Freud Et La Maitrise De Soi

«Sur les transpositions des pulsions plus particulièrement dans l’érotisme anal » De Freud in La vie Sexuelle, 1917 Freud lors de ses expériences analytique, découvre une phase du développement de la libido antérieure à celle du primat génitale : il s’agit d’une organisation prégénitale composée du stade oral, du stade sadique-anal et du stade phallique. Dans ce texte, Freud s’intéresse au devenir des pulsions partielles rencontrées lors du stade anal lorsque la libido du sujet s’organise autours

Le SURMOI Avec l’article « Deuil et Mélancolie » publié en 1917, Freud apporte des modifications importantes au concept de moi, et notamment l’idée d’une différenciation fonctionnelle qui s’opère à partir du moi : une partie du moi, instance d’ordre moral, s’installe dans une position critique vis-à-vis de la partie restante du moi. Cette différenciation, déjà esquissée dans le texte sur le narcissisme, constitue la première de ce qui deviendra l’idéal du moi, puis le surmoi. Définition : Instance

graves ne seraient-elles pas celles que l’homme peut avoir sur lui-même ? Le relevé des illusions est impressionnant outre que, si l’on en croit Freud, l’inconscient n’en finit pas de nous égarer sur ce que nous sommes intérieurement, il faut aussi tenir compte d’illusions plus générales, concernant nos capacités de connaissance ou notre pouvoir de maîtriser le monde ou la nature. Sans doute la critique de la connaissance peut-elle déraciner certaines de ces illusions, mais elles risquent de se reformer

Somme nous les esclave de notre inconscient ? La psychanalyse met en évidence l'existence d'un psychisme inconscient. Selon Freud, l’appareil psychique est composé de trois instances, qui sont le Moi, le Surmoi et le Ça. Le Moi représente la conscience, tout ce qui est accessible. Le Ça correspond à ce que l'on ne peut pas connaître donc l'inconscient et enfin le Surmoi constitue tout ce qui n'est pas conscient mais qui peut le devenir. Il y a ici en quelque sorte un encadrement du Moi par le

Notion de Freud : qu’est ce que la civilisation ? Descartes = c’est le maitre de la nature => progrès des techniques La civilisation = maitrise technique et morales de mes pulsions Civilisation = maitrise de la nature et maitrise des hommes par la Justice Freud: perse ne nourrit l’illusion que la nature soit un jour totalement dompté Finalement la question de F : comment les hommes peuvent ils maitriser ce que dans la nature échappe a leurs forces ? Comment maitriser ce qui ne

spécifique qui engage l’interprétation transféro contre- transférentiel. C’est aussi une théorie qui engage plusieurs courants de pensées, plusieurs écoles psychanalytiques. •La psychanalyse a pour objet d’étude les processus psychiques. Donc pour Freud, la psychologie clinique à partie lié avec la psychanalyse. Mais il distingue psychologie traditionnel avec psychologie des profondeurs (champ des phénomènes inconscients) élabore donc une métapsychologie avec ses perspectives dynamiques, topiques

peut être arbitraire, pas un gouvernement. Il y a l'idée d'une maîtrise. Le gouvernement est une domination mais qui peut être le fait des gouvernés eux-mêmes, c'est le cas dans une démocratie. Un roi impose sa loi, un gouvernement dirige selon des lois. Il y a donc des différences. Revenons maintenant à la conscience. Le présupposé du sujet serait que la conscience a tout pouvoir mais qu'elle n'assure aucune direction, aucune maîtrise. Il y a là contradiction, ou paradoxe. La conscience serait comme

interpellent dans la mesure où la raison humaine n’est pas capable d’orienter nos actes. La maîtrise que l’on a sur ce que l’on fait ou dit n’est pas aussi complète/ totale qu’on le voudrait. Chacun peut perdre le contrôle de ses actes. Le comportement humain ne se ramène pas qu’à des choses conscientes. 1. Les fondements théoriques : les déterminismes inconscients. 1.1. La psychanalyse freudienne. Freud a suivit une formation en médecine et devient docteur en 1881. Issu d’une famille modeste

PRESENTATION Ce livre de E. Enriquez est fascinant. D’abord, par sa rigueur, car il développe sa problématique en gardant fidèlement le fil de l’argumentation. E. Enriquez présente une lecture de quelques uns des principaux ouvrages de Freud. Il les médite. Il répond à certaines des critiques dont l’œuvre freudienne a été l’objet. Il montre quels sont les concepts qui, à son sens, reflètent les principales préoccupations de l’inventeur de la psychanalyse. Car ces concepts fondent la pensée

les théories élaborées par Freud à partir de son expérience thérapeutique que se trouve bouleversée la conception classique de l’homme. Malgré les réserves formulées notamment par Nietzsche, la philosophie, au début du XXe siècle, continue à admettre qu’il existe dans le sujet humain une capacité de connaître et de contrôler ses pensées et émotions, ses actes et son langage. Cette capacité se trouve radicalement contestée par l’existence d’un inconscient qui, selon Freud, occupe les neuf-dixièmes