Freud Lapsus

dis « je » , étant donné que notre conscience de soi n'est peut-être qu'illusion? Le fait que je pense n'implique donc pas nécessairement que je sois à l'origine de ces pensées. L'exemple de cet absence de contrôle sur nos paroles peut être le lapsus , où Freud voit une émergence de désirs inconscients. Peut on être sur que j'ai choisi de penser à ce que je pense et que j'ai choisi de dire ce que je dis, ou doit on dire comme Nietzsche le soutien dans Par delà le bien et le mal, « ça pense » au lieu

à la connaissance de soi. Un sujet dépressif ou névrosé peut faire appel à ce soin pour résoudre ses problèmes psychologiques. Freud a développé l'étude des rêve par l'hypnose car il considérait que le rêve a une signification qui est à interpréter, il est un symptôme névrotique à part entière. Il traitait ainsi les femmes hystériques. Les actes manqués comme les lapsus sont la preuve de l'existence de l'Inconscient. Prendre soin de soi revient à explorer l'Inconscient. En conclusion l'homme

conscience : «Qu’est-ce que la conscience ? Vous pensez bien que je ne vais pas définir une chose aussi concrète, aussi présente à l’expérience de chacun de nous.» = saisie intuitive. Mémoire + choix : elle est fondamentalement intentionnalité. Freud, la psychanalyse, l’inconscient L’appareil psychique est comparable à un iceberg : sa plus grande partie est inconsciente. Topique des 3 lieux : Censure Refoulement Actualisation du souvenir Refouler : chasser des désirs du système préconscient-conscient

ignorance désire savoir, ici l'homme peut dire: Je sais que j'ai conscience que je désir. Tout comme Freud le dit, l'homme ne cherche pas forcément a accomplir tous ces désirs, il refoule donc une partie de ceux-ci. L'accomplissement de tous ces désirs mènerait selon Freud à la souffrance, au malheur, donc l'homme se satisfait du bonheur qu'il à avec ses désirs accomplis. Selon la thèse de Freud, en refoulant une partie de nos désirs, on a de fait conscience que l'on désir, car sinon on ne pourrait

comportements inconscients, certaines pulsions refoulées, des handicaps majeurs, ou encore des dépendances psychiques, c’est-à-dire toutes les manifestations de l’inconscient peuvent nous être à la source de certains choix. Tout d’abord, et d’après Freud, "le psychique en toi ne coïncide pas avec ceux dont tu es conscient". Il y aurait donc en nous, des désirs, des représentations ou encore, des intentions dont nous ne sommes pas conscients. Or, si nous n’avons pas conscience de tout, nous ne pouvons

PH II3, Je suis ce "moi" qui "n’est pas maître dans sa propre maison" – penser avec Freud" (1856-1939 médecin autrichien et inventeur de la psychanalyse) A, La nécessité de l’hypothèse de l’inconscient FREUD refuse l’identification de la pensée à la pensée consciente (identification d’inspiration cartésienne ou des philosophies dites "du sujet" comme celles de SARTRE) ; il s’agit de cesser de surestimer la conscience, en reconnaissant dans l’inconscient le fond de toute vie psychique :

Sigmund FREUD (1904) Cinq leçons de psychanalyse (Cinq leçons prononcées en 1904) Traduction de l’Allemand par Yves Le Lay, 1921. Un document produit en version numérique par Gemma Paquet, bénévole, professeure à la retraite du Cégep de Chicoutimi Courriel: mgpaquet@videotron.ca dans le cadre de la collection: "Les classiques des sciences sociales" fondée dirigée par Jean-Marie Tremblay, professeur de sociologie au Cégep de Chicoutimi Site web: http://www.uqac.uquebec.ca/zone30/Classiques_des_sciences_sociales/index

Biographie : Sigmund Freud est né le 6 mai 1856 à Freiberg en Moravie ( République Tchéque actuellement) . Issu d’une famille juive, il est contraint de se réfugier à Vienne en 1860 à cause de l’antisémitisme. Il se dirige vers des études médicales et se spécialise en physiologie, neurologie et neuropathologie. Il est diplômé de médecine en 1881 et veut s’installer en libéral en tant que psychiatre car la recherche lui est interdite ( pourquoi à votre avis ? juif ). Il effectue un séjour à Paris

inconscients, et ne deviennent accessibles et subordonnés au moi que par une perception incomplète et incertaine, équivalent à affirmer que le moi n'est pas maître dans sa propre maison. » Le texte que l’on se propose d’étudier a été écrit par Sigmund Freud, médecin ayant fondé la psychanalyse : il va être amené à concevoir que bon nombre de maladies, mais aussi d’actes quotidiens, s’expliquent seulement si l’on admet l’hypothèse de l’inconscient. A ce titre, il s’est interrogé sur ce qui est à l’origine

active, l'autre subie — reste distinct. L'analyste se définit de cette expérience. Les formations de l'in­ conscient, comme je les appelle, démontrent leur structure d'être déchiffrables. Freud distingue la spécificité du groupe : rêves, lapsus et mots d'esprit, du mode, le même dont il opère avec eux. Sans doute Freud s'arrête-t-il quand il a découvert le sens sexuel de la structure. Ce dont dans son œuvre on ne trouve que soupçon, il est vrai formulé,c 'est que du sexe le test ne tient qu'au fait du