Frise Des Panathénées

l'agora et l'Acropole et les relier à leur fonction (place publique / sanctuaire religieux)7) reconnaître le Parthénon parmi plusieurs temples ; l'entourer sur le plan ou la photo de l'Acropole ; à quelle divinité est-il dédié ?8) reconnaître la frise des Panathénées parmi plusieurs documents ; quel bâtiment ornait-elle ?9) reconnaître une statue grecque, une céramique grecque parmi plusieurs oeuvres10) à partir de la photo d'un théâtre : qu'est-ce que c'est ? Quel peuple l'a "inventé" ? Quelle est la différence

de terre, flotte, levée des troupes, disciple militaire, sécurité du pays (installation de construction protégeant la cité). Il signe les armistices. Il organise les cultes aux divinités ayant un lien avec la paix ou la guerre. Il organise les Panathénées. Leur pouvoir est considérablement augmenter par rapport à celui des archontes : par leur mode désignation, par une réélection indéfinie, par ses relations avec l’Ecclésia et la boulé (possibilité de la convoquer). L’impérialisme athénien

même que la frise de boutons de lotus et les palmettes qui ornent la haute coiffe cylindrique. Le drapé qui la recouvre partiellement est inspiré de la mode ionienne. Elle est vêtue, contrairement à son équivalent masculin, le kouros, qui, lui, est représenté nu. Ces deux types statuaires, régis par des codes de représentation strictes étant donné leur fonction religieuse, incarnent une jeunesse idéale et sont prédominants jusqu’au début du Ve siècle avant J.-C. Ainsi aussi la Frise Ionique des

classique « sévère ». D- LA SCULPTURE ARCHITECTURALE C’est l’autre conquête du VI° siècle : maîtriser un espace contraignant (superficie et forme) ; mais, contrairement à la ronde-bosse, le bas-relief n’a pas à se soucier de l’aplomb. 1) Les métopes de la frise dorique : des panneaux sculptés en pierre remplacent au VI° siècle les terres cuites peintes du siècle précédent. Les sujets traités sont restreints à 1,2 ou 3 personnages par métope : mal insérés début VI° siècle (Sélinonte), ils le sont bien mieux

grecque. Les colonnes de l'intérieur ont les mêmes proportions que celles de l'extérieur. Décor: une frise continue entoure le sékos= frise des Panathénées (la fête de tous les athéniens) en marbre. Erechthéion: cariatides (statue féminine qui sert de colonnes). Ce sont les arrières petites filles des Koré (époque archaïque). Ordre ionique. A la place des denticules, il y a du calcaire bleu avec une frise sculptée. Exemple: Sculpture athénienne (II è): Doriphore (auteur Pelliclète). Souplesse et vie

rigide, présentent un degré plus ou moins important de souplesse et de fidélité à la réalité anatomique. Un léger sourire anime parfois le visage. - Exemple de l’art classique athénien de la 2e moitié du Ve s. : « portrait » de Périclès, frise des Panathénées sur l’Acropole d’Athènes, où les mortels présentent les mêmes traits idéalisés que les visages de divinités réalisés à la même période. - Dynamisme de construction, pathos de certaines sculptures hellénistiques, de style baroque (doc 3).

celle du Dipylon, elle débouchait sur le cimetière public et menait à l’Académie, elle était proche d’une autre porte : La porte sacrée. Toutes les deux formaient un ensemble imposant, et riche, c’est par là notamment que passait la procession des Panathénées ou bien les grands invités de marque. Sur cet espace réduit car entourée par l’enceinte, vit une population très nombreuse qui s'entasse dans 10 000 maisons au IV ème siècle (selon Xénophon). La population est donc assez confinée. Il existe un

représentants qui le font pour lui) : ce fut le cas à Athènes, mais pas à Rome. Doc. 1 page 42 : « L’Empire d’Athènes à son apogée, au Vème siècle avant J.-C. » Frise page 41 : « Citoyenneté et démocratie à Athènes (Vème-IVème siècles avant J.-C.) Doc. pages 64-65 : « La conquête romaine (Ier siècle avant J.-C. – IIIème siècle après J.-C.) » Frise page 63 : « Citoyenneté et Empire à Rome (Ier-IIIème siècles après J.-C.) • La citoyenneté est inventée par les Athéniens en 594-593 avant J.-C. (avec les

possibilités d’expression, et vers 480 la figure noire disparaît totalement, sauf pour une catégorie de vases. Ce sont les amphores panathénaïques, ces vases contenant l’huile offerte aux vainqueurs des différentes épreuves athlétiques lors des Grandes Panathénées, jeux se déroulant tous les quatre ans à Athènes. Ces vases qui reproduisaient sur l’une des faces la déesse Athéna armée d’un bouclier et d’une lance demeurent, par conservatisme religieux, fidèles à la tradition de la figure noire, même aux V°

Carnaval à Périgueux, véritable synthèse picturale peinte à la détrempe sur toile, la technique de prédilection de l'artiste. Un fascinant défilé de personnages masqués s'y déploie à la manière des frises antiques (on pense par exemple à la frise des Panathénées ou encore aux fresques de La Villa des Mystères à Pompéi). En 2001, Raysse réalise ses premiers vitraux, en collaboration avec l'atelier de Jean-Dominique Fleury à Toulouse, dans une nouvelle église parisienne (l'égliseNotre-Dame de l'Arche