Formulation Homérique

hémistiche * apostrophe emphatique au dieu de l’Amour, mis en évidence par le changement d’énonciation, introduit l’analogie avec la guerre de Troie (mythologie grecque, Iliade d’Homère) : v. 3 « Troie », v. 5 « le Xanthe », v. 9 « Hélène » + épithète homérique v. 9 « Hélène au beau plumage » (cf Achille au pied léger, Ulysse le divin). L v. 5 « Dieux » = Mars ou Vénus, blessés au combat * ampleur de la bataille : - insistance sur sa durée : v. 6 « longtemps » + « se maintint » - la bataille

Rome . L'Occident classique a été Greco-Roman/Celtic/Germanic Europe. Dans la littérature homérique , et jusqu'au moment de Alexandre le Grand , par exemple dans les comptes de l' guerres perses des Grecs contre les Perses par Hérodote , nous voyons le paradigme d'un contraste entre l'Occident et l'Orient. Néanmoins, les Grecs estimaient qu'ils étaient civilisés et se vit (dans la formulation de Aristote ) comme quelque chose entre les sauvages barbares de la plupart de l'Europe et le doux

confie pas ses pensées intimes et ses doutes à son entourage oriental (trop naïf, enfantin, trop différent culturellement). Tout comme un texte poétique, la lettre fait appel à une réflexion sur les mots qu’on utilise : travail de rédaction, de formulation, volonté de traduire fidèlement les nuances, les impressions, les sentiments, les émotions, les doutes, etc. Besoin d’avoir un avis, un retour (chaque lettre aura une réponse). Désir sincère d’expliquer à un occidental son amour de l’orient. Aspect

variété des réécritures plus L E S M O T S D U C E R C L E La réécriture, quelle que soit son amplitude peut toucher des aspects du texte très différents. On réécrit, comme dans un passage de témoin, un mythe, un personnage, une situation, une formulation, voire un style, comme le pratiqua Proust dans ses Pastiches, réécriture d’un fait divers « à la manière » de Balzac ou de Flaubert. On pense par exemple aux réécritures de mythes grecs, passés des récits antiques aux amphithéâtres puis à la scène

conscience du temps, la sensation de l’histoire littéraire. La réécriture, quelle que soit son amplitude peut toucher des aspects du texte très différents. On réécrit, comme dans un passage de témoin, un mythe, un personnage, une situation, une formulation, voire un style, comme le pratiqua Proust dans ses Pastiches, réécriture d’un fait divers « à la manière » de Balzac ou de Flaubert. On pense par exemple aux réécritures de mythes grecs, passés des récits antiques aux amphithéâtres puis à la scène

L’HERITAGE DE LA PENSEE GRECQUE ET LATINEI – Eléments de définition : qu’est-ce que l’Antiquité ? A) Une période historique · Repère temporel et géographique · Grande période rassemblée sous ce nom · Apparition de l’écriture en - 3 000 av. JC à la chute de l’Empire romain en 476 ap. JC · 2 zones géographiques : Grèce et Rome · L’Antiquité se « résume » à ces 2 zones fondamentales comme si le reste n’existait pas = vision occidentale limitée à la culture grecque et latine · L’héritage antique n’est

malchance, échec scolaire, difficultés sociales) et on pourrait organiser un débat sur la légitimité de celle-ci et de ses conséquences. On pourrait ainsi distribuer des rôles (le juge, les parents, l’enfant, un avocat) et initier le groupe à la formulation d’arguments. L’exercice peut être prolongé par la lecture de textes fondateurs : en effet, beaucoup de mythes évoquent une révolte, comme celui de la tisseuse Arachné chez Ovide, où une mortelle tente de défier Athéna de manière légitime, et doit

une « riche queue » (vers 15) ornée de pierres précieuses et le verbe « se panader » (vers14). Langue 6. Dans la fable 2, le Chat est nommé de deux façons (vers 1 et 7). Pourquoi cette différence ? La nuance entre les deux appellations tient à la formulation latinisante de la première (Rodilardus) qui reprend littéralement le nom d’un chat de Rabelais (Le Quart Livre, chap. 67). Pour ses victimes (« la gent misérable »), rien de noble dans ce chat dont le patronyme redevient simplement Rodilard (et

« il est ce qui dégénère, ce qui dégénéralise », c’est-à-dire qu’il oppose sa singularité à la généralité présupposée par la notion de genre. La dernière phrase rompt avec cette approche négative, oblique, indirecte du roman, mais on notera la formulation extrêmement prudente de l’auteur (« vous commencez d’approcher du roman »), qui suggère l’impossibilité de parvenir à une définition assurée, pleinement satisfaisante du genre romanesque. On observera les antithèses opposant les adverbes temporels

une subversion générique : après s'être attaqué à la texture linguistique de la littérature, Maldoror s'attaque au corpus littéraire lui-même et à ses hiérarchies. En haut de la hiérarchie littéraire se trouve l'épopée, dont le modèle est l'épopée homérique. Dans sa démesure, Ducasse déclare s'attaquer à ce genre, dans sa lettre du 23 octobre 1869 à Poulet-Malassis : "J’ai chanté le mal, comme ont fait Miçkiéwicz (sic), Byron, Milton, Southey, A. de Musset, Baudelaire, etc. Naturellement, j’ai un peu