François Coty

démissionne. La raison de sa chute est due à l’absence de majorité à l’Assemblée Nationale, aussi bien pour la poursuite de la guerre d’Algérie que pour la négociation du Front National de Libération (FLN). Le 8 mai, le président de la République, René Coty, demande à Pierre Pflimlin d’être son 1er ministre et de constituer un Gouvernement. Le 13 mai, des émeutiers prennent d’assaut le Gouvernement général à Alger : putsch local. L’armée française postée en Algérie est défavorable alors à ce mouvement

caution ni à l'armée ni à quiconque. Cependant, le Général refuse la première exigence des opposants à son retour, notamment François Mitterrand, qui est de désavouer officiellement les Comités de Défense de la République, composés de civils et de militaires et constitués dans toute la France pour favoriser sa prise de pouvoir. Le 29 mai, le président de la République, René Coty, fait appel « au plus illustre des Français ». L'Assemblée Nationale, en majorité de Gauche, et opposée au Général, vote alors

pouvoir dans de telles circonstances. C'est le cas du Parti Communiste, de Pierre Mendès France ou de François Mitterrand[4]. Le président René Coty[5] pense que la situation impose le recours au général de Gaulle ; celui-ci n'envisage son retour au pouvoir que dans la perspective d'une modification des institutions. Le 28 mai, le gouvernement Pflimlin démissionne et le président de la République René Coty demande à Charles de Gaulle de former son gouvernement. Il est investi par l'Assemblée à la présidence

(ex-RPF). Percée et montée du poujadisme avec l'entrée de ce mouvement au Parlement. Jean-Marie Le Pen, élu sous étiquette poujadiste, entre à l'Assemblée nationale comme le plus jeune député. 24 janvier : fin du gouvernement Edgar Faure (2). René Coty propose à Mendès France de former un nouveau gouvernement. Celui-ci refuse et propose Guy Mollet, secrétaire général de la SFIO. 25 janvier : sortie de la Dauphine par Renault. Février[modifier | modifier le code] Du 1er au 28 février : vague de

modernisation de la vie politique menée par Pierre Mendès France, l'aggravation du conflit en Algérie entraîne le retour du général de Gaulle et la chute de la IVe République. Le 1er juin 1958, répondant à l'appel du président de la République René Coty, le général de Gaulle est investi à la présidence du Conseil par l'Assemblée. Il sera le dernier président du Conseil de la IVe République. Il obtient en effet de l'Assemblée, les pleins pouvoirs pour rédiger une nouvelle constitution, afin de remplacer

ne maitrise plus l’armée. « l’URSS + pays socialistes + pays tiers monde (Libye, Egypte..) dénoncent colonialisme français et crimes) Conséquence : chute du gouvernement de Félix Gaillard le 15 avril 1958. L’initiative revient au président René Coty Mai 1958 est désigne le centriste Pierre Pflimlin nouveau président du conseil. 13 mai 1958 : Pflimlin sollicite la confiance de l’assemblée nationale et obtient 274 voies pour et 129 contres mais cette investiture provoque le même jour la révolte

l'Armée : avec le Commandant Massu en Algérie. → Hors la loi. → L'insurrection d'Algérie se propage : des élus se réclament de ce comité (Corse...) → Le 15 Mai : De Gaulle se tient "prêt à assurer les pleins pouvoirs de la République". → Renée Coty et Pierre Pflimlin veulent mettre fin à la crise qui débuta avec le putsch d'Alger. - Mais Pflimlin démissionne le 28 Mai (car il ne peut pas faire face à la crise). - Le Général de Gaulle est élu le 29 mais 1958 : ° Il devient le dernier Président

La chute du gouvernement du radical Félix Gaillard provient de l’absence de majorité aussi bien pour la poursuite de la guerre que pour la négociation avec le front de libération nationale algérien. Le 8 mai 1958, Le président de la République René Coty demande à Pierre Pflimlin de constituer un gouvernement. Mais le 13 mai de la même année, des émeutiers prennent d’assaut le gouvernement général Alger et l’armée d’Algérie est favorable au mouvement qui aboutie à la constitution de comité de Salut

1958 provoquant le retour du Général De Gaulle "aux affaires". • Le 29 mai 1958 le Général de Gaulle apparaissant comme "l'homme providentiel", en mesure de sauver les institutions républicaines est pressenti par le Président de la République René Coty va être investi par le parlement comme chef du gouvernement. L’identification entre le personnage de De Gaulle et une page glorieuse d’histoire était immédiate et suffisait à investir le candidat d’une exceptionnelle aura. Le spectre de la guerre

pouvoir de l’Elysée vers Matignon. Dans cette situation, le président de la République n’est plus l’homme fort du régime mais c’est le premier ministre. La Cinquième République a été très contestée dans ses débuts (exemple : Pierre Mendès France et François Mitterrand), malgré tout on reconnaît aujourd’hui qu’elle a su s’adapter à différentes situations notamment l’alternance en 1981 (arrivée de la gauche au pouvoir avec Mitterrand). Elle va connaître différentes cohabitations : 2 sous Mitterrand en