Freud Le Déterminisme

Selon beaucoup de philosophes, comme par exemple Sigmund Freud, père de la psychanalyse, la part inconsciente d’un sujet pensant est bien pus grande que sa part consciente. Cet état de fait pose un problème majeur et à la philosophie et à la société. En effet, un individu inconscient de ses actes peut donc nier qu’il en est responsable, puisqu’il ne sait même pas qu’il les a commis. En ce cas, il est important de savoir si, pour un individu, l’inconscience de quelque chose est une condition suffisante

Cinq leçons sur la psychanalyse ( 1909) de Sigmund Freud petite bibliothèque Payot 1ère leçon : Le Dr Joseph Breuer traita en 1880 une jeune fille hystérique de 21 ans. Constat : Elle manisfestait depuis 2 ans des troubles physiques et mentaux tels que la contracture des membres du côté droit ou du côté gauche, troubles des mouvements des yeux, perturbation de la capacité visuelle, difficulté à tenir la tête droite, toux nerveuse intense, dégoût de toute nourriture, impossibilité de

sociologie est initialement influencée par la pensée marxiste (matérialisme historique) ; elle met en évidence principalement le contexte socio-économique[37] et cherche à lier l’évolution artistique aux luttes et classes sociales. S’opposant au déterminisme marxiste se met ultérieurement en place des approches distincte de l'étude des contextes sociaux de l'art, plus attentives aux mécanismes internes du « monde de l'art » : une étude de l’inscription contextuelle des œuvres dans le milieu culturel

suis réellement b) L'exemple de la liberté le montre bien : je peux me croire libre de toute influence dans mes décisions, alors que des déterminismes ou des causes ignorés pèsent sur moi (cf. critique spinoziste du libre arbitre). c) Ma réelle personnalité, ou ce que je suis capable de faire en toute circonstance, reste alors inconnue (cf. analyse de Freud sur les pulsions inconscientes). Transition : Si l'on ne se connaît jamais, ne peut-on pas se dédouaner de toute responsabilité à l'égard

l’humain fait des choix mais n’est-il pas illusoire de croire que l’homme peut être libre seulement parce qu’il le veut? C’est pour quoi, la volonté de l’homme est très sollicitée par celui-ci, mais la réel liberté n’est pas vraiment possible par le déterminisme et par la convention sociale. Enfin, la vraie liberté est faite par le fait de respecter la loi. On ne peut pas ne pas dire que l’homme n’est pas libre, au sens ou l’homme a tendance à faire ce qu’il veut. L’homme a une volonté très forte

psychanalyse) lorsqu'elles expriment la création artistique par des déterminismes sociaux ou affectifs arrivent bien à définir la création artistique ; mais, elles nous privent de notre liberté de jugement subjectif, puisque tout est objectivement déterminé. L'oeuvre devient le rapport, le compte-rendu de ce qui l'a déterminé ; et non plus l'expression d'une subjectivité. Si la création révèle des pulsions, par exemple, comme Freud l'affirme, dans quelles conditions peut-elle Ítre l'objet d'une reconnaissance

il y existe plusieurs conceptions du destin. Dans les sciences naturelles, l'univers physique est considéré comme soumis à des lois qu'il est possible d'expliciter afin de prévoir le devenir des phénomènes; Cette doctrine, qui est appelée le déterminisme, peut faire deux hypothèses générales: soit celle pessimiste d'un mouvement général de dégradation de l'information (entropie) aboutissant progressivement au chaos, soit au contraire l'hypothèse optimiste d'un long processus d'organisation du chaos

Certaines civilisations ont élaborer des théories sur le rêve en cherchant à l’expliquer. Bien sur nous ne passerons pas en revue toutes les civilisation ainsi que toutes les théories avancées sur celui-ci mais seulement les grands traits : Celles de Freud et de Jung.1) une rapide présentation des civilisations et leurs traduction du rêve Dans l’Antiquité, le rêve est lié à la religion. Ce dernier es perçu comme une prémonition envoyé par un ou des Dieu. . Dans l’Antiquité grecque, Artémidore d’Ephèse

écrit pour guider les hommes, ainsi l’homme est délaissé dans le sens ou il ne trouve pas en dieu ni en autrui la possibilité de s’accrocher. De plus, pour l’homme l’existence précède l’essence, c’est-à-dire qu’il n’y a pas de nature humaine ni de déterminisme et l’homme est totalement libre. Il ne trouve pas non plus en lui-même d’indices pour le guider avant d’agir. L’homme est délaissé. Désespoir ? On ne peut compter que sur deux choses : Ce qui dépend de mon action et les probabilités. Je ne

progression. Les experiences traumatisantes, dont parle Freud, sont justement des experiences de ce genre. Elle ne rentrent pas dans la ligne continue du rapport du passé au présent. Au contraire elles produisent comme un blocage. Un passé qui ne se passe pas. Un passé qui ne se dépasse pas, et qui ainsi demeure présent. Cette présence du passé qui ne se pas, c'est bien une manière qu'a le passé d'enfermer le présent. Anna O, par exemple, la patiente de Freud, souffre de troublesz de la mobilité oculaire (elle