Friedman Anticipation Rationnelle

sur la Y et l’emploi, elle est neutre au regard de l’activité réelle, elle n’est qu’un voile. Friedman a la fin des 50s : la monnaie est neutre à long terme. A court T les variations de la masse monétaire peuvent avoir conséquences sur la Y et l’emploi mais pas a LT. L’argument de Friedman est celui de la critique de la courbe de Philips (idée qu’en acceptant l’inflation on réduit le chômage), pour Friedman, la relation inverse entre inflation et chômage n’est valable qu’a CT. On augmente la masse

neutre pour les auteurs « classiques » ................................................................. 53 3.2.2 La monnaie est « active » pour Keynes ......................................................................................... 54 3.2.3 Friedman et la vision monétariste .................................................................................................. 55 3.3 LE PROCESSUS DE CREATION MONETAIRE................................................................................

la recherche économétrique moderne . Jusqu'à la fin des années 70 l'économétrie va étudier la spécification et la solvabilité de modèles macroéconomiques à équations simultanées . Puis à la suite de ce que l'on a appelé la révolution des anticipations rationnelles et de la critique de Lucas, la recherche se tournera davantage vers la microéconomie et l'analyse des séries temporelles . Les modèles économétriques d'équations simultanées La plus grande partie de la recherche économétrique américaine

décisions de millions d’individus poursuivant chacun leur intérêt propre n’engendre pas du désordre ? (Comment fonctionne la main invisible de SMITH ? :-) Le marché est le lieu ou se résous ce problème. Vont se rencontrer sur ce marché des agents rationnels. L’interaction de l’O et de la D permettent de déterminer les prix et quantité d’équilibre. La quantité demandée de chaque bien et service va être déterminée par pleins de choses. 3.2 Les propriétés de l’équilibre général. 3.2.1 L’équilibre Walrassien

courant monétaristes est divisé en 2 sous courants : Le premier est celui du fondateur (Milton Friedman), et le deuxième est celui des néo monétaristes, ou les économistes des anticipations rationnelles. a. La demande des B&S dépend du revenu permanent. b. La monnaie est active à court terme et neutre à long terme (Friedman). c. La monnaie est toujours neutre (les disciples de Friedman). a. Keynes évoquait toujours le revenu courant. Les monétaristes s’intéressent au revenu

chômage. Cette interprétation va être remis en cause par les monétaristes et en particulier par Friedman qui ni l’existence d’un arbitrage à long terme entre inflation et chômage. L’inflation entraine dune baisse du salaire réel et donc a court terme. Pour F. les agents sont victimes de l’illusion monétaire car ils ont des anticipations adaptatives. Ils supposent qui il y a une asymétrie entre les salariés et les entreprises. Lorsque le gouvernement

l’offre = choc d’offre négatif Les cinq principaux facteurs qui peuvent déplacer la courbe d’offre sont :- Le chgmt des prix des inputs- Les évolutions technologiques- Les chgmts de prix d’autres biens et services vendus par les producteurs- Les anticipations concernant les prix futurs du bien- La modification du nbre de producteursb/ Le déplacement de la courbe de demandeDéplacements de la courbe de D = chgmts de la Q demandéepour tout niveau de prix .

revenu maximum et Ct-1 établissent une référence sociale. II. LA THEORIE DU REVENU PERMANENT ET LA THÉORIE DU CYCLE DE VIE A. LA THÉORIE DU REVENU PERMANENT Dans l’analyse keynésienne, la consommation est fonction du revenu perçu durant la période, Friedman estime quant à lui que ce n’est pas le revenu courant mais le revenu permanent qui est le principal déterminant des dépenses de consommation. Deux idées sont à la base de cette théorie :  le revenu des agents peut connaître des variations importantes

La microéconomie qui étudie les comportements des agents individuels dans les situations de rareté les obligeant à faire des choix, s’est beaucoup intéressée au comportement du consommateur. Partant du principe que le consommateur est un individu rationnel et que cette rationalité est utilitariste, le consommateur cherche donc à maximaliser sa satisfaction sous la contrainte des ressources disponibles. Les économistes privilégient adoptent un raisonnement marginaliste : le consommateur se demande si

de budget pour la valeur du taux d'intérêt affiché par le marché indique la richesse du consommateur : Ω = R1 + R2 (1+r)-1 = 10 000 + (5000 / 1,05) = 14 762 Cette notion de richesse ainsi définie en termes d'actualisation est celle qu'utilise M. Friedman dans sa théorie du revenu permanent. Signalons également que le point de coordonnées (10 000 ; 5 000) délimite deux portions de la droite de budget : à droite se trouve l'espace d'emprunt (puisque C1 > R1) et à gauche se trouve l'espace d'épargne