Frise Des Panathénées

(c. 350-325 av. J.-C.) représentent respectivement des scènes de banquet et une scène de l’au-delà avec Géryoneus à trois têtes, Perséphone et Hadès. • La tomba Giglioli (fin 4ème s.) est une importante tombe aristocratique hellénistique avec une frise décorée d’armes, qui fait allusion aux accomplissements militaires du défunt. • La tomba del Convegno (c. 125) est probablement l’exemple le plus récent des peintures funéraires de Tarquinia. Elle est décorée de deux processions funéraires de togati

particulier le culte à Eleusis. C'est la grande déesse de la fertilité. Il y a aussi le culte d'Athena, grande déesse protectrice de la cité. Dont les fêtes ont un éclat particulier avec notamment la procession qui va devenir annuel des grandes panathenées qui semble-t-il devenu régulière à cette époque et qui s'accompagnera aussi de concours d'athlétisme ou de musique ou de poésie. L'autre grand culte favorisé est celui de Dionysos avec les grandes dionysi qui se déroulaient fin mars. C'est le dieu

Pour répondre aux deux questions de l’introduction, il faut d’abord poser le cadre géographique et historique. Plan : traitement de la problématique Notions clés Repères A. La polis ou cité athénienne aux Ve et IVe siècles Lire une frise chronologique 1. Cadre chronologique 2. Cadre spatial Attique, asty, Agora, Acropole Repérage sur carte 3. Fonctionnement de la démocratie Cité, démocratie directe, tyrannie, citoyen, Boulè, stratège, magistrature, Ecclésia, Héliée

arts La frise des Panathénées : la cité en représentation La frise des Panathénées constitue une référence partagée par les élèves grâce au programme de 6e. Reprendre son analyse au niveau du lycée est l’occasion d’un approfondissement de leur réflexion sur le rapport entre le religieux et le politique dans le cadre de la cité. C’est aussi un moyen de leur faire approcher la sculpture classique. Répo nses aux qu esti o n s LECTURE DE L’ŒUVRE 1. La frise représente la fête des Panathénées, plus précisément

femmes, placées au-dessus, et les capes grises des gens du peuple, relégués aux bancs supérieurs, près des colonnes qui supportent le toit, et qui laissaient apercevoir, par leurs interstices, un ciel d’un bleu intense comme le champ d’azur d’une panathénée ; - une fine pluie d’eau, aromatisée de safran, tombait des frises en gouttelettes imperceptibles, et parfumait l’air qu’elle rafraîchissait. Octavien pensa aux émanations fétides qui vicient l’atmosphère de nos théâtres, si incommodes qu’on peut

démocratie vue et discutée par les citoyens X p. 50-51 : ÉTUDE Le théâtre à Athènes : la démocratie mise en scène Les outils du manuel X p. 38-39 : GRAND ANGLE Athènes, une cité influente du monde grec X p. 52-53 : HISTOIRE DES ARTS La frise des Panathénées X p. 54-55 : ● OUTILS ET MÉTHODES DE L’HISTORIEN Comprendre et exploiter une inscription ● Loi destinée à protéger la démocratie (336 av. J.-C.) Inscription en l’honneur de deux chorèges X p. 56 : EXERCICES Étudier un texte Étudier une

deux espaces à deux époques différentes .................................................................... 22 Étude Le modèle athénien de citoyenneté ........................................ 23 Étude Histoire des Arts La fête civique des Panathénées à Athènes .......................................................................................... 24 Étude Le modèle romain de citoyenneté sous l’Empire ................. 24 Leçon 2 Être citoyen à Athènes et dans l’Empire romain........

fondée sur le droit du sang (mais refusée aux femmes), qui exclut les étrangers et les esclaves et dont le fonctionnement est imparfait. Entrées possibles : les lieux de pouvoir à partir du plan d’Athènes, la religion civique à partir de la frise des Panathénées... 2 - Naissance et diffusion du christianisme Le programme invite à une présentation du cadre géographique et du contexte historique et culturel (l’Empire romain, la situation de la Palestine dans l’Empire, le monothéisme juif), pour mettre

puissance, et douceur illustrant la volonté de maintenir la paix. Ces 2 qualités se retrouvent chez la déesse Athéna _ statue chryséléphantine d’Athéna de 12 à 15m (statue en or et en ivoire) destinée au Parthénon _la frise des panathénées : haut relief, presque de la ronde bosse parfois. La frise illustre le défilé de tous les citoyens d’Athènes apportant, une fois par an, les offrandes à la déesse. Son programme du Parthénon illustre, de manière sous-jacente, la victoire des grecs contre les Perses ou

s’éveille irrésistible, fleur demi close et ferme qui veut s’ouvrir. Tout se tient. L’évolution plastique, l’évolution morale montent dans un même flot pur. close a déjà dressé les Tyrannicides sur l’Agora, les mythes symboliques se déroulent autour de la frise des temples, et les grandes guerres nationales mêlent, aux frontons d’Égine, les divinités et les soldats. L’athlète va devenir l’homme, l’homme le dieu, en attendant que les artistes, après avoir créé le dieu, trouvent en lui les éléments d’une humanité