Freud Descartes Liberté

du malin génie de Descartes, une tromperie dont il n'a pas d'issue. L'enjeu, pour la connaissance et la responsabilité que chacun a de sa propre personne, est de nous condamner à la vanité et à l'illusion La connaissance et la maitrise de soi Dénoncer l'illusion L'illusion ou se prendre pour un autre Les moyens pour se connaître soi-même On s'illusionne soi même mais on ne peut pas être un autre soi-même La responsabilité de nos actions Les autres, obstacles à notre liberté Nos pulsions inconscientes

notion abstraite, permettant l'apport de la connaissance de soi. Ces deux notions sont donc parallelement nouées, et la conscience d'être résulte de ce lien. Cette conscience d'être est définie par la conscience d'être ce que l'on est. Cependant, Freud, et ses théories de la psychanalise, affirmaient que notre conscience est manipulée, brimée par l'apparition d'une ombre, inexplorée, que l'on nomme l'inconscient. Ce dilemme, et cette opposition d'idée, nous invite à réflechir, et à se questionner

du passé psychanalyse n'a aches qu'a l'inconscient qu'a travers signes : Anna O └>impossibilité d'élaborer des lois universel on ne peut pas systématiser les conduites humaines et l'H en équat° car H singulier, doué de conscience et donc de liberté → imprévisible sciences humaines =sciences inexacte mais dégage vérité générale dont objectivité est réel m^ si ≠ objectivité quantitative des sciences de la matière ex:expérience de Milgram soumission a l'autorité => existe objectivité/vérité

SÉRIE S S U J E T Prendre conscience de soi est-ce devenir étranger à soi ? C O R ■ Éléments NOTIONS EN R I G É d’analyse JEU La conscience ; l’inconscient ; autrui ; l’existence et le temps ; la liberté. REMARQUES ET DIFFICULTÉS m Il faut bien faire attention à ne pas confondre la conscience de soi avec la connaissance de soi. La conscience se présente d’abord comme quelque chose de subjectif, une intuition, un sentiment qui à ce titre

donc si la prise de conscience, est elle libératrice? Si elle peut nous libérer de notre destin tout tracé, dans le cas d'Œdipe, est-ce que cela l'a bien libéré…? La conscience réfléchie est elle libératrice, et si y'a liberté par rapport au spontané, à l'immédiat? Mais la liberté par rapport au spontané, à l'immédiat, induit elle la non-existence? Prendre conscience, est-ce une libération ? La conscience, c'est quoi ? Dans son sens étymologique, cela veut dire, accompagné de savoir du latin

de liberté humaine, qu'il est facile de suivre grâce au nombreux connecteurs logiques que le philosophe fournit au lecteur. Hobbes démontre le liens qu'il voit entre la volonté de Dieu et la liberté humaine. Cette question est vraiment intéressante pour Hobbes le rapport entre la liberté humaine et Dieu est flagrante. Pour un auteur du XX ème siècle ou un auteur contemporain la question de la liberté humaine se posera différemment sans l'évocation obligatoire de Dieu. Pour Hobbes, Liberté et nécessité

«l’inconscient». Le mot a un poids sémantique plus fort en devenant un nom. Les analyses de Freud présentent l’inconscient comme une dimension présente en permanence dans toute vie humaine. Il s’agit d’un ensemble de phénomènes regroupés sous le nom de pulsions qui prennent leur origine dans notre nature physique mais se manifestent dans la vie de l’esprit et dans la société. Plus exactement, Freud refuse de séparer l’esprit du corps et considère que nous sommes indissociablement des êtres

naturelle de David HUME : dialogue entre le croyant, le représentant de la théologie rationnelle et le sceptique). Ex : Descartes dans les Méditations métaphysique nous propose 3 démonstrations de l'existence de dieu. L'argument ontologique : ontos (l'être), logos (discours, réflexion) → A partir de l'idée d'un être parfait, consiste à déduire l'existence d'un tel être. Projet de Descartes : établir une 1ere vérité irrenversable : il pratique le doute méthodique et hyperbolique pour réussir : il va se

et souffrance comme étant incompatibles ? Première partie L’action comme dérivatif à la souffrance (ce sont ceux qui agissent qui trouvent le moyen de ne pas souffrir) 1) Opposition action/passion. Pathos : souffrir mais aussi subir. Cf. Descartes : caractère opposé de l’action et de la passion. Celui qui subit n’agit pas ; celui qui agit ne souffre pas. 2) La souffrance est donc réservée à ceux qui ne parviennent pas à passer à l’action. L’angoisse comme souffrance de l’impuissance

malin génie de Descartes, une tromperie dont il n’a pas d’issue. L’enjeu, pour la connaissance et la responsabilité que chacun a de sa propre personne, est de nous condamner à la vanité et à l’illusion La connaissance et la maitrise de soi Dénoncer l’illusion L’illusion ou se prendre pour un autre Les moyens pour se connaître soi-même On s’illusionne soi même mais on ne peut pas être un autre soi-même La responsabilité de nos actions Les autres, obstacles à notre liberté Nos pulsions