Fraction molaire

FrenaisCoralie HautotEve Hisse | TP CENTRIFUGATION | | | M2 ACEABI | 2012-2013 | | Sommaire Introduction 2 I. Formation d’un gradient continu de saccharose 3 II. Gradient discontinu 8 III. Détermination de la masse molaire d’une molécule 14 IV. Influence du temps de centrifugation sur la formation d'un gradient. 21 V. Influence de la concentration de percoll sur les gradients. 26 Conclusion 30 Bilan : Très bon rapport. Il manque quand même quelques informations

massique est appelée aussi Titre massique.  ­1​ [g.L​ ]​ ...................... (1)   ​   ­1​ 2)­ La concentration molaire (Molarité C​  [mol.L​ ])​  : ​ C’est le rapport de la quantité de  M​ matière ​ (n)​  de X exprimée en mol contenue dans un certain volume ​ (V) ​ de solution divisée  par ce volume ​ (V)​  de solution exprimé en L. La concentration molaire a donc pour unité la  ­1​ mol.L​ . La concentration molaire est souvent également appelée Molarité.  ­1​ [mol.L​ ]​ ...................... (2)    ­1​ 3)­ La concentration normale (Normalité C​

calculer la masse moyenne d’un élément à partir des masses des isotopes et savoir déterminer le pourcentage de chaque isotope si vous connaissez la masse moyenne. 2. Savoir calculer la masse molaire d’une molécule (je vous conseille de calculer deux fois une masse molaire pour être sûr). Les masses molaires doivent être données avec un minimum de 4 chiffres significatifs. 3. Savoir interconvertir les 3 grandeurs suivantes : masse, moles, nombre de molécules ou atomes. 4. Savoir la définition

pour raisons d'esthétique, éliminer la fraction, en multipliant les coefficients par deux: 2 C8 H18 + 25 O2 → 16 CO2 + 18 H2O Extension 1: La masse moléculaire molaire se conserve-t-elle toujours lors d'une réaction chimique ? Nous allons voir qu'oui. Reprenons l'exemple de la combustion de l'Octane: basons nous sur l'équation équilibrée (et donc en tenant compte des coefficients stœchiométriques). • Masse molaire C8H18 : (8x12) + (18x1) = 114g • Masse molaire O2 : 2x16 = 32 g ♦ Masse de réactifs

appelée aussi Titre massique.  ­1​ [g.L​ ]​ ...................... (1)   ​   ­1​ 2)­ La concentration molaire (Molarité C​  [mol.L​ ])​  : ​ C’est le rapport de la quantité de  M​ matière ​ (n)​  de X exprimée en mol contenue dans un certain volume ​ (V) ​ de solution divisée par  ­1​ ce volume ​ (V)​  de solution exprimé en L. La concentration molaire a donc pour unité la mol.L​ .  La concentration molaire est souvent également appelée Molarité.  ­1​ [mol.L​ ]​ ...................... (2)    ­1​ 3)­ La concentration normale (Normalité C​

d’estimer leur grandeur. 10 Le jargon des chimistes z Quelques conventions – – – – – – – symboles des atomes : H, N, Cu… charges ioniques : 2+, 3– en exposant états d'oxydation : (+II), (–I) réaction irréversible : → équilibre : [ ] : concentration molaire [Ag(NH3)2+] composé de coordination [Ag(NH3)2]+ état de la matière (s), (l), (g), (aq) 11 Formulation d’équations chimiques z z dissolution d’un sel – NaCl(s) → Na+(aq) + Cl–(aq) – 2 NaCl(s) → Na+ + Cl– précipitation d’un sel – – z Ba2+(aq)

1 bi  b j 2 ai et bi sont les paramètres des corps purs, i, calculés à l’aide des équations (5) et (6), respectivement. Remarque : xi  Xi Mi n (X i 1 i Mi) Avec : xi, et Xi, sont les fractions molaire et massique du constituant i, Mi, la masse molaire et n le nombre de substances dans le mélange. 3 

pyruvate (et inversement), on suit l'oxydation du lactate absorbant a 340 nm. ensuite d'après la loi de Beer-Lambert, on calcule la concentration du lactate en fonction du temps, A= є . l. C avec a= absorbance (UA) є= coefficient d'extinction molaire (M-1.cm-1) C=concentration (mol-1) plus le taux de lactate diminue plus l'activité enzymatique augmente représentant ainsi l'activité enzymatique de la LDH dans l'essaie . Les deux électrophorèses, servent à tester la qualité de la purification

très petit on préfère utiliser la masse molaire atomique qui correspond bien sur à la masse d'une mole d'atome (soit  fois la masse de l'atome). A l'origine les chimistes ne connaissaient pas la masse réelle des atomes, ils avaient donc défini une échelle relative des masses molaires atomiques en comparant la masse des divers éléments entre eux en ayant choisi comme référence le carbone à qui ils avaient attribué arbitrairement une masse molaire atomique de 12 g. T. BRIERE - ATOMES -

l’absorbance n’est pas supérieure à 1.0. RESULTATS Manque de chronologie dans l’énumération des annexes lors des justifications (ils parlent d’abord de l’annexe 2 avant l’annexe 1). Dans annexe 2 il manque les noms des axes (absorbance et numéro de fraction) et la numérotation des pics (1 a 7). Comme ils pensaient que les plus grosses molécules sortaient en dernier (cf principe), il est logique qu’ils aient trouvé ces résultats pour les pics et leur nom correspondant. Cependant nous avons corrigé ceci