Freud Pourquoi La Guerre

Université de Versailles Saint Quentin en Yvelines - 2010/2011 Introduc)on  :  D'une  Guerre  à  l'autre. •  L'Europe  :  idée  différente  selon  les  époques  :  Napoléon  (XIXème),  Nazisme  (premier  XXème)  et   l'Europe  nouvelle  (deuxième  XXème)  par  exemple.   •  Qui  a  mis  en  place  ces  ins)tu)ons  ??  Trois  grandes  figures  dans  80s-­‐90s  :   -­‐

Introduc)on : D'une Guerre à l'autre. • L'Europe : idée différente selon les époques : Napoléon (XIXème), Nazisme (premier XXème) et l'Europe nouvelle (deuxième XXème) par exemple. • Qui a mis en place ces ins)tu)ons ?? Trois grandes figures dans 80s--‐90s : --‐ F. Mi3errand (France) --‐ H. Kohl (Allemagne) --‐ J. Major (U--‐K) Mais également des personnalités intellectuelles issus de divers milieux (liSérature, économie, poli)que etc.). • L'Europe en 1945 : --‐ prochainement divisée (Est/Ouest)

de conservation (Spinoza) B.4. La volonté de puissance (Nietzsche) B.5. Le désir d'éternité (Platon) C. Le désir de mort C.1. La structure kamikaze du désir C.2. L'agressivité introjectée (Nietzsche) C.3. La nature conservatrice des pulsions (Freud) C.4. Le plaisir de se perdre D. L'indétermination du désir II. Le désir de l'autre A. Le désir mimétique (Spinoza) B. La structure triangulaire du désir (René Girard) C. Le désir du désir de l'autre (Hegel) III. Le désir est-il manque ou excès 

interculturelle et Psychothérapie Psychologie Fondamentale Abrégé de Psychanalyse – Chapitre 1 à 3 I - INTRODUCTION L' Abrégé de psychanalyse, écrit en 1938, a été la dernière œuvre de Freud qui d'ailleurs resta inachevée à cause de sa mort, le 23 septembre 1939. On retrouve dans cet ouvrage la volonté de Freud qui, très affaibli, souhaitait faire une mise au point et une synthèse de son œuvre avant de mourir. Tel fut le cas de nombre d'ouvrages à partir de 1923, date de sa seconde topique, où

(Spinoza) 6 4. Tout est volonté de puissance (Nietzsche) 6 5. Le désir d’immortalité et d’éternité (Platon) 6 C. La mort 7 1. La structure kamikaze du désir 7 2. L’agressivité introjectée (Nietzsche) 8 3. La nature conservatrice des pulsions (Freud) 8 4. Le plaisir de se perdre 8 Conclusion : l’indétermination du désir 9 II. Le désir de l’autre 10 A. Le désir mimétique (Spinoza) 10 B. Le désir triangulaire (René Girard) 11 C. Le désir du désir de l’autre (Hegel) 12 III. Le désir est-il

sensible qui leur corresponde. » Un signe linguistique, contrairement à un symbole, est extérieur à l’idée qu’il exprime. Quand on entend un mot qu’on ne connaît pas, il est impossible de savoir ce qu’il signifie, à quelle pensée il renvoie. Voilà pourquoi il faut apprendre par cœur une langue étrangère. Les sonorités du mot « liberté », par exemple, n’ont aucun rapport avec l’idée de liberté, pas plus que les sonorités des mots « Freiheit », « freedom », « libertas », « libertad », « libertá ». En

La guerre est un conflit armé opposant au moins deux groupes militaires organisés réguliers1. Elle se traduit ainsi par des combats armés, plus ou moins dévastateurs et implique directement ou indirectement des tiers. Elle qualifie donc tous les conflits, qui ont pour principales caractéristiques, la force physique, les armes, latactique, la stratégie ou la mort de certains de ses participants (soldats, résistants, Franc-tireur etc.) ou de tiers (civils, employés et membres des associations d'aide

immatérielle et distincte du corps 3. Dieu existe * * Conclusion du discours et caractéristiques de la révolution cartésienne * * 1ère : Nécessité du doute et de la méthode (retour scepticisme) * Ne peut douter * * Pourquoi existent le doute et la méthode? * Pour pouvoir trouver la vérité * Scepticisme => ne peut déterminer la vérité humaine avec certitude * * 2ème : Fondation du rationalisme moderne * * Rationalisme : Doctrine qui soutient

comme les blancs qui ont détruit mon village, ont abusé de nos femmes et tué mes amis et nos frères. Nul chez moi ne sait d’où vous venez, mais nous sommes maintenant persuadés que ce n’est pas du ciel. Vous m’avez amené sur vos terres lointaines, pourquoi ? Pour pouvoir mieux éventrer mon enfant ? Comme vous savez si bien le faire ! Je ne vous laisserai pas faire une telle chose ! Prenez moi, prenez ma vie, elle n’a plus de sens sans ma famille ; et depuis que vous nous êtes apparus au loin sur vos

peut-être des intelligences sans humour, mais il n’y a pas d’humour sans intelligence. Qu’est-ce qui fait rire et pourquoi rit-on ? Le rire, c’est une décharge, « émanation, explosion » dit Baudelaire, provoquée par la différence entre ce qu’on attendait et ce qu’il advient. Le risible provient d’une contradiction, d’une incongruité soudainement observée. C’est un différentiel. C’est pourquoi, lorsqu’on raconte « une blague », la chute, c’est à dire la manière dont on termine, est particulièrement importante