes ». N’a jamais fait l’unanimité et a été étendue à 12 miles marins. Certaines États (latino américains) qui ont prétendu aller jusqu’à 200 milles marins, ce pour des raisons économiques. États occidentaux défenseurs des 3 milles pour des

effet ») et son caractère raisonnable, conforme à la raison. C'est ainsi que ce qui, de prime abord, peut apparaître injuste ou absurde peut se révéler à l'examen fondé et juste. Ainsi, bien que la force n'ait par elle-même rien de juste, elle devient pourtant juste quand elle permet le maintien de la paix, « qui est le souverain bien » (frag. 76, 78). L'idéal serait bien sûr de suivre le « vrai droit », mais celui-ci n'existe pas, sinon « nous ne prendrions pas pour règle de justice de suivre les mœurs