Formes De Gouvernement Selon Aristote

texte est un extrait du Livre III de "Les Politiques" - une œuvre philosophique datant du IV ème siècle avant J.-C. Son auteur, Aristote, y analyse l’origine, le but et le fonctionnement de la cité, et étudie le fonctionnement de l’Etat à son époque. La thématique du passage est la société. Il constitue une réflexion sur la notion de « cité ». Plus précisément, Aristote s’intéresse ici aux conditions qui sont indispensables pour fonder une cité, en tant que « communauté politique ». Tout d’abord

a pas de vie là où il n'y a pas d'eau. C'est une façon de répondre à la Q de l'un/multiple. Le fait d'utiliser l'eau comme principe unique explique que tout est dû au fait que l'eau a comme propriété de rester ce qu'elle est en prenant diverses formes en fonction du récipient (par ex). b) Anaximène (5e ANC) choisit l'air. Seulement l'air est moins corporel et donc on va se diriger vers un principe de moins en moins immédiatement saisissable. c) Pédocle (490 – 435 ANC) de Sicile (à

considérations: de celui qui a la faculté de participer au pouvoir délibératif ou judiciaire, nous disons qu'il est citoyen de la cité concernée, et nous appelons, en bref, cité l'ensemble de gens de cette sorte quand il est suffisant pour vivre en autarcie. » Aristote, La Politique. C’est dans le cadre de la cité grecque (la polis) que se développent les premières philosophies politiques, celles de Platon et d’Aristote. Platon, dans La République, reconduit la politique à la justice, celle-ci

considérations: de celui qui a la faculté de participer au pouvoir délibératif ou judiciaire, nous disons qu'il est citoyen de la cité concernée, et nous appelons, en bref, cité l'ensemble de gens de cette sorte quand il est suffisant pour vivre en autarcie. » Aristote, La Politique. C’est dans le cadre de la cité grecque (la polis) que se développent les premières philosophies politiques, celles de Platon et d’Aristote. Platon, dans La République, reconduit la politique à la justice, celle-ci désignant

cité-Etat comprend des citoyens et des régimes d'états/politiques. N.B: La République de Platon se nommer Politéia en grec. Le mot politès est formé sur le mot politesse, son dérivé politikos signifie "celui qui est spécialiste de la politeia". Aristote écrit politika, La Politique. Le mot rhétorique a été crée sur le mot rhètor qui signifie orateur politique, le sens est plus large que notre mot rhéteur. A l'époque Classique, un rhéteur est un orateur politique, à l'époque Hellénistique c'est

Maurice Hauriou : le pouvoir suppose qu’il y est un groupe humain à gouverner. Le pouvoir a un rôle pacificateur quand conflit dans une société. → Donc pas de société sans pouvoir. Robert Dahl : le pouvoir d’une personne A sur une personne B. Selon l’approche politique et juridique le pouvoir est = à la puissance de l’état. Le pouvoir = force au service d’une idée. La force est né de la confiance sociale. L’idée est la recherche du bien commun. Pour les juristes la puissance politique

privé : ensemble des règles qui s’appliquent entre personnes privées donc particuliers  concerne les particuliers Ce sont les grecs les inventeurs de la science politique Politique = dérive d’un mot grec  polis  cité et donc citoyenneté et formes de gouvernement existant Constitution = politeia (grec) L’héritage romain est fondamental en matière juridique, ils ont inventé toute la science juridique, ce sont les premiers à avoir fait du droit une matière savante, ils ont inventé toute une langue du

JURIDIQUE Introduction : Pourquoi étudier le vocabulaire juridique dans la dimension historique ? Ferdinand de Saussure indique que le langage façonne notre manière de percevoir, de concevoir, d’appréhender le monde. Le langage impose des formes et des concepts Pour comprendre des contextes juridiques, nous devons connaître leurs étymologies. Le langage du droit que nous employons vient du latin alors que la pensée du droit est grecque. ü Romain – Ius (=droit) ≠ Fas (=droit divin) ≠

décennies de notre histoire ont été marquées par un approfondissement extraordinairement puissant de ce principe libéral et que ce phénomène se traduit par une mutation non moins décisive de la compréhension de soi citoyenne et, parallèlement, des formes d’intervention militantes. En un mot, disons que nous sommes passés d’un modèle républicain de la citoyenneté – modèle hérité de Rousseau et, à travers lui de l’antiquité gréco-romaine – à un modèle libéral. Disons immédiatement, afin de prévenir

La société Ce qu’il faut retenir - L’homme, animal politique : Pour Aristote, l’homme est un animal politique. Autrement dit, la société ou cité n’est que le développement des dispositions naturelles de l’homme. La famille et le village subviennent à certains besoins de l’homme, mais il n’y a que dans la cité que l’autarcie est atteinte. L’homme, à l’état isolé ne serait qu’un être inachevé, n’ayant pas réalisé ses possibilités. - État de nature et contrat social : Le point de départ de Hobbes