Friedman Anticipation Rationnelle

1. Les présupposés théoriques de l'analyse économique. A) Au niveau des comportements dis agents. • L'analyse est exclusivement centrée sur l'étude des comportements individuels. • Les comportements des individus sont supposés rationnels : ils cherchent à maximiser leur utilité compte tenu des contraintes auxquelles ils sont soumis. • Les décisions sont prises dans un univers certain : toutes les caractéristiques des biens échangés sort connues. L'information est gratuite et

les marchés retrouvent un équilibre d’eux-mêmes mais rien ne se passe et la crise s’éternise. Le concept des anticipations négatives : Pour Keynes, le comportement des ménages et le choix qu’ils doivent faire entre consommation et épargne seront fort influencés par le contexte économique et par la vision qu’ils ont de leur avenir. C’est ce qu’il appelle les anticipations rationnels. Si l’avenir parait rose, les ménages auront tendance à consommation une large part de leur revenu. A l’inverse

physiologique, besoin de sécurité, besoin d’appartenance, besoin de reconnaissance, besoin d’accomplissement personnel.  Classique : A. Smith, D. Ricardo, J.B. Say, J.S. Mill, T. Malthus  Néo-Classiques : L. Walras, V. Pareto, Arrow et Debreu, Friedman, F. Hayek  Keynésiens : J.M. Keynes  Synthèse : J. Stiglitz, P. Krugman Capitalisme : C’est la recherche du profit, l’accumulation des capitaux privés investis. Se caractérise par : Le salariat : c’est l’exploitation de l’homme par l’homme. Karl

et lutte vs inflation; plutôt pro union pol. avant monétaire), pro BCE indépendante + statuts révisables à unanimité (cf. traité de Maastricht) ; € plus NCM que Friedman ; NB : Buba dès départ opposée à solidarité illimitée BC (en 1992 n’interviendra pas pour soutenir £ et lire) ⋄ 1993-96 : scepticisme opérateurs (cf. USA, Friedman qui controverse avec Mundell à propos ZMO): non respect critères, interrogations sur réelle volonté pays; ie better Europe aux bonnes monnaies (vs infl°) qu'à la monnaie

politiques économiques. Les économistes ont toujours beaucoup de difficultés à effectuer des prévisions de croissance fines sur la courte période. Les responsables politiques systématisent les prévisions résolument trop optimiste afin d’ancrer les anticipations des agents (il s’agit de leur donner confiance). Du côté de l’offre comme du côté de la demande, de nombreux facteurs condamnent la croissance à rester irrégulière. 2. L’IRRÉGULARITÉ DE L’OFFRE Le progrès technique , moteur le plus

économique ≠ économie simplifiée (≠ économie de marché Capitalisme libérale ≠ capitalisme administratif (ex. France) => économie mixte On retrouve également la présence De nouvelles hypothèses : L’homo-oeconomicus : l’agent économique est un individu rationnel ; notre agent économique fait des calculs, récence les différente possibilité qui s’offre a lui, il maximise sa satisfaction tout en tenant compte des contrainte auxquelles il est soumis, il fait des arbitrages => biens, travail/loisir. Notre homo-

Arrow, G€rard Debreu), l'‰cole des choix publics (James M Buchanan, Gordon Tullock), les Nouveaux classiques (Robert Lucas Jr, Paul Romer), l'‰cole de Chicago (Frank Knight, Jacob Viner, George Stigler, Gary Becker) ou encore les mon€taristes (Milton Friedman). L'ƒcole autrichienne L€‰cole autrichienne d€€conomie, issue de Carl Menger en 1871, se distingue de l'‰cole n€oclassique en rejetant l€application „ l€€conomie des m€thodes employ€es par les sciences naturelles, et en s€int€ressant aux relations

de concilier dialectique marxiste et démonstration des cycles en faisant l’économie de nombreuses complications. Il faut un certain temps ignoré mais revint au goût du jour. Ses extensions vont généralement dans quatre directions : comportement rationnel ou non des agents, introduction de différentes formes de PT, introduction d’hypothèses keynésiennes, cycles limites et complexifications mathématiques de la dynamique. « Keynes et les keynésiens », P. Combemale (Problèmes Economiques, juillet-août

part moyenne se distingue de la propension marginale à consommer qui relève l'utilisation du dernier revenu perçu (achat exceptionnel en cas de recette exceptionnelle). M. Friedman, dans la théorie du revenu permanent complète la relation revenu-consommation en montrant que les individus effectuent des anticipations rationnelles en adaptant leur consommation non pas au revenu immédiat, mais au revenu futur anticipé. Ainsi la consommation peut s'écarter du niveau de revenu actuel en fonction d'une

nécessité le recours à de nouveaux instruments dont les premières expérimentations ont porté sur la validation de l’hypothèse d’utilité décisionnelle de l’information comptable. Paradoxalement, les tests empiriques ont mis en évidence l’importante anticipation par le marché du contenu informatif de ces données bien avant leur divulgation. Le problème de la nature de l’utilité des nombres comptables était posé et, plus généralement, celui du rôle institutionnel de la comptabilité comme système de production