Freud Métapsychologie Plan

Plan •Biographie du sujet...................................................................II •Exposition du cas....................................................................III •Première hypothèse, la schizophrénie..............................................IV •Deuxième hypothèse, la névrose obsessionnelle...................................VII •Troisième hypothèse, approche DSMV............................................XI •Quatrième hypothèse

l’homme. HOBBES, Léviathan : « l’homme est un loup pour l’homme. » - Il existe chez l’homme un inconscient psychique qui détermine sa vie consciente et le pousse à agir de manière instinctive ou irrationnelle comme les autres animaux. Sigmund FREUD, Malaise dans la civilisation (1929) : « l'homme n'est point cet être débonnaire, au cœur assoiffé d'amour, dont on dit qu'il se défend quand on l'attaque, mais un être, au contraire, qui doit porter au compte de ses données instinctives une bonne

I. Introduction 1. Pourquoi Théories psychanalytiques au pluriel : • Plusieurs théoriciens ont apporté leur pierre à la psychanalyse • On verra surtout la théorie fondatrice : celle de Freud • C’est lui qui à théorisé la question de l’inconscient • La psychanalyse se fonde sur l’idée de l’existence de l’inconscient • Psychanalyse c’est la science de l’inconscient 2. Comment s’organise et se différencie la psychologie, la psychologie clinique et la psychanalyse :

........................................................................ 8 2.2.1 – Le deuil dans le cadre psychanalytique ............................................................................................. 8 - Deuil et Mélancolie, selon Freud .............................................................................................................. 9 - La théorie de Mélanie Klein ........................................................................................................

univ_aixmarseille1 - - 147.94.113.32 - 07/05/2011 12h44. © P.U.F. Dans le champ de la pensée psychanalytique, la question du pouvoir est toujours associée à celle de la perversion1. Celle-ci renvoie, comme la névrose et la psychose, à une métapsychologie conséquente, mais reste toujours associée peu ou prou à un jugement. Or le jugement en cause n’est pas tant moral que « psychanalytique » : en quoi un jugement psychanalytique peut-il bien consister ? En un point de vue de psychanalyste sur le

découvrir les principes et d’étudier le cas clinique, Fritz Zorn, nous allons tout d’abord faire un repérage historique, puis dans une première partie nous nous intéresseront à la pensée de la psychanalyse dans les phénomènes psychosomatiques à travers Freud et Lacan. Puis nous étudierons les particularités et les spécificités des phénomènes psychosomatiques. Enfin, nous pourrons illustrer tous ces faits théoriques grâce au manuscrit exceptionnel que nous a laissé Fritz Zorn et à la relation qu’il a établi

tel-00690335, version 1 - 23 Apr 2012 RÉSUMÉ tel-00690335, version 1 - 23 Apr 2012 Pour Freud et Lacan, la psychose n'est pas un état déficitaire. Le texte de Schreber demeure un traité paradigmatique, aujourd'hui encore inégalé. Le délire paranoïaque est une tentative de guérison pour le premier. Un essai de rigueur pour le second. Reste la question épineuse du transfert psychotique. Freud ne croit pas le psychotique capable de transfert analytique, Lacan pense au début que le transfert

son sillage, elle est bien sûr présente bien avant les travaux d’Anzieu dans la conceptuologie psychanalytique. Si on revient à Freud, on peut dire qu’elle est présente dès le début des textes psychanalytiques. Dès 1895, dans l’Esquisse, par exemple, est présente l’idée de limites du moi, d’un dedans et d’un dehors du moi. On se souvient que dans « Le moi et le ça » Freud parlera du moi comme d’une entité correspondant à la projection d’une surface. Paul Federn avait étudié les « frontières du moi

    16 CHAPITRE 2 : LE CHAMP CLINIQUE DE L’INCONSCIENT 2.1. Introduction La psychanalyse ne doit pas être confondue avec la psychologie clinique. Il s’agit de deux disciplines différentes. Néanmoins leurs rapports apparaissent complexes. Sur le plan historique, l’invention de la psychanalyse est à l’origine de nombreuses ruptures épistémologiques qui ont contribuées à l’avènement aussi bien de la psychopathologie que de la psychologie clinique contemporaines. Ces deux sous-disciplines de la psychologie

linéaire : il ne suffit pas de stimuler l’individu de façon extrême pour avoir une réponse. Plan méthode : peut-on tout étudier via l’observation directe ? (exemple : pas d’auto- questionnaire, au détriment de l’observation directe)→interroger sa propre subjectivité́ n’est pas une approche utilisée par les béhavioristes, ils préfèrent l’observation objective. • Psychanalyse : Fondateur : Sigmund FREUD (1856-1939), neurologue autrichien. →Prend le contre-pied du béhaviorisme : le comportement