Friedrich Voyageur

et découvrir que les fleurs sont en papier sur des collines de carton-pâte… À la lecture du roman de Jean Echenoz, il semble que c’est ainsi qu’Émile Zatopek, toujours courant, toujours allant de l’avant, toujours souriant, a vécu sa vie, comme le voyageur sans cesse taquiné par les changements de perspectives et la joliesse fugitive des scènes surprises sur les bas côtés… et qui ne progresse pas dans la lecture du livre qu’il vient d’acheter au kiosque de la gare. C’est que, dans ces éclats du monde

Vianito Lamarre Ainsi Parlait Zarathoustra : Friedrich Nietzsche Cours : problème éthique 340-EJM-03 Travail présenté à : Pascal Solignac Cegep M-V 2-05-2011 1.0 Intro Nietzsche, Friedrich, 1883 ET 1885. Ainsi parlait Zarathoustra Paris : Éditions Gallimard, 419 pages. La référence indiquée ci-dessus, dénonce un œuvre philosophique, mais également poétique du philosophe le plus influant au cours du 20e siècle. L’aspect principal de ce livre se résume à la capacité de l’Homme de

Traduction : Enfin, si la nature (des choses) prenait soudain la parole et qu'elle même reproche cela à l'un de nous, ainsi : Qu'est ce qu'est pour toi, à ce point, motif de peine, mortel, pour que tu l'abandonnes au pleurs excessivement douloureux ? Pourquoi gémit-tu et pleures tu la mort ? En effet, si la vie passée avant et antérieure fut pour toi agréable, et si tous les plaisirs ammassés comme dans un vase percé ne se sont pas écoulés et non pas disparus, inutile. Pourquoi ne te retires

Faut-il defendre le faible ? faible : 1. — En gén. l'opposition fort/faible sert à désigner une différence de degré dans la qualité ou la détermination : raisonnement faible (c.-à-d. peu concluant) ; en psychol. de la forme, forme faible (c.-à-d. peu structurée, opposée à prégnante) ; au sens vulg., une théorie faible est une théorie peu convaincante. 2. — Pour NIETZSCHE, l'opposition fort/faible désigne une opposition fondamentale entre deux types d'homme (les maîtres et les esclaves), entre

Lorsque l'on pense à cette citation : "ce qui ne me tue pas, me rend plus fort", on ne peut ne pas penser à la réflexion de Nietzsche sur la Morale. Nietzche, en effet, semble rejetter les critères traditionnels du bien et du mal, du vrai ou du faux. Pour lui, le faux et le mauvais peuvent être aussi "vrais" et conformes à l'ordre du monde que les valeurs positives prisées par le commun des mortels. En fait, La philosophie, et la morale en particulier, ne sont que des constructions artificielles

Le travail n’est il qu’une lutte contre la nature ? Pour commencer, ce sujet amène à discuter sur le travail de l’homme en fonction de la nature. L’axe principal de ce sujet est de savoir si le travail est une lutte et seulement une lutte contre la nature pour l’homme. Nous sommes forcés de constater que l’Homme se doit de lutter contre la nature pour subvenir à ses besoins vitaux et assurer son existence. Le travail en tant que tâche fastidieuse pour l’Homme n’est-il pas autre chose

onheur et liberté. Deux mots fétiches qui, depuis toujours, font rêver. Deux mots qui sont devenus des concepts auxquels on accorde une importance démesurée. Deux mots qui ont toutefois tendance à s’éloigner au fur et à mesure que l’on semble s’en approcher. C’est là d’ailleurs leur principale qualité, sinon, ils perdraient leur pouvoir et leur attirance. Imaginez, 91% des répondants à une des enquêtes de l’IRB affirment que notre niveau de bonheur est directement influencé par notre sentiment

La liberté et le bonheur. 1_Vers 2 définitions de la liberté A_ A partir de l’usage courant Un homme libre Un animal en liberté/un animal en captivité. Plante pousse librement. Pierre en chute libre. L’air libre. W.C libre. Y a-t-il dans tous ces usages quelque chose de commun ? Dans tous ces cas, la liberté se définit comme l’absence de contrainte Définition : Est libre, ce qui n’est pas empêché dans son mouvement naturel. _Cette liberté se vérifie toujours par une négation

Oui, c’est cela, mon cher Lucilius, revendique la possession de toi-même. Ton temps, jusqu’à présent, on te le prenait, on te le dérobait, il t’échappait. Récupère-le, et prends-en soin. La vérité, crois-moi, la voici : notre temps, on nous en arrache une partie, on nous en détourne une autre, et le reste nous coule entre les doigts. Pourtant, il est encore plus blâmable de le perdre par négligence. Et, à bien y regarder, l’essentiel de la vie s’écoule à mal faire, une bonne partie à ne rien faire

Le romantisme se présente comme une rupture avec les idéologies normatives qui l’ont immédiatement précédées : il propose un nouvel humanisme, non plus fondé sur l’accomplissement des perfections de l’homme, mais sur le dépassement même de la condition de celui-ci dans ce qu’elle propose comme limitations de la liberté par la société et de l’imagination par la rationalité. Un nouvel héroïsme apparaît alors, marqué par une certaine idée de la marginalité. (71) Le courant romantique se présente